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Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)

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WELCOME TO BERKELEY ৩

Anonymous
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Sujet: Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)   
posté Mar 16 Avr - 19:51


Tu déflores sa fleur ?
Tu sors d'une longue nuit de boulot. A la base, des base tu devais bosser que quelques heures avant de rejoindre ta douce petite amie dans votre lit conjugale. Tu as eu plusieurs réunions avec les quatre coins du monde. Tu aimes ton travail, tu ne comptes pas les heures quand tu es là-haut, mais tu n'aurais pas voulu y passer toute ta nuit. Tu marches comme un zombie de la série que tu n'arrêtes pas de regarder en ce moment. Tu n'as plus des cernes sous les yeux, mais des valises. Tu les sens lourdes et tu rêves de pouvoir fermer les yeux. Quand tu rentres, tu sais que tu vas trouver la maison vide. Ton chauffeur s'est garé dans l'allée de ta sublime maison et tu ne vois pas la maison de Lili, tu es triste, mais au moins tu vas pouvoir dormir un peu. Tu es fatigué, c'est dans ces moments-là que tu regrettes tes vingts ans. Avant, tu assumer ta journée de boulot et la fête du soir. Maintenant, il va te falloir deux jours pour t'en remettre et encore si tu arrives à ferme l'oeil. Tu as beau être crevé, même exténué, tu ne sais pas si tu vas réussir à t'endormir. Tu aimes dormir dans le noir complet et à cette heure matinal, le soleil est déjà quasiment lever. Tu montes les escaliers qui montent à l'étage. Tu ne salue pas la femme de ménage et tu évites ton major-d'homme. Est-ce vraiment le moment de s'occuper du courrier, tu ne penses pas. Quand tu arrives à l'étage, tu entends du bruit sortant de la chambre de ta fille. Tu lèves un sourcil, tu trouves cela bien étrange. Tu ne devais pas recevoir une de tes filles ce week-end. Puis tu t'imagines qu'elle est venue chez toi, espérant te voir. Tu n'as pas toujours été le père idéal, mais depuis quelques années, tu fais des progrès. Bon certes, ce fut plus facile de faire des conneries que de se faire pardonner, mais au moins tu essaies. Tu arrives près de la chambre de ta fille et tu entends des bruits étrange. Tu entends des gémissements et aussitôt tu comprends ce qui s'y passe. Tu rentres dans une colère noir, oubliant ta nuit blanche, tu ouvres la porte comme un fou. Tu es choqué, ta fille s'enroule d'un drap tandis que monsieur muscle te regardes. Tu te demandes pour qui il se prend. Non, tu refuses ça chez toi, tu refuses, ta fierté d'Italien en prends pour son grade. Tu attrapes la tignasse de ce mec qui était en train souillé ta fille. "Toi Jeune homme tu vas dégager de ma propriété et de ma fille!" Puis tu te retournes vers ton bébé, ton trésors et tu lui dis. "Toi on va avoir une conversation, jeune fille!" Tu n'es pas idiot, tu sais que ta fille n'est plus un bébé. Tu te doutes que cela dû se produire. Mais tu préfères ne pas y penser. Tu ne veux pas que ton bébé, soit une femme, tu veux qu'elle reste ton bébé à jamais.

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Sujet: Re: Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)   
posté Mer 17 Avr - 19:27


