Horse ride

LIBRE

Il était assez rare que le ranch ouvre ses portes à des personnes venant de l'extérieur mais comme tous les habitants de la ville, il se devait de payer des impôts et diverses factures venant de l'extérieur. Si la plupart des choses, il pouvait le faire seul pour survivre, il restait malgré lui dépendant des autres. Alors parfois, ils organisaient des journées découvertes comme aujourd'hui, l'accès dans le ranch n'était pas libre, c'était même très encadré. Mais cela permettrait de faire découvrir aux habitants de la ville une vie plus simple. Certains pouvaient cueillir des légumes et des fruits, d'autres venaient pour découvrir le ranch et ses chevaux. Des chevaux plutôt libre même si tu les domptes sans difficulté. Durant ses journées, tu dois avouer que tu n'aimais pas avoir cette impression de faire un spectacle alors la plupart du temps, tu te chargeais de petites animations pour les enfants le matin et l'après-midi, tu allais te balader avec quelques adultes et adolescents. Tu leur faisais découvrir ton monde en douceur, tes forêts que tu aimes tant.

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Malya et Nino

Tu avais entendu parler de l'ouverture exceptionnelle du ranch de la ville. Une communauté assez secrète donc tu voulais en savoir plus. Ne supportant pas de tout savoir, tu avais décidé de prendre ton petit calepin et tes questions en quêtes de réponses. Quand tu arrives dans le fameux endroit mystèrieux. Tu cherches parmi les fidèles, la personne la plus amène de répondre à tes questions. Tu cherches du coin de l'oeil avant de trouver une jolie demoiselle. Tu t'approches d'elle, alors qu'elle tient dans sa main un cheval. Un grand cheval noir, il te rappels un peu celui que tu avais quand tu étais jeune. Tu le caresses d'une main et tu souris à la demoiselle. "C'est une belle bête, il n'est pas trop têtu ?" Tu te rappels comme vous aviez eu du mal à l'époque de faire obéir l'étalon. Tu te souviens que tes parents ne savaient pas si ils allaient le garder. Et puis tu avais fini par le faire obéir. Car, soyons honnête tu obtiens toujours ce que tu souhaites.

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LIBRE

Entourée de tes cheveux, c'était comme cela que tu étais le mieux. Tu te sentais en sécurité comme si ils pouvaient te comprendre sans poser de questions. Le ranch n'était pas ouvert depuis très longtemps mais tu connaissais à voir des visages inconnus se mélanger à ceux que tu connaissais par coeur. Le spectacle allait débuter, les portes de vos appartements étaient fermés pour l'une des rares fois de l'année. Tu observais ton mari au loin qui discutaient et qui vantaient vos mérites comme personne quand tu avais été sorti de tes pensées par une voix inconnue. Lui souriant tu t'éloignais de quelques centimètres de ton cheval, tu aimais mettre des visages sur les voix. « Quel homme ne l'est pas ? » Tu lui souriais, amusé. « Bienvenue au ranch, vous montez ? »

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Malya et Nino

Tu es quelques peu amusé par la réflexion de la jeune femme. Tu prends une grande respiration. Cela faisait tellement longtemps que tu n'avais pas sentir un air aussi pur. Tu ignores comment ils font, mais dans cette ferme flotte une odeur d'espoir. "Ma future ex-femme ne vous dira pas le contraire. Mais pour le coup je parlais de l'animal." En montrant le beau cheval noir près de la jeune femme. Tu jettes un oeil sur l'homme en question, il te dit vaguement quelques choses. "Je montais souvent à une époque lointaine. C'est comme-ci s'était dans une autre vie. Le travail me prend tellement de bon à présent." Tu laisses tes pensées quelques peu s'envoler vers le doux et beau souvenir du vent traversant ton visage. Des courses entre les vignes des meilleurs raisins italien.

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LIBRE

« Moi aussi » Tu souriais, tu n'étais pas la plus sociable du ranch, tu étais même dans les plus méfiantes. Contrairement à beaucoup de personne ici, tu savais que l'extérieur c'était dangereux. Et la manière qu'il avait parlé de celle qu'il allait (ou avait ?) quitté te surprenais. Il faut dire que chez vous le mariage à un sens bien différent. Il est presque impossible de divorcer et tu n'as jamais vu une femme tentée de le faire d'ailleurs. « Il ne faudrait jamais laisser quoique ce soit nous éloigner de ce qui compte, ça vous dirait de faire un tour ? Après tout, je suppose que vous êtes ici pour visiter le ranch alors autant le faire à cheval ? » Tu avais senti de la nostalgie dans sa voix et même si il était clair qu'il n'allait pas pouvoir tester la cueillette sur un canasson, il pouvait tout de même visiter les alentours du ranch, voir vos plantations, voir un peu votre vie tout en renouant avec une part de la sienne.

