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Jamais l'imprudence n'aura été aussi ... sexy (Kayleigh)(SID)

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WELCOME TO BERKELEY ৩

Anonymous
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Sujet: Jamais l'imprudence n'aura été aussi ... sexy (Kayleigh)(SID)   
posté Sam 4 Mai - 16:42

Jamais l'imprudence n'aura été aussi ...sexy

 J'arpentais les rues du quartier nord de Melbourne, après avoir terminé mon quart de travail, me dirigeant vers l'une de mes boutiques préférée … enfin l'une des seules se trouvant dans mes moyens financiers plus que limités lorsque soudain une voiture n'effectuant pas son arrêt obligatoire passa à un cheveux de me renverser. J'étais vraiment furax et bien que j'étais de nature calme je n'avais pas hésité à m'emporter.

Espèce de gros débile ! Sors de ta caisse de gros parvenu que je te fracasse la mâchoire et que je te fasse avaler tes dents une par une. Je vais te les enfoncer si profond que tu vas devoir planter une brosse à dents dans ton trou de balle pour les nettoyer.

La voiture s'immobilisa net, après ces quelques grossièretés que je venais de déballer, et je la vis reculer afin de s'approcher en ma direction. Ça sentait le roussi, j'allais devoir assumer ce que je venais de dire. Je ne regrettais pas mes mots d'ailleurs je comptais bien les assumer. Cette personne avait tout de même passée à un poil de me faucher.

Tu devrais apprendre à tenir ta langue Dylan.  Voilà les mots que je n'avais de cesse de me répéter en boucle, dans ma tête, puis c'est alors que je vis la portière côté conducteur s'ouvrir pour laisser entrevoir des jambes longues, finement sculptées et combien sexy, pour ensuite m'offrir une vue imprenable sur l'un des plus jolis minois que pouvait offrir Melbourne. Lorsque je vis ce regard divin, ce sourire tout aussi charmant qu'envoûtant, je n'avais pu que reconnaître la belle Kayleigh et évidemment je regrettais mon excès de colère. Soudainement j'en oubliais presque qu'elle avait passé à un cheveux de me renverser.

Renverser un piéton avec ta voiture c'est original ! C'est ta version 2019 du rentre dedans ? Me voilà qui faisait de l'humour alors qu'initialement je bouillais de colère. Le pouvoir que pouvait posséder cette femme sur moi était vraiment dingue.



Dernière édition par Dylan Forsythe le Mar 14 Mai - 17:47, édité 1 fois
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WELCOME TO BERKELEY ৩

Anonymous
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Sujet: Re: Jamais l'imprudence n'aura été aussi ... sexy (Kayleigh)(SID)   
posté Dim 5 Mai - 1:35


CHAPITRE NEUF : JAMAIS L'IMPRUDENCE N'AURA ETE AUSSI... SEXY

« ELLE SE REPROCHAIT BEAUCOUP D'AVOIR CRU A L'AMOUR, ALORS QU'ELLE EN CONNAISSAIT LES PIEGES ET LES DESILLUSIONS. EN BONNE LITTERAIRE, ELLE AURAIT DU ECOUTER LES MISES EN GARDE DE KANT ET DE STENDHAL : L'AMOUR TOURMENTE ET FAIT SOUFFRIR - L'AMOUR N'EST QU'UN SOLEIL TROMPEUR, UNE DROGUE QUI NOUS EMPECHE DE VOIR LE REEL. NOUS COYONS TOUJOURS AIMER QUELQU'UN POUR CE QU'IL EST, NOUS N'AIMONS, EN FAIT, A TRAVERS LUI, QUE L'IDEE DE L'AMOUR. »


La sécurité, la prudence. Le bien et le mal. Tout l'entourage, la société, les parents les enseignent, dès leurs plus jeunes âges, à leurs petits lambins. Ne jamais converser avec des inconnus, ne point accepter ce qu'ils offrent. Ne pas rentrer dans leurs véhicules, ou même, dans leurs demeures. Les ignorer, les éviter, telle la peste, une vraie plaie. Car, qui sait, ce qui peut bien arriver... ? Du jour au lendemain, tout peut bien rapidement basculer... En grandissant nous-même, en entrant dans le monde du travail, des adultes, il y a des codes, des règles. Des lois à respecter. La plupart des petites gens, sont honnêtes, naturellement. Ils suivent ces listes à la lettre, au mot près. Rien ne peut leur échapper. Petits êtres parfaits. Toi-même, tu tentais, chaque jour, de faire ce qu'il fallait. Du mieux que tu le pouvais. Tu en est même trop consciencieuse. Trop pointilleuse. Encore et toujours à vouloir te dépasser, te surpasser. Cela est bien plus fort que toi, dans le fond... Mais, comme tout le monde, parfois, il t'arrive d'être épuisée. D'avoir l'esprit ailleurs, embrouillé, tu avais bien des qualités, mais des défauts, également. Et s'en était tout là, la difficulté. Car, il suffit d'un rien, pour que les malheurs, les accidents apparaissent, dans votre champ de vision. A l'entrée de votre lisière, votre subconscient, où attendent vos démons, traînant leurs chaînes d'aciers. Sans trêve ni repos, sans contritions... Ta journée avait mal commencée. Elle n'était guère des plus glorieuses, productives. Vous voyez, le genre de moment, où vous n'avez qu'une envie ultime : celle d'aller vous recoucher ? De poser la tête sur l'oreiller et tout le long durant, ruminer ? C'est ce que tu ressentais, en cet instant même. Tu souhaitais, tout bonnement, tout simplement, rentrer. Te recroqueviller. Te mettre en boule, dans un coin, dans une ambiance froide, digne d'une eau de boudin, peau de chagrin. Bien que tu n'étais de nature violente, néanmoins, quelques fois, tu aimerais avoir un punching-ball, à portée de main et frapper, de toutes tes maigres petites forces. Mais, primo : tu te savais que ça t'aiderait plus que cela. Deuzio : tu avais parfaitement conscience, que tu ne sais même point faire de mal à une mouche, même si tu le voulais. Tertio : même si tu donner un grand coup dedans, tu arriverais à te prendre le ballon en pleine figure ! Moralité de l'histoire : la violence ne résout rien. De plus, que ce n'est guère une bonne journée pour toi. Rien d'autre qu'un mauvais moment, comme un autre, qui peut arriver à quiconque, à passer. Trépasser. Il fallait, désormais, que tu reprennes tes esprits, que tu te secoues, un peu, tel un prunier. Sinon, quelles sombres sottises, allais-tu encore commettre... ?