Il pensait que ce genre de situation n’arrivait que dans les films comiques diffusés au cinéma avec un acteur comme Bradley Cooper dans le rôle principal. Au final, aujourd’hui, il comprenait que ce genre de merde n’arrivait pas que dans les comédies hollywoodienne rythmée à la bande son de Nickelback. Comment s’était-il retrouver dans cette maison à se casser la gueule, un T shirt dans la main et l’autre main maintenant son jean en bas de son cul dans une course folle vers la sortie ? Une longue histoire. Une longue putain d’histoire. Il était pourtant bien là, a se casser la gueule sur le carrelage comme dans un cartoon, la respiration haletante et le cul à moitié à l’air avant de reprendre sa course effrénée à travers la demeure.
Cette putain de cuite, il avait eu envie de se la mettre en ce vendredi soir, en réalité il en avait eu besoin après une nouvelle altercation avec son géniteur. Une altercation plus virulente que toutes celles qu’il avait eus avec lui ces dernières semaines. Elyan. Il avait eu besoin de se sortir ses démons de la tête. Cet exorcisme, il ne savait pas comment il se terminerais, il avait simplement enfiler son plus beau pantalon et l’un de ses nombreux t-shirt à l’effigie d’une équipe de football australienne. Son cul, il l’avait poser lourdement sur un tabouret au comptoir du bar, les coudes enfoncés dans le bois parfaitement lustré avec une bière dans la main et une clope claquée au coin de son oreille. Elyan. Il aurait p’tet dût aller voir sa petite amie. Essayer de se rattraper comme il l’avait promis à sa mère quelques jours plus tôt, essayer enfin de construire une relation avec la belle Blue-Belly, à la place il continuait d’agir comme un véritable enfoiré. La colère, voilà ce qui avait guider ses pas ces dernières années, alors il avait simplement éteint son téléphone après avoir reçu quelques uns de ses messages qu’il échangeait avec elle. Le tatoué, il s’était enquiller quelques pintes de bières avant qu’elle ne vienne s’asseoir à ses côtés, frustrée d’une situation avec l’un de ses amis.
Devant lui, il avait eu deux voies possibles, se lever pour envoyer la tête de l’autre mec bourré au fond du bar dans la fenêtre à côté de lui. Sourire à la jeune femme et lui proposer un verre pour penser à autre chose qu’à son débile d’ami complètement ivre. Un regard, une analyse rapide, un sourire et il s’était simplement jeter à l’eau. Les verres ils s’étaient enchaînés assez rapidement puis les premiers contacts physiques discrets, délicats, une caresse ou un simple murmure à l’oreille accompagner d’une lèvre qui effleure l’épiderme. Tout deux savaient comment se terminerait la soirée et elle n’allait très certainement pas s’éterniser lorsqu’elle s’emparait de sa main pour glisser à l’extérieur du bar. Douce, délicate, presque sensuelle avant même qu’ils ne se retrouvent dans le même lit de longues minutes plus tard. Alors, elles s’étaient écoulées, les minutes et les heures de plaisirs à profiter de chacune des seconds possibles. Son regard perdu dans le sien, il savait qu’il n’en resterait pas à une seule nuit.
Voilà comment il avait fini par atterrir dans les draps de la belle consommant plusieurs pêchés capitaux avec un large sourire sur les lèvres. Une mèche de cheveux arrachée par la main d’un père ayant surpris sa fille se faire plaisir en compagnie d’un rebelle à la peau recouverte d’encre. Une main puissante sur son torse pour se dégager de lui glissant simplement une invitation à un second contact s’emparant de son T-shirt pour s’enfuir à travers la demeure. Les pieds glissant sur le sol, son corps s’étalant de tout son long et poids à plusieurs reprises s’empatouillant dans ses vêtements qu’il essayait de remettre dans sa course de lapin affolé. Cette scène digne d’un film se serait très certainement terminée par un italien en colère pestiférant des noms d’oiseaux dans sa langue européenne si la porte n’était pas verrouillée. Son cœur battait la chamade, ses yeux cherchaient une solution et son temps était compté avant que l’homme ne lui remette la main dessus. Il le savait alors il grognait et jurait entre ses dents s’élançant dans la direction opposée de la maison à la recherche d’une sortie accessible. Les secondes défilaient à une vitesse alarmante perché devant la porte, ses mains secouant la poignée, entendant la démarche patriarcale dans son dos. Une seule solution, la discussion, faisant volte face levant les mains devant lui en signe de paix recherchant visuellement un moyen de contourner le barbu face à lui. « Wow, wow, wow. On s’calme. J’savais pas que c’était ta femme… » Putain c’est pas possible, il ne pouvait pas s’empêcher d’être provocateur, abrutis comme il était par les effets de l’alcool encore présent dans son organisme. Un sourire au coin des lèvres prêt à bondir sous les bras de l’homme pour s’enfuir. « Elle est quand même sacrément mieux conservée que toi pis c’est une bêêêêtteeeee… »
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WELCOME TO BERKELEY ৩