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Malya et Nino

La jeune femme n'avait pas tout à fait tord, mais la vie était bien différente aujourd'hui. À l'époque, tu rêvais de liberté est ce que tu avais quand tu montais à cheval. Tu aimais prendre soin de tes animaux, ils étaient très importants pour toi. Tu aimais emmener Clelia pour lui voler quelques baisers dans l'écurie. "Avec plaisir, je n'attendais que ça". Elle me propose un autre animal non loin d'elle. Je relâche un peu les étriers et je monte comme-ci je n'avais pas arrêté de le faire. "Je vais peut-être être rouillé." Dis-tu, ce n'est pas dans ton habitude de montrer tes faiblesses. Mais tu es un caméléon et tu sais que si tu veux faire parler la demoiselle il va falloir que tu fasses le tout gentil, tout beau. La demoiselle commence à avancer et tu la suis de près. "Au fait moi c'est Nino .. Nino Galiente! Je ne pense pas que vous me connaissez! La grande tour qu'on voit d'ici, c'est mon bureau!" Tu n'es pas peu fier d'avoir la plus belle vue de Melbourne.

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LIBRE

La nostalgie que tu sentais dans sa voix, c'était la raison qui faisait que tu aimais vivre ici. Ici, vous n'aviez pas d'obligation. Vous n'étiez pas des prisonniers du monde moderne, obligé de vivre dans le système ou de vous laisse corrompre par l'argent. Vous étiez libre de vos mouvements, vous aviez assez peu de soucis. Lui proposer une balade te semblait assez naturelle. Et comme un barman capable de deviner votre cocktail préféré, tu pouvais savoir quel cheval allait le mieux à tel personne. Tu lui en avais indiqué un en particulier, un cheval à l'apparence fougueux mais très docile.  « Malya, Malya Mason. La vue de votre bureau à l'air magnifique mais je dois vous avouer que je ne changerai le mien pour rien au monde. Il est juste derrière vous » Tu souriais en lui montrant l'écurie dont tu étais fière, tu l'as connaissais depuis toujours, tu avais toujours rêvé d'y travailler et aujourd'hui, c'était le cas. « Vous l'aurez deviné mais je suis la prof d'équitation. Alors dites-moi, vous voulez voir quoi en premier ? »

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Malya et Nino

Il t'arrivait pas souvent de penser à l'Italie comme tu pouvais le faire en ce moment précis. Tu n'es le genre de mec à penser au passé. Tu aimse vivre ta vie à l'instant présent et être nostalgique est une preuve de faiblesse. Mais alors que tu es sur ce merveilleux cheval, tu te sens bien comme-ci tu étais revenu le jeune homme que tu étais autrefois. "Je vous comprends! Il n'y a rien de mieux qu'un vrai bol d'air fraie. J'ai fait construire ma maison au sud pour pouvoir respirer l'air marin tous les matins." Tu ne sais pas pourquoi tu racontes ta vie à la jeune femme. Tu ne la connais pas. Mais tu espères qu'en le faisant elle le fera aussi. Ainsi tu pourras écrire un véritable article sur le ranch. "Vous faites cours au gens de l'extérieur ? Faites-moi rêve, je veux tout voir.".

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Tu l'écoutais te parler, tu étais bien loin de deviner ses intentions. Bien trop naïve malgré ta prudence. Tu ne voyais en lui qu'un homme égaré, un homme de plus qui s'était perdu dans un monde guidé par la technologie, noyé dans son travail, sûrement derrière un bureau. Mais tu ne l'imaginais pas comme étant journaliste, habituellement, ils étaient peu discret, ils vous regardaient comme une secte ou comme des animaux, pas lui. « C'est un bon choix, la mer a quelque chose de reposant je trouve » Tu lui souriais sincèrement. « Non, enfin s'est arrivée quelques fois mais la plupart des habitants de Melbourne évite de venir ici, ils ont peur qu'on les séquestre ou je ne sais quoi. » Tu haussais les épaules, tu ne comprenais pas pourquoi vous étiez vu comme cela. Enfin si, tu le comprends un peu pour les avoir vu à l'oeuvre dans leur monde mais tu ne voyais pas en quoi, choisir de vivre différemment faisait de vous des êtres aussi étrange.

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Malya et Nino

Tu n'es pas le genre de mec qui se contente des choses simples, tu as tendance à être beaucoup trop matérialiste. Tu aimes les choses qui ont plus de valeurs officielles que sentimental. Tu n'accordes que très peu d'importance aux choses s'en réelle valeur. Tu es loin d'être un homme parfait, tu le sais et tu ne cherches pas à l'être. Malgré ta quête de la perfection dans ton job ou dans ta vie, elle s'arrête là. Tu ne comptes pas changer! Mais il est vrai que tu apprécies te poser près de la mer, c'est un endroit où tu te sens bien. "Je dis ça, il faudrait que je prenne le temps de me poser sur la plage pour en profiter en maximum." Ta vie tourne qu'autour du boulot. Il t'arrive d'être envieux de ceux qui peuvent se permettre de se poser sur le sable. De prendre du temps pour eux. Toi quand tu as cinq minutes, il faut que tu t'occupes de tes enfants, ton ex ou de ta petite amie. Tu as rarement cinq minutes pour toi. "Il faut bien admettre que le côté secret, fait un peu peur ? Vous savez pourquoi vous gardez autant de mystère?" Tu es bien décidé à en apprendre le plus possible !

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Il était vrai que tu étais très différente des femmes qui vivaient en dehors du ranch. Tu n'avais pas la même vie qu'elle, pas les même priorités ni les même devoirs. Mais tu n'étais pas envieuse. Quand tu les voyaient bavé devant une vitrine ou un téléphone collé à l'oreille, elles n'ont pas vraiment l'air heureuse. Mais ce sont tes pensées et tu comptais les garder pour toi. Assez naturellement le ranch et ses mystères étaient devenus un sujet de conversation qui semblait intéressé l'inconnu en face de toi. Tu dois bien avouer que tu n'avais jamais compris pourquoi les gens étaient aussi curieux. « Je ne nous trouve pas si mystérieux que cela, vous, enfin la plupart des gens êtes bien plus mystérieux et compliqué que nous. Par exemple, là on discute en face à face, on se balade à cheval et on passe un bon moment, non ? En dehors du ranch, peut-être qu'on ne se seraient même pas parlé, parce que vous auriez été sur votre téléphone et vous ne m'auriez pas vu. On fait des choix qui nous sommes propres et qui ne sont pas les normes qu'on nous impose mais nous ne sommes pas aussi "allumé" que ce que les gens pensent. » Tu étais consciente qu'il y avait de nombreux points dans votre mode de vie qui était discutable. Tu savais aussi que par mystère, il parlait plus de Monsieur X. que de votre façon de vivre.

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Malya et Nino

Tu étais bien d'accord avec la demoiselle, mais tu sais aussi qu'elle n'a pas tout à fait tord. N'étant pas là pour parler de ce que tu penses, mais plutôt de l'avis de la jeune femme, tu réfléchis à comment la faire parler davantage. En prenant bien note des informations qu'elle venait de te donner. "Vous n'avez aucune aide technologique, pas de machine à laver, pas de sèches linges ? Tout ça est d'une grande aide, vous n'avez aucune envie d'échanger votre vie pour une autre." Il est clair que le téléphone à tendance à séparer les gens, mais cela permet de communiquer avec des personnes qui se trouvent loin de nous. Toi par exemple cela te permet de téléphone à ton père, même-si tu aimerais qu'il le fasse moins souvent. "Vous êtes au ranch depuis longtemps ?"

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L'image du ranch était assez étrange et pour être sincère, tu ne l'as comprenais pas. Vous étiez vu comme des gens bizarres, parfois même comme des bêtes de foires et tu n'arrivais pas à comprendre pourquoi vos différences donnaient cette vision de vous. Certes votre mode de vie était très différent de celui des autres mais vous n'étiez pas non plus des cannibales ou le KKK, pas de quoi écrire des pages et des pages sur votre vie. L'homme en face de toi était curieux et tu le savais très bien, tu le sentais. Ses questions étaient précises l'air de rien même si tu étais loin de deviner ses attentions. « On a des bassins, des cordes, on n'a pas besoin de tout ça pour vivre, alors oui, c'est plus fatiguant que de cliquer sur un bouton mais ça pollue beaucoup moins. Le ranch fonctionne avec un système de troc, chacun fait l'activité qu'il lui plait tout en aidant les autres » Sans t'en rendre compte, tu abordais un point important du ranch : l'écologie mais également l'entre-aide. Ce besoin de protéger la planète mais aussi ses habitants. « Depuis toujours, je suis née dans le ranch »

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Malya et Nino

Une part de toi trouvé que c'était une bonne idée, ne plus être dépendant des machines qui peuvent vous entourer et pourtant, tu ne pourrais plus vivre sans. Sans ta superbe voiture, sans tous tes gadjets qui font de te métier un travail bien plus facile. "Et vous avez jamais eu envie d'autre chose ?" Toi tu aurais été incapable de rester dans un tel lieu. Tu es bien trop curieux, tu veux tout savoir est rien payer La jeune femme est donc né au ranch, tu es assez surpris, mettre naissance dans un tel lieu. Il faut quand même avoir le minimum pour pouvoir donner naissance à un enfant. Alors, ça te permet d'avoir une autre question. "Vous avez un médecin ? Des professeurs ? Ou vous quittez le ranch pour certaines choses ?"

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« Si bien sûr, quand j'étais adolescente, j'ai eu ma période un peu rebelle, comme tout le monde je pense mais finalement, c'est ici que je suis en sécurité » Tu savais que l'idée de vivre au ranch était compliqué pour beaucoup de monde. Même pour les nouveaux membres, c'était une façon de réorganiser sa vie et son quotidien, on vit avec un système d'échange entre voisins, sans supermarché. Nous n'allons pas en ville, simplement parce que nous n'en avons pas besoin. Mais même si monsieur X. nous déconseillait de sortir du ranch, vous étiez libre de le faire, enfin vous pouviez gagné cette liberté. Il n'était pas stupide au point de laisser les gens juste venir se servir au ranch avant de rentrer chez eux tranquillement. « Nous avons un médecin pour les problèmes du quotidien, des professeurs pour les enfants et si nous avons besoin d'autre chose, nous pouvons aller en ville quand nous le souhaitons. » Volontairement, tu ne lui parlais pas des détails. Même si il avait mis le point sur l'un des points négatif du ranch, vous êtes tous dépendant les uns des autres.

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Malya et Nino

Tu avais trouvé le jackopt en tombant sur une femme qui vit au ranch depuis des années et qui avait eu envie de voir autre chose. Quand elle te dit qu'elle est en sécurité tu ne cesses de te demander si elle n'est plus sequestrée qu'autre chose, un joli syndrome de Stockholm, mais en tant que journaliste tu dois savoir garder ta langue et des opinions pour toi. "Et vous pensez être en sécurité ici?" Cette question n'est pas anodine, si un jour tu te retrouves recouvert d'ennuie, tu sauras où te mettre en sécurité. Il est clair que personne ne pourrait te refuser. Tu ignores ce que tu pourrais apporter, mais après tout, tu es toi et cela suffit. "Il vous arrive souvent d'aller en ville, je ne me souviens pas vous avoir déjà vus." Tu te demandes comment un tel lieu fait pour vivre, d'où viennent tout ce financement.

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« Oui, bien sûr, comme toutes les communautés nous nous protégeons. Et puis l'accès au ranch est protégé, si aujourd'hui l'entrée est libre ce n'est pas le cas de tout les jours. N'importe qui ne peut pas entrer dans le ranch » Monsieur X. y veillait. Chaque personne qui entrait dans le ranch voulait se racheter une conduite. Même si officiellement personne ne le disait, tu savais très bien qu'il y avait des criminels dans vos rangs, des gens qui voulaient fuir leur passé, fuir leur vies. Et pas seulement des personnes innocentes mais cela n'était pas tes affaires. Tout ce qui comptait c'était le comportement des personnes dans le ranch, leurs vies d'avant ne te regardaient pas. « C'est assez rare, en effet, nous n'avons pas besoin d'y aller. Tout ce dont nous avons besoin, on le trouve directement au ranch. »

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Malya et Nino

Il est difficile pour toi d'imaginer une nouvelle sorte de vie. Tu aimes avoir les pieds sur terre et ne pas te laisser embarquer dans les idées farfelus des gens que tu peux croiser. Non que le ranch soit farfelue, au final tu n'y connais pas grands choses. Tu en avais rencontré des personnes farfelues le long de ta vie. "Comme ont dit le plus important c'est de sentir bien." Tu ne souhaites pas manquer de respect à la jeune femme, alors tu gardes tes remarques cynique pour toi. Il te semble évidemment que toutes les personnes dans ce ranch ne sont pas forcément des gens bien. Tu ne dis pas qu'ils sont tous mauvais, mais pour vouloir vivre dans de tels conditions, il faut certainement avoir quelques choses à cacher ou un grain en moins. "Et tout ce que vous avez au ranch est financé comment, je veux dire un tel terrain, de tel bâtisse cela doit forcément coûté un petit billet. Étant moi-même propriétaire d'un gros terrain, je peux dire que ça coûte cher." La curiosité est un vilain défaut.