L'idée même d'avoir pris ta petite Ford Mustang, pour rejoindre ton éditeur, dont le bureau se situer en plein coeur de Melbourne, n'étais point des plus idéales... Tu étais toujours vigilante, au volant, certes. L'idée d'enfreindre une des lois, de la contourner n'avait jamais prôner dans tes choix. Encore moins avec l'intention de renverser qui que se fussent, se trouvant sur ton chemin. Mais, à dire vrai, cette belle cage métallique, tu n'étais guère des plus habituer à la conduire... Tu avais toujours tendance à rouler un peu trop vite à tout goût... Normal, me direz-vous, elle était faite pour cela, de base... Par ailleurs, ton paternel avait tenu à te l'offrir. Et de cela, tu en étais réellement heureuse, reconnaissante, naturellement. Tu n'étais vraiment point à plaindre. Tu ne le faisais pas, même ! Tu te rendait, bel et bien compte, de la chance que tu avais. Pour autant, tu ne la sortais trop souvent... Et, quand s'en était le cas, tu avais la vague sensation de te retrouver sur une piste de courses. Un peu comme dans un karting, et ceux, malgré toi... On devrait songer à te mettre, peut-être, une peau de banane, pour que tu t'arrêtes. Un peu comme dans Mario. Et, ce rendez-vous, avec ton petit mentor, ne t'aidait guère dans ta conduite, en cet instant précis... Tu te sentais vexée, énervée. Et ce genre d'état, chez toi, ne présager jamais rien de bon... C'est pourquoi, lorsque tu arrivais, à une allure assez alarmante, vers le nord. Que, plus ou moins, involontairement, tu griller ton arrêt, en apercevant la magnifique carrure élancée, athlétique, et combien séduisante, de ce bel homme, répondant au doux nom de Dylan, voilà que tu avais, bel et bien, manquer de le renverser, à la minute près, sous ton air apeuré, surpris, hébété, à laquelle, dans le fond, tu ne t'y étais guère attendu... « Espèce de gros débile ! Sors de ta caisse de gros parvenu que je te fracasse la mâchoire et que je te fasse avaler tes dents une par une. Je vais te les enfoncer si profond que tu vas devoir planter une brosse à dents dans ton trou de balle pour les nettoyer. » A l'entente de ces injures, qui se voulaient violente, acerbe, mais quelque peu compréhensives - mais qui te surprenait, plus que de raison, puisque, n'ayant, encore, jamais connu cette facette, de la personnalité du beau brun... Et, bien que tu en aurais agis tout autant, à sa place, tu te décidais, néanmoins, à laisser couler. Te faisant, aussi petite, qu'une souris. Après tout, tu étais dans le tort ! Cela était, même, troublant, de ne point voir la gendarmerie débarquer, pour te faire la leçon, te prendre dans leurs filets, pour passer à la case prison ! Peut-être, que, si tu avais été un homme, tu aurais eu un véritable comportement de goujat. Tu serais déjà sortie de ton véhicule, pour refaire le doux portrait du bel apollon. Mais, d'une certaine manière, par chance, tu n'étais qu'une petite blonde, parfois écervelée, dont l'esprit embrouillé, torturé, avait vogué ailleurs, jusqu'à présent, au-delà de lointaines contrées... Tu enclenchée, ainsi, la marche arrière. T'arrêtant, plus délicatement, à sa hauteur. Te décidant à ouvrir ta portière, afin de sortir. Toisant, alors, sur les fins traits de visage, pour le moins envoûtant, on ne peut plus, pénétrant, de ton magnifique amant, qui avait été, sur l'instant, emprunt d'une certaine colère - colère, qui s'évapora, pourtant si tôt, qu'il te reconnut. Ton pouls s'emballait, dont, subitement. Battant, considérablement, sensiblement. Mêlé à un sentiment de bonheur, tout autant que de frayeur. Et, une certaine pointe d'embarassement. Tu espérais, sincèrement, qu'il allait bien. Que ce dernier n'aurait ni séquelles, ni traumatisme. Car, lui ôter la vie, n'avait guère était intention, dans le fond. Bien au contraire... Contrairement à d'autres hommes, que tu pouvais côtoyer, Dylan, était, sans nul doute, l'un des seuls, en qui la confiance, la quiétude. L'amitié, l'affection, que tu lui portais, d'une certaine manière, était réelles, importantes à tes orbes bleutés. Tu voulais qu'il soit heureux, qu'il est droit, comme tout le monde, à sa part de bonheur, de répit. Chose qui se voulait rare, et en qui, tu ne décider d'offrir, à n'importe quel passant, il est vrai. Vous aviez décidé, de poser quelques conditions, seulement, dans votre relation. Dans votre liaison. A savoir, que le beau jeune homme avait le droit, tout comme toi, de fréquenter qui vous souhaitiez, sans que l'un de vous deux, n'en fasse une crise verte de jalousie. Mais, surtout, qu'il n'y ait de sentiments amoureux - parce que, l'amour, pour toi, ça faisait niais. Ca t'aveugle totalement. Irrévocablement. Et, bien que tu l'as déjà été, jadis, au final, tu en as terriblement souffert... Tu étais, durant maintes années, brisée, torturée. Affectée, par la mort tragique de ton petit ami. Et, bien que tu t'étais faite la promesse solennelle, de ne jamais revivre cela. De ne plus donner ton âme, à qui que cela fussent, voilà qu'aujourd'hui, tu aimais un homme marié. Et, dans le fond, tu ne voulais lui causer quelques tourments. T'interposer en maître, dans son bonheur. Qui étais-tu, seulement, pour oser te l'imaginer, une seule petite seconde. Ne serait-ce, qu'un bref moment ? Tu ne pourrais le supporter. Le tolérer... Cette relation était vouée, d'ores et déjà, à l'échec. Tu ne souhaitais, non plus, le perdre, de quelques manières, que cela soit. Tout envoyer valser, d'un simple revers de main, comme cela. A croire que tu aimais cela, dans le fond. Avoir des sentiments pour des hommes condamnés, brisés, inaccessibles. Toujours en train de sombrer, dans les profondeurs, le gouffre abyssal. Chute déferlante, à laquelle tu te sens totalement impuissante... Tu essayes, dont, de rester de marbre, de glace. Noyant, d'une certaine manière, ton chagrin, dans les bras musclés, de ce beau brun, dont l'humour, la douceur infinie, la compréhension. La perfection même, t'avais toujours troublée, envoûter. Apaiser, réconforter, jusqu'à présent. C'était sur une note de légèreté, d'amusement. De folles passions enivrantes, dont la beauté inoubliable, te faisait vibrer. Te faisait autant d'effet, faillir. Défaillir, sur-le-champ. Et bien, que, dans le fond, tu ne souhaitais guère te servir de ce dernier. Le considérer, comme une roue de secours. Telle une bouée de sauvetage, le fait de savoir, que, pour lui, cela n'avait l'air de le gêner, de l'en dissuader, cela te convenait, tout autant. C'était sans contraintes et cela te rassurer, plus que nécessaire. Plus que de raison... Tu lui adressais, dont, un mignon petit rictus, bien, que, d'une certaine part, tu serrais les dents, dans un semblant d'embarrassement. D'inquiétude certaine. Bien disposée à lui montrer, que tu étais prête à tout, pour te faire pardonner, à son égard. « Renverser un piéton avec ta voiture, c'est original ! C'est ta version 2019 du rentre-dedans ? » Avouait, dont, ton bel et tendre amant, avec une certaine pointe d'humour, à mesure que tu te sentais rougir, tel un pivoine. Te sentant encore plus mal à l'aise, dans le fond. Tu aurais, certes, bien ris de sa plaisanterie, mais la situation était telle, que cela aurait pu être bien grave, bien sombre. Tu aurais pu le blessé, voir, le tuer. Et, dans le fond, tu étais prise d'un certain mal être, d'amer regret. De peur, ainsi que de quiétude, à son égard. Vraiment, si tu t'écouter, tu te giflerais... Le détail, qui te stupéfait d'avantage, c'est que ce dernier pourrait très bien continuer sur sa lancée. S'en prendre à toi. Te délaissait, te haïr à jamais. Cela te ferait bien du mal. T'attristerais, certes, mais, tu ne pourrais que mieux saisir son point de vu, tu devais te l'admettre... Tu n'allais point râler, cependant. Ni rajouter une couche, sur ton ignoble comportement. Mais, tout de même ! T'avais, bel et bien, faillit l'empoigner. Le blessé gravement. Le rabaisser plus bas que terre, par tes pneus crissants. Jusqu'à ce qu'il n'en soit plus guère qu'un futile amas de poussière. Et, pour cela, tu t'en voulais horriblement... « A vrai dire, c'est l'effet que tu me fais, chaque fois que je te vois, mon chou ! Faudra t'habituer à être dans mon collimateur ! » Soufflais-tu, sur le même air d'amusement. Haussant, délicatement, les épaules. Bien, que, dans le fond, tu remettais une mèche, de tes cheveux volage, qui barrait ton visage à sa vue. D'autant plus troublée, inquiète, pour le beau brun. « Plus sérieusement... Je ne savais pas où j'avais la tête... Il faut dire que ce n'était pas une journée des plus productive... Enfin, je ne me cherche pas d'excuse, ni de raison, crois-moi... Je tiens sincèrement à m'excuser. » Soulignais-tu, dont, baissant, alors, le regard. Telle une enfant, prise la main dans le sac. Te sentant, aussi nulle et penaude, que tu peux l'être. Quelle sombre idiote, tu pouvais être ! « Est-ce que ça va ? Tu n'as rien ? Car, crois-moi, ça m'inquiètes... Mon intention n'était vraiment pas de te blesser, de quelque manière que cela soit. Et, je tiens à me faire pardonner. Vraiment. » Tu marquais une légère pause - laissant un soupir, aussi léger, qu'une simple brise, avant même de toiser le doux regard envoutant, pénétrant, de ton doux et charmant Dylan. « Est-ce que je peux faire quelque chose, pour toi ? Te déposer, peut-être, quelque part ? T'offrir quelque chose à boire ou à manger ? » Lui demandais-tu, sur un ton, qui se voulait beaucoup plus doux, rassurant, à son égard. Attendant, patiemment, son verdict. Appréhendant, certainement, qu'il ne t'envoies valser, sur-le-champ. Bien que cela serait tout à fait logique, compréhensible, dans le fond...
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Sujet: Re: Jamais l'imprudence n'aura été aussi ... sexy (Kayleigh)(SID)   
posté Mar 7 Mai - 17:30

Jamais l'imprudence n'aura été aussi ...sexy

 Ces mots que je venais de prononcer l'avaient, avant toute chose, été sous l'effet de la colère. J'étais reconnu pour être quelqu'un de colérique et d'impulsif, je l'assumais pleinement, mais évidemment j'étais conscient que ce genre de mots pouvait finir par m'attirer ma large part de soucis mais lorsque cette voiture passa à un cheveux de me renverser je dois admettre que je n'avais pas su me maîtriser. Lorsque je vis la voiture s'immobiliser, et que je réalisai qui en était le conducteur, je dois admettre que je ne tardai pas à regretter ces mots qui étaient sortis de ma bouche.

La réponse qu'elle m'avait servie n'avait pas été sans me désarmer. Sa beauté plus que céleste, sa grâce divine, ses courbes plus qu'hallucinantes et sa voix empreinte d'une sensualité sans nom ne pouvaient que me faire défaillir. Sous ma carapace de gros dur que rien n'atteint se dissimulait un cœur sensible et la belle semblait posséder le chic pour s'y frayer un chemin. Elle réussissait là ou tout le monde, ou presque, était destiné à échouer.

Je risque fort d'y prendre goût ma beauté. Regardant la belle, noyant mon regard dans le sien, je me mordillais nerveusement la lèvre inférieure.  Tu sais je m'en veux d'avoir prononcés ces mots, si j'avais su qu'il s'agissait de toi jamais je ne me serais permis de prononcer de telles insanités. Rassures-toi, je ne t'en veux pas, je comprends parfaitement, tu as eu des soucis et du coups absorbée par tes pensées tu étais moins concentrée sur la conduite. Puis je ne suis pas mort alors inutile de te morfondre d'avantage. Je me surprenais à me montrer aussi conciliant mais bon il faut dire que je ne pouvais qu'agir ainsi à son égard. Tout sourire, probablement afin de laisser libre cours à mon côté joueur, je m'approchai un peu plus d'elle caressant son bras avec mon index. Je sais parfaitement que tu n'avais pas l'intention de me faire le moindre mal. Je vais bien sois sans crainte.  Et que comptes-tu faire afin d'obtenir mon pardon ô douce et exquise créature qui hante mes rêves les plus fous ? Mon visage ne se trouvant plus qu'à quelques malheureux centimètres du sien je jouais de l'extrémité de mes doigts alors que je les laissais vagabonder le long de ses hanches afin de lui procurer ce genre de douces caresses dont je savais pertinemment qu'elle raffolait tant. À vrai dire je ne pensais qu'à rentrer chez moi, me mettre une pizza au four et m'ouvrir une bière ou deux tout en regardant ce qu'il y a de bien à la télévision mais maintenant que j'entends cette charmante proposition prononcée par ta voix envoûtante , et tellement sexy, j'ai bien envie de me laisser tenter. Qu'as-tu à me proposer ? Comment aurais-je pu lui opposer la moindre fin de non-recevoir ? C'était au delà de mes forces après tout.

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Anonymous
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Sujet: Re: Jamais l'imprudence n'aura été aussi ... sexy (Kayleigh)(SID)   
posté Ven 10 Mai - 14:49


CHAPITRE NEUF : ]JAMAIS L'IMPRUDENCE N'AURA ETE AUSSI... SEXY



On dit qu'il n'y a qu'un pas, entre la colère et l'amour. La plupart du temps, cette expérience, s'avère se trouvait des plus véridiques... Aussi étrange que cela puisse paraître, cela arrive de voir, de constater, avec une certaine stupéfaction, que deux personnes, totalement, irrévocablement, opposées, en apparence, peuvent ressentir, l'un pour l'autre, une attirance physique. Voir, des forts sentiments, que nul ne peut empêcher, pas plus que l'air du temps, de notre apogée. Mais, qui, l'emporte, parfois, sur une relation, qui peut se révéler, pour le moins, violente. Dévastatrice. Les injures, les coups fusent. Se brisant, volant, en une fine poudre de diamant, dans l'habitacle, tout comme la seconde suivante, cela peut se retrouver sur l'oreiller. C'est un peu du sado-mazo, dans le fond... La passion, c'est beau, c'est exaltant. Surtout, quand on la partage avec une bonne personne. Celle que l'on aime, réellement, au point de se sacrifier. Celle, qu'on voudrait préserver, protéger, contre vents et marrés. Celle, qui nous fait, nous sentir bien, heureux, épanouit, comme jamais. Celle qui vous fait faillir, défaillir, sur-le-champ. Qui a ce petit don de soit, de réussir à vous arracher un doux petit rictus, au point d'en devenir un idiot, totalement balafré. Où, vous avez la vague sensation, que tout vous paraît abstrait, indigne de votre intérêt. Comme si cette personne, était tout ce qui comptait. Un petit rire cristallin, que vous aimer, tout particulier, d'écouter, sans jamais vous en lasser. Celle qui vous donne des petits papillons dans le ventre. Une douce voix mélodieuse, séduisante, qui vous fait frissonner, parcourant, ainsi, votre échine. Un doux regard, d'une beauté indéniable, qui se veut des plus affectueuses, tendres. Une carrure magnifique élancée, athlétique, qui vous fait vibrer, de toutes les manières possibles. Le sentiment inéluctable, que la terre se désaxe, de sa stratosphère. Comme figer, dans le temps. Une lumière au fond du tunnel, là où on ne l'attend plus guère. Un ange qui tombe du ciel, pour vous arracher à vos tourments. Oui, l'amour, la passion, c'est réel, c'est intense. C'est magnifique, des plus magiques. Epoustouflant, malgré les épreuves surmontées, trépassées. Mais, quelques fois, il suffit d'une seule, une simple parole. Un geste maladroit, pour que les effluves de colère, se dispersent. Se laissant briser en un mille et un éclat. Emportée, par la brise légère, incertaine et glacée. Dans les échos d'une âme, alors, tourmentée, torturée. Dans le fond, c'est étrange, la vie... Non ? On aime, mais on se fait souffrir, mutuellement, quelquefois. C'est plus fort que soit... Tout se passe, parfois, comme si on s'infligeait un châtiment, pour se punir d'une faute, qu'on a soi-même, du mal à identifier... On sait que cela va faire horrible mal, mais on fonce, tout de même, dans le mur, tête baissée. Toi, tu te dis, que, la passion, c'est comme une drogue : en connaître les effets dévastateurs, n'a jamais empêcher, qui que ce fussent, de continuer à se détruire, après avoir mis son doigt, dans l'engrenage... Et, cela en était bien là, toute la difficulté, un véritable cercle vicieux...


Ta frêle silhouette, ton regard avait été emprunt d'une certaine stupeur. Mêlée a de l'angoisse, de la frayeur, de la quiétude, à l'égard de ton beau, séduisant et tendre Dylan. Toi-même, tu ne t'étais guère attendu, à manquer de le renverser, pratiquement... Cela ne te ressemblait guère pour autant. Et, dans le fond, bien que ton esprit embrouillé, avait été ailleurs, l'espace d'un moment, voilà que tu t'en voulais terriblement, désormais... Bien que tu aurais pu, cependant, te sentir choquée, par les quelques propos, que ton bel apollon, venait de te balancer, avant même que tu ne t'arrêtes, au fond de ton être, néanmoins, ce n'était point le cas. Tu saisissais, irrévocablement, son point de vue. Sa pensée. Après tout, tu étais en tort. Cela aurait pu devenir beaucoup plus grave, beaucoup plus important. Plus que de raison, même... A dire vrai, tu aurais, toi-même, réagis de la sorte, à sa place. Si ce n'aurait pris, déjà, des mesures bien plus sombres... Non, vraiment, ce ne sont guère ses jurons, qui allaient t'atteindre. Tu te sentais, tout bonnement, tout simplement, abasourdi, sur l'instant, par son attitude. Son petit éclat de colère. Tu avais entendu dire, que le beau brun avait un petit caractère, oui, mais, jusqu'à présent, tu ne l'avais jamais vu ainsi... Mais, après tout, tout le monde en a. Chacun a ses propres qualités, ainsi que ses défauts. Tu n'étais là pour le juger, de quelque manière que cela soit. Encore moins de t'emporter, de la sorte, contre lui. A dire vrai, tu aurais voulu te faire aussi petite qu'une souris et te planquer dans un trou, pour ne plus jamais en ressortir, tellement tu te sentais coupable, fautive, à son égard. Telle une criminelle... Tu te sentais des plus inquiètes, pour lui - pour autant, ce n'était guère le trait de sa personnalité, qui t'avait troublée, heurtée. Malgré votre relation, tu l'appréciais beaucoup. Tu l'aimais énormément, oui. Peut-être pas dans ce sens, mais... Vous comprenez, non ? Et, si ce dernier avait pris, malgré toi, une place des plus importante, dans ton âme, tu te devais de l'accepter. De le prendre en entier. Avec toutes ses attaches, toutes ses obligations. De prendre son histoire, son passé et son présent. Tu devais prendre tout ou rien du tout... C'est pourquoi, lorsque ton sublime amant, dont le charme indéniable, te faisait fondre, systématiquement. Irrévocablement. Que sa douce voix mélodieuse, te rassurait, immédiatement. Que sa carrure magnifiquement élancée, athlétique, pour le moins musclé, qui te faisait tant défaillir, vibrer. Rêvasser, au point de te faire mourir, dans ton propre filet de bave, se risquait à faire dans l'humour, voilà, que tu te surpris, à lui retourner l'appareil. Tout en voulant le complimenter, sur l'effet qu'il te faisait. Parce que, oui, il est vrai... Tu te savais, pertinemment, parfaitement, que, dans le fond, tu n'étais insensible à ses nombreux charmes. Tu ne pouvais tomber éperdument amoureuse de ton charmant petit prince... Tu n'étais guère certaine de le vouloir, dans le fond... Car, d'une certaine manière, ton petit cœur appartenait à un autre, qui lui, est marié, certes. Que tu avais conscience, que c'était sans issue. Mais, qu'aussi, tu te sentais totalement effrayée à l'idée de le donner, en soit, à qui que cela fussent... Tu avais, naturellement, confiance en tout doux et tendre Dylan. Avec lui, tu te sentais, réellement, bien, heureuse. A l'aise. Il était attentionné, très conciliant. Il avait des intentions, forts louables. Il avait ce dont de te faire échapper quelques éclats de rire, il est vrai. Il était vraiment agréable à regarder. Son être, tout entier, t'envoûter, te troubler, irrévocablement. Parfois, tu te sentais idiote, en te retrouvant à ses côtés. Il était bien trop doux, gentil. Bien trop parfait. Ingrate, scélérate. Vile créature, que tu es. Tu ne voulais lui infliger quelconques tourments, naturellement. Tu ne pourrais le supporter, le tolérer. Tu ne te servais guère, non plus, de lui. Seulement, tu t'étais, refermée, d'une certaine manière, à l'amour. Tu avais perdu espoir. Tu avais glissé dans ce trou noir et béant, dans lequel tu n'avais rien, ni personne, pour te raccrocher, te tendre la main. Tu étais égarée, mise sur le bas-côté. Délaissée, telle une coquille vide, une poupée de chiffon. Dénuées de tout sens, toute expression. Parait d'amères désillusions, tu t'étais, repliée, dans tes propres tranchées. Ne te préoccupant plus guère, que de rédiger, sur le blanc papier, tes romans, qui te prenaient de l'énergie, bien du temps. Et c'est tout ce qui t'importait... Tu es une jeune femme compliquée, dans le fond... Tu devais l'admettre, néanmoins, avec le beau brun, tu passais d'agréables moments. Si bien, que, parfois, quand il n'était plus guère dans ton champ de vision, il t'arrivait qu'il te manque. Si ce n'est, qu'il emplit ton horizon. Tu profitais, savourée, même, la douceur de ses bras, de ses tendres baisers. Tu ne savais lui résister, dans ces folles conditions. Cela se terminer, bien souvent, sur l'oreiller. Mais, ainsi, cela te convenait. C'était sur une note de brûlante passion, une pointe de légèreté, et cela suffisait, amplement, à faire ton bonheur - bonheur, que tu lui souhaitais, tout autant. Sincèrement ! Si un jour, tu apprenais que le bel apollon, est follement épris d'une charmante, séduisante femme, alors, tu ne pourras espérer mieux, pour lui. Il te manquerait terriblement, certes. Mais, dans le fond, tu ne pourrais guère lui causer quelques tourments. Le retenir. Qui serais-tu, seulement, pour oser troubler, t'interposer en maître, dans cette belle romance, qu'il partagerait ? Cela serait tout aussi monstrueux, égoïste, de ta part, tu le sais... Alors, tant qu'une de ces promesses, se trouvait scellée, n'était brisée, tu profiter, simplement, de ces quelques heures, simplement, échangées, volées, au demeurant, pour le retrouver. Et, c'était bien là, tout ce qui t'importait... « Je risque fort d'y prendre goût, ma beauté. » Soufflait-il, d'une voix douce. Presque dans un murmure, à mesure que ses iris, aux couleurs chatoyantes, soutenait les tiens. Tu admirais les fins traits de son doux visage envoûtant, des plus pénétrants, néanmoins, que tu lui adressais un doux et mignon petit rictus. « Oh, mais tu peux, mon trésor ! Parce que, je n'hésiterais pas à te complimenter. Te dire des doux petits mots. Car, je fonds littéralement, devant ton magnifique minois, pour le moins, ravageur. Ce doux sourire, en coin, où je donnerais tout, pour le contempler, encore et toujours. Ta voix si envoûtante, troublante. Ce petit éclat de rire, qui me fait défaillir. Ton corps, de rêve, dont je serais absolument prête à me damner. Vraiment, je pourrais mourir, devant tant de perfection ! » Te risquais-tu, à lui avouer, sur un timbre sincère, bien qu'aguicheur. Oui... Tu pourrais passer toute ton existence entière, à lui montrer, lui prouver, que tu étais, réellement, sous le charme, irrémédiable, de ce bel homme, charmant à souhait. Néanmoins, tu remarquais, chez ton doux rayon de soleil, que quelque chose, avait l'air de le tracasser, soudainement. Quiétude, que tu lui portais, irrévocablement... « Tu sais, je m'en veux d'avoir prononcé ces mots... Si j'avais su qu'il s'agissait de toi, jamais je ne me serais permis de prononcer de telles insanités. Mais, rassure-toi, je ne t'en veux pas. Je comprends parfaitement. Tu as eu des soucis, et du coup, absorbé par tes pensées, tu étais moins concentrée sur la conduite. Puis, je ne suis pas mort. Alors, inutile de te morfondre d'avantage. » Présentant, ainsi, ses plus humbles excuses, face à son attitude, tout en prenant grand soin, de te rassurer, concernant la tienne, qui dans le fond, te touchait, plus que nécessaire, plus que de raison, tu remarquais, dont, le beau brun se mordillait la lèvre inférieure. Se sentant quelque peu honteux, penaud, face à la situation, qui vous incombez, tout deux. A cet instant précis, tu avais envie que d'une chose : le prendre dans tes bras. Le réconforter. Le rassurer, le protéger de tout, contre vents et marrés. Il n'y avait que lui qui comptait. « Tu n'as vraiment pas à t'en vouloir, pour cela, mon petit chéri. Je ne suis pas choquée, pour cela, crois-moi. Vraiment, je comprends, tout à fait, ce que tu as pu ressentir, à cet instant. Il faut l'avouer, que, malgré moi, j'y est été un peu trop fort, pour le coup... Je tiens, encore, à te présenter mes plus sincères excuses, d'ailleurs... Et, pour être honnête, j'en aurais agi, tout autant, à ta place. Si ce n'aurait été pire, sans nul doute... » Tentais-tu, vainement, de te justifier. Bien qu'il est vrai, tu ne pouvais supporter l'idée, de lui en vouloir. Encore moins, pour cela. Tu ne pouvais tolérer de le voir ainsi, dans cet état... Tu marquais une pause, cependant, en laissant échapper un soupir, de tes lèvres, légèrement rosées. Aussi délicat, qu'une simple brise, avant même de lui adressait un regard, emprunt de douceur, d'une tendresse infinie. Malgré la situation, tu trouvais cet attrait, de sa personnalité, alors, vulnérable, l'espace de quelques instants, seulement, pour le moins, touchante. Tu n'avais pour habitude de le voir ainsi, certes. Et, pourtant, tu ne saurais en trouver la raison, mais ton petit cœur, se mit en cogner, tambouriner, dans ta cage thoracique, à l'unisson. Comme si tu avais la vague sensation, l'étonnante impression, qu'il allait imploser sur les murs, de ta frêle silhouette. Teintant les fonds de ton âme, colorant les imperfections de ta vie. Tu voulais, en ce moment précis, te perdre dans la douceur de ses bras. Lui insufflait un quelconque réconfort. Toiser, t'attarder, sur les fins traits de son doux visage envoûtant, enivrant, qui te faisait perdre tout semblant de raison. Lui avouait, certainement, que cela n'était rien. Que cela n'allait guère changer l'image forte, que tu avais du bel apollon. Que tu l'aimais, également, à ta façon. Tu souhaitais, de toute ton âme, goûter à la chaleur, de ses lèvres, pulpeuses à souhait. Les scellées, à jamais, sur les siennes. Et, de ce cher et tendre petit prince, ne plus te séparer. Mais, dans le fond, tu te savais parfaitement, que cela pourrait lui semblait des plus étranges... Comme si, malgré toi, tu lui montrerais des signes d'aller plus loin, que tout cela. Lui certifier, que, d'une certaine manière, tu lui donnais ton âme, pour qu'il le mette, ainsi, au supplice... Mais, tu ne pouvais point faire cela. Lui donner cette vague impression, de lui montrer de forts sentiments, qui pourrait se montrer tout aussi sincères, tendres. Doux, affectueux. Tu ne pourrais supporter le fait, de lui donner de faux espoirs, quand, toi-même, tu ne t'autoriser à prendre le risque de mettre ton existence, toute entière, entre parenthèses, pour te sentir bien, heureuse, à ses côtés. Ce n'était qu'une ombre, une simple pensée, que ce dernier, songerait, aimer... Tu enverrais tout valser, d'un simple revers de main. Il prendrait des petits morceaux de toi. Mais, si petits, que tu ne pourrais t'en apercevoir... Tu deviendrais, alors, vulnérable, à ton tour. Et, dans le fond, tu ne le désirais guère... Tu en avais, déjà, suffisant donner, comme cela... « Merci, infiniment, de ta compréhension. Sache que ça me rassure et me touche, tout autant. C'est vraiment adorable de ta part. Après, je n'irais pas de là, à dire que j'ai eu des ennuis ! Mais, disons, que ce n'était pas, non plus, le genre de journée, que j'apprécie, pour autant. Enfin, c'est... C'est compliqué. Et, je ne veux pas prendre le risque de t'ennuyer avec cela, bel et séduisant apollon. Mais, dans tous les cas, c'est vraiment rassurant, que tu ne m'en tiennes rigueur. A vrai dire, je le comprendrais parfaitement, si tel est le cas... » Ton intention n'était point de te morfondre, naturellement. Mais, comme tu l'avais si bien dit, tu n'avais guère était de main morte, sur le moment, avec ton sublime et tendre amant ! « Et... Dans ce cas, j'arrête de me morfondre, seulement, si tu cesses, également, de t'en vouloir, mon petit chaton ! Car, pour ce qui est de ma part, je ne saurais te juger pour cela ! Et, encore moins, de t'en vouloir ! » Soulignais-tu, dont, en lui adressant un mignon petit rictus, qui se voulait, alors, rassurant, tout en lui faisant un petit clin d'œil. Tu remarquais, alors, son petit sourire, pour le moins charmeur, malicieux, peindre les fins traits, de son doux regard pénétrant, envoûtant. Celui que tu aimais, tout particulièrement, qui te faisait fondre, au demeurant - celui, dont, tu en connaissais la cause. L'éventuelle suite, des événements... Cependant que ton sublime amant, à la beauté incontestable, irrémédiablement parfaite, s'approchait de ton être, ta frêle silhouette, de sa démarche, gracieusement féline, bien que délicate, à n'en guère douter, une seule petite seconde, un seul instant. Se risquant, ainsi, à caresser, avec douceur, ton bras, de son index. Son calleux, bien que tendre, petit doigt, qui réussit à t'arracher un long frisson, qui parcourait ton échine. Tes jambes commençaient à devenir coton. Ton petit cœur se mit à battre à tout rompre. Tu savais, pertinemment, parfaitement, que si le beau brun, dont la sublime grâce, n'avait d'égale à nul autre, au demeurant, à commencer, ainsi, tu devais te l'admettre, que tu ne savais, encore combien de temps, tu ne pourrais lui résister... Il te faisait un tel effet, telle une onde forte. Un électrochoc, que tu en perdais, bien souvent, tous tes repères, tes raisons. Comme si tu étais animée, par une douce folie, de folles passions, que le bel apollon, te procurait, sans contritions... Tu te laissais bercer, par ses douces caresses. Savourant l'instant présent. Ce qu'il pouvait, bel et bien, te faire, à mesure que tu te surpris, toi-même, à en faire de même, bien tendrement, sur son torse musclé, recouvert de son fin tissu - seul rempart, qui t'empêchait de ressentir ce réel contact, qui t'apaiser. Te faisait vibrer, plus que nécessaire. Et, qui, bien souvent, tu ressentais la folle envie d'arracher, pour y déposer, de doux et légers baisers. « Je sais parfaitement, que tu n'avais pas l'intention de me faire le moindre mal. Je vais bien, sois sans crainte. Et, que comptes-tu faire, afin d'obtenir mon pardon, ô douce et exquise créature, qui hante mes rêves les plus fous ? » Te demandait, alors, d'une voix douce, des plus charmeuse, mélodieuse, ton sublime, parfait, petit amant, qui ne faisait que te décontenancer, à cet instant. Néanmoins, que son tendre regard, te sonder, intensément, inlassablement. Se rapprochant, dangereusement du tien... Alors, que tu tentais, vainement, de ne point lui voler un langoureux baiser. Il ne devait continuer. Tu savais qu'il te faisait perdre tous tes moyens. En particulier, quand tu remarquais, que ses douces mains baladeuses, s'aventurer à te caresser, délicatement, les hanches. Geste que tu savourais, aimer, tout particulièrement, à t'en damner. Bon sang, qu'il était compliqué de bien te tenir, alors, que là, maintenant. Tout de suite, tu avais, simplement, envie de te jeter sur lui. Tu te risquais, dont, à te mordre la lèvre, à mesure, que tu pris l'initiative, de passer, tes petits doigts de fée, sous sa chemise. Effleurant, dont, son torse, qui te faisait tant rêvasser. Les descendant, même, délicatement. Tu louchais, dont, entre ses iris caramélisés et ses lèvres, pulpeuses à souhait, dans lesquelles, tu voulais les scellais des tiennes, cependant, que tu te sentais, quelque peu, rassurée, pour ton cher, tendre, sublime Dylan. Il allait bien. C'était tout ce qui t'importait. Aussi étrange que cela puisse paraître, en ce moment, il était ton tout, ton doux rayon de soleil. Ton essentiel. Ton charmant petit ange - cet ange, qui était tombé du ciel, pour t'arracher à tes tourments. Ce charmant petit prince, qui, dans d'affreuses circonstances passées, trépassées, t'avais sauver la mise. Avait, follement, troquer, échanger sa vie, contre la tienne, face aux mains armées de ces sombres ravisseurs. Tu avais était des plus stupéfaites, effrayées, pour lui. A l'époque, tu ne connaissais rien, absolument rien, de ce bel apollon. Et pourtant, il avait été là. Il t'avait protégé, envers et contre tout. Contre vents et marrés. Et, de cela, tu lui en seras, à jamais, gré. Une éternelle reconnaissante, à son égard. Adorable, courageux, magnifique petit homme, qui avait prit une grande place, dans ton âme. Avait réussi, contrairement à d'autres, à faire son petit trou. A rentrer, dans la brèche, de ta misérable existence. « Oh, grand dieu, que non ! Cela en était de loi, mon intention, sublime petit ange de mes nuits. Au contraire... Et, je me sens vraiment soulagée, de savoir que tu vas bien. C'est vraiment tout ce qui compte, pour moi. » Lui soufflais-tu, d'une douce voix mélodieuse. Presque, dans un murmure. A mesure, que tu le couvais, d'un regard tendre. Bien qu'une certaine pointe d'amusement, s'en dessiner, dans le fond... « Et bien, si tu me le demandais, mon magnifique, sublime apollon, qui illumine mes jours, mes nuits durant. Me faisant fondre, sur-le-champs, je serais capable de sauter en parachute, te lécher les pieds. Etre ton esclave, te décrocher la lune... » Okay... Dis comme cela, ça paraît des plus étranges, absurde, même. Mais, vraiment, tu serais prête à tout, rien que pour lui. « Non, vraiment... Rien que pour toi, tes beaux yeux, mon sublime trésor, qui me fait tant défaillir, je serais capable de tout. Absolument tout. Donc... Demandez-moi ce que vous voulez, Monsieur Forsythe. Je suis totalement à vos ordres ! » Soulignais-tu, sur un ton, qui se voulait, certes, amusant. Mais, qui, pourtant, en était fort sérieux, sincère, dans le fond. Décidant, ainsi, à tes fins petits doigts délicats, de quitter le bas de son torse. Pour venir, les enrouler, sagement, autour de sa nuque. Rapprochant, ainsi, ton doux visage, du sien, afin de lui déposer un furtif baiser, sur ces fines lèvres. Avant même, d'attendre, patiemment, ses petites commandes, ses moindres désirs. Lui adressant, ainsi, un mignon petit rictus, qui se voulait des plus tendre, affectueux - des plus charmeurs, que faire se peut. Bien que, pour lui prouver, que tu étais, réellement, sincère, à son égard. Que tu étais inquiète, pour ton tendre amant, dont la beauté, la tendresse, non-éphémère, d'un simple vol de papillon. La douceur infinie, te consumer, sans condition. Enflammant, éblouissant, ton cœur, telle une étrange lueur, dont tu ne savais percer le secret, dans le fond, tu lui demandais, dont, si ce charmant petit prince, voulait que tu le déposes ailleurs. Si tu pouvais, réellement, faire, quelque chose pour lui. C'était, certes, l'une des raisons, pour lesquelles, tu souhaitais te faire pardonner. Mais, tu voulais, avant toute chose, lui faire plaisir. « À vrai dire, je ne pensais qu'à rentrer chez moi, me mettre une pizza au four et m'ouvrir une bière ou deux, tout en regardant ce qu'il y a de bien à la télévision. Mais, maintenant que j'entends cette charmante proposition, prononcée par ta voix envoûtante et tellement sexy, j'ai bien envie de me laisser tenter. Qu'as-tu à me proposer ? » A l'entente, de son programme, tu hochais la tête, pour approuver. En signe de compréhension. Bien, qu'au fond de ton être, tu pourrais trouver cela, plutôt sympa, tu ne pouvais, décidément, le laisser, ainsi. Tu voulais lui changer les esprits. Profiter, rien qu'un moment, pour se trouver en sa charmante compagnie. Au moins, le temps de cette belle, douce nuit. Tu lui adressais, dont, un mignon petit rictus, on ne peut plus malicieux, charmeur. Cependant, que tu t'attardais, sur les fins traits de son doux visage, ses belles petites orbes caramélisés, dans lesquelles, sans ménagement, tu t'y noyais. « Hum... Je vois, tout à fait, sublime petit homme parfait, de mes rêves... Ton petit programme est sympathique, je ne te le cache pas. Mais, je ne pourrais décider, à te laisser, ainsi, tout seul... Et, je te proposerais bien, de sortir, un peu. Allez, pourquoi pas, dans un très bon restaurant, au cinéma. Faire une petite virée au port. Mais, je t'avouerais, qu'il fait un peu frais... Puis, en toute égoïste, que je suis, sans nul doute possible, j'ai, cependant, envie de t'avoir, pour moi, toute seule, mon sublime apollon, a la beauté divine, tellement séduisante, qui me fait tant rêver. Donc... Si tu le désires, trésor, je pourrais te proposer de passer, rapidement, par chez-toi, histoire que tu puisses prendre quelques affaires. Car, je compte te séquestrer toute la nuit ! » Lui soufflais-tu, d'une petite voix douce, mélodieuse. Bien que charmeuse, mélanger à une certaine pointe d'humour, avant même de marquer une légère pause. Te permettant, ainsi, à lui caresser sa douce joue nacrée. Avant même de reprendre tes esprits. Continuer, ainsi, dans ta lancée. « Non, vraiment... C'est, peut-être, ton petit côté romantique, qui me déteint dessus, je ne sais pas, mais... En revenant par chez moi, je pourrais nous mettre des petites bougies d'ambiance, de la douce musique. Te faire goûter quelques spécialités italiennes, que j'ai faites, moi-même. Puis, il y a un lit bien douillet, qui n'attend que toi. Et, aussi, si ça peut t'intéresser, mon beau brun, tout autant sexy, que tu peux l'être, je viens de rouvrir mon petit jacuzzi ! Alors... Qu'en dis-tu, chéri, de nous mettre dans cette petite bulle. Et, de profiter, rien que nous deux ? » Te risquais-tu, à lui demander, lui proposer, finalement. Espérant, de toute ton âme, que cela pourrait, un tant soit peu, intéressé, charmé, ton tendre et doux Dylan. T'amusant, toujours, à lui effleurer, de tes petits doigts de fée, son doux visage envoûtant, pénétrant.
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Jamais l'imprudence n'aura été aussi ... sexy (Kayleigh)(SID)

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