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Sujet: Re: Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)   
posté Jeu 18 Avr - 10:21


Tu déflores sa fleur ?
Tu te demandes ce que tu as foiré dans l'éducation de ta fille quand tu retrouves dans une telle situation. Tu es un père, tu penses forcément que cela est de ta faute. Tu ne veux pas juger ta fille, mais la colère est là. Comme un bon italien que tu es, tu es énervé et plus rien ne peut te calmer. Tu as l'impression d'être dans une comédie et tu aimerais tellement que ça le soit. Tu voudrais pouvoir te réveiller et réaliser que tout cela n'est qu'un mauvais rêve. Que tu n'as pas surpris ta fille, ton bébé avec un parfait étranger sous ton toit. Et là tu te demandes si c'est la première fois ou si elle a tendance à se servir de ta maison comme d'un hôtel. Tu refuses d'y croire, tu fais l'autruche, tu ne veux pas croire que ton bébé puisse agir ainsi. C'est forcément à cause de ce mec. Tu le regardes de hauts, tu le méprises et tu te sens tellement mieux que lui. En même temps, c'est sûr que tu l'ai. Tu connais ce genre de mec, tu en étais un, il y a quelques années. Ramenant des filles plus crédules les unes que les autres dans ton lit. Toi aussi, tu aimais le plaisir charnel. Tu aimais pouvoir te taper le plus de femmes possibles. Pour combler un vide ? Pour combler un manque ? Peut-être, lors de ton mariage avec Théa, tu étais incapable de lui promettre la fidélité. Chose que tu fais avec ta nouvelle petite amie. Alors, tu connais ce mec, peut-être même plus qu'il se connait lui même. Tu sais ce dont il est capable, tu sais qu'il se moque totalement de ta fille. Tu le traînes par les cheveux, il a encore son jeans sous les cuisses, il n'a même pas fait l'effort de se dévetir comme il se doit. Tu connais la combines, c'est pour se faufiler en douce plus rapidement. Tu étais aussi un adepte de cette pratique. Tu trouves une excuse pour sortir de la pièce et tu te barre. Sans même avoir donné ton véritable numéro ou ton prénom. Alors, quand cet odieux personnage, te provoque tu aimerais pouvoir lui poser simplement ton flingue sur la tempe. Mais ce n'est qu'un gosse, tu prends une grande respiration afin de ne pas agir comme un taré. Tu lâches la tignasse pleine de gel. "Tu sais où tu te trouves ? Tu sais à qui tu parles ?" Pourtant, ta réputation te précèdes. Tu n'es pas un homme bien charmant. Tu as beaucoup d'ennemie. Et ils disparaissent quand ils deviennent trop ennuyants. Tu as des hommes pour faire cela, tu ne te salis plus les mains désormais. Tu ne voudrais pas que ton nom puisse prendre la poussière. Et puis ce petit con continue à te charrier, continue à t'en foutre pleins la gueule. Tu lui souries, un sourire qui ne va pas être bon pour lui. "P'tit con, c'est ma fille ! Et pour ça que tu t'es mis dans un sacré merdier!" Tu le regardes de haut en bas, tu es tellement mieux que lui, tu rigoles. Il se croit supérieur avec ces muscles et ces tatouages. Mais toi, tu sais, que si tu en as envie, tu peux lui offrir 24h de vie. Tu ne feras certainement pas, trop de choses te relierais au meurtre. Mais tu ne penses pas que ce genre de mec, va manquer à quelqu'un. Enfin si à ta naïve de fille. "Comptes-tu épouser ma fille? Sors-tu avec ma fille?" Tu attends une réaction de sa part. "Alors, tu n'as rien à faire dans ma propriété ! Tu n'as rien à faire dans la chambre ou encore dans ma fille elle-même!" Tu pourrais lui montrer l'arme que tu portes dans ta veste. Mais cela sonnerait comme un mauvais western. Tu refuses de passer de la comédie à ce genre de film. Alors, oui, tu as beaucoup de fierté, mais on ne te changera plus. Plus on a ton âge! Tu es un vieux désormais. Tu ne fais plus partis de la génération des jeunes. Tu comprends mieux la fatigue, tu ne tiens plus aussi bien l'alcool et tu ne te vois plus faire la fête. Quand tu organises une soirée, tu mets plus de temps à t'en remettre. Aujourd'hui, tu donnes l'impression d'être un bon directeur, un bon père de famille et un bon copain. Mais là devant cette scène horrible de ta fille et on parfait inconnus, tu as à nouveau 20 ans, tu n'es plus fatigué et si il le faut tu pourrais te battre. Certes plus avec les mêmes armes qu'avant, mais si besoin tu le ferais.


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Anonymous
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Sujet: Re: Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)   
posté Ven 26 Avr - 17:03

« Tu n’as rien à faire dans ma propriété ! Tu n’as rien à faire dans la chambre ou encore dans ma fille elle-même ! » Sans véritablement comprendre, Elyan, il explosait de rire en entendant l’italien fou de rage après avoir surpris sa fille dans ses draps avec un homme. Dans un geste brusque, il repoussait l’homme, reculant ainsi de plusieurs pas pour venir heurter le bas de son dos dans un meuble qu’il n’avait pas vu apparaître dans son champs de vision. Techniquement, il avait eu le droit d’être sur la propriété de l’homme. Techniquement, sa file, elle lui avait offert le droit de pénétrer à la fois sa chambre mais aussi son intimité. Elyan, il se sentait soudainement pousser des ailes, il n’avait rien à se reprocher. Ce vieil homme complètement aveuglé par la colère et le visage déformer par la fatigue, il était celui qui l’agressait, la situation n’était pas contre le tatoué. Inspirant profondément, reculant toujours afin de rester à bonne distance de l’homme, le poing prêt à partir dans sa mâchoire à tout instant. Il souriait « Ecoute, Mario, ta fille. Elle s’sentait seule. C’est elle qu’est v’nu chercher, moi à la base, j’voulais juste m’retourner la tête, hein. » Une main passant sur sa mâchoire. Elyan se grattait doucement la joue. Il était faible, personne ne dirait jamais le contraire, la gente féminine elle était son véritable talon d’Achille. Une opportunité facile pour lui de s’envoyer en l’air, dieu sait qu’il aurait été très con de ne pas l’accepter, au fond de lui en observant l’homme en face de lui. Elyan, il ressentait qu’ils pouvaient se comprendre et c’était bien cela qui mettait le géniteur de la déesse de sa nuit dans un état de colère si intense. « J’sais pas qui t’es, vraiment, et j’men cogne… T’es qu’un connard parmi les milliers de connards qui grouillent sur cette putain de planète. Comme toi, tu sais pas qui j’suis et c’est très bien... » Son poing se serrait, si fort, son cœur battait à s’en rompre dans a sa cage thoracique. Pourquoi toutes ses putains de soirées se terminaient par envoyer des coups dans la gueule d’autres types dont il s’en battait royalement les couilles ? Bordel de dieu ! Pour une fois qu’il était calme, pour une fois qu’il n’avait rien fait d’autres que picoler et se rapprocher d’une nana avant de s’envoyer en l’air. Pour une putain de fois qu’il ne terminait pas dans une putain de cellule avec ces connards de flics. «Mais j’te rappel a quel point tu peux t’foutre dans la merde si tu t’calmes pas maintenant l’étalon italien… Donc on va gentiment s’séparer là et il t’arrivera rien. Tu continueras ta putain de vie minable dans ta putain de maison à la con avec ta femme qui est pas dans ton putain de lit pendant qu’moi j’continuerais à m’démolir en la gueule en espérant oublier mon putain de daron qui t’ressemble comme deux gouttes d’eau… Capiche, Pinocchio ? »
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Sujet: Re: Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)   
posté Sam 27 Avr - 9:28


Tu déflores sa fleur ?

Tu es d'un caractère impulsif, tu as souvent cherché la bagarre, chercher à t'en prendre pleins la gueule. Peut-être que c'était une façon d'essayer d'attirer l'attention. Tu n'as jamais aimé être au second plans. Tu es et tu resteras le grand Galiente. Quand ce petit con rigole de toi, tu souris. Tu souris, car tu sais comment peut réagir ce genre de mec. C'est toi, c'est tout toi, à une époque qui te semble une autre vie. Alors, tu pourrais t'énerver, tu pourrais lui tirer une balle dans la jambe et le regarder boitier jusqu'à ton hall d'entrer. Tu prendrais certainement ton pied à le voir mettre son poids sur une jambe blessée en descendant les escaliers. Mais tu le vois se reculer et se prendre les pieds dans ton meuble, tu rigoles. C'est tellement toi. Tu joués les hommes forts, mais au final qui étais-tu ? Un imposteur, un charlatan, tu jouais les hommes, les vrais, mais tu ne comptes pas le nombre de fois où tu as pris la fuite devant un mari jaloux ou un père trop protecteur. Cet situation pourrait te faire rire, tu pourrais même avoir de l'admiration pour ce jeune homme de caractère. Tu pourrais lui demander si un job pour ta sécurité le brancherais. Si ce n'était pas chez toi qu'il était. Si ce n'était pas avec ta fille qu'il baisait. "Donc tu n'as fais que lui rendre service, mais quelle âme charitable ait-je en face de moi." Puis il te traite de connard, une insulte bas étage, une insulte qui ne te touche guère. Tu es un connard, tu le sais, tu te définies ainsi, mais sans cela tu ne serais pas là. Patron de ton magasin, père de famille et riche à souhait. Monsieur Muscle grimpe sur ses grands chevaux et cela te fait plaisir de voir qu'il a une grande gueule. Hors, tu détestes ceux qui n'ont pas de répondant. "Écoute petit! Je vais t'expliquer une chose. Il y a bien une raison pour laquelle, tu ne me connais pas. Une simple et petite raison que tu n'ais jamais entendus parler de moi et de mes affaires. C'est que quand quelques choses m'ennuie il disparaît. Je n'y suis pour rien, rien ne me relit à l'affaire." Tu joues avec tes sourcils, tu es puissant, tu n'as peur de rien. Grâce à tes ressources financières comme relationnel, tu es au-dessus des lois. Tu le sais et tu en joues. "Tu vois, ils disparaissent, ils ne peuvent plus parler. Pendant que moi je m'enrichie sur leurs dos, c'est les affaires, il n'y a rien de personnelle. Alors, imagine un peu comment je peux réagir quand ces personnel." Tu savais que dans un procès ce que tu venais de dire n'avait aucun impact pour toi. Ce ne sont que des paroles sur un mec trop déchirer pour avoir de l'importance. Durant cette conversation tu avais repris ton calme, tu étais serein et ça t'amuses de voir le jeune homme serrer le poing. Vous vous ressemblez beaucoup plus qu'il n'y parait. Le dicton qui dit que les femmes choisissent quelqu'un qui ressemble à leurs pères n'est pas qu'un simple dicton. Quand il te parle de son père, tu imagines le genre de géniteur qu'il puisse avoir. Ça pourrait te toucher, mais tu en as rien à foutre. La seule chose à laquelle tu penses, c'est ce qu'il était entrain de faire avec ta fille. Tu continues à lui sourire avec un regard bien hautain. "Tu n'as pas l'air de comprendre, petit. Les règles, les lois, c'est moi. Mais entre toi et moi, ma vie me semble moins minable que la tienne. Regarde autour de toi. Si tu étais moins défoncé tu verrais peut-être dans quel baraque tu es et surtout en face de qui!" Il a déjà tellement de chance de pouvoir avec une discussion avec toi.


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Sujet: Re: Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)   
posté Sam 27 Avr - 10:06

« C’est bien mon grand, t’as mis quoi… Trente ans à te faire ton premier million ? » A son tour, un sourire narquois se dessinait sur son visage tandis que l’assurance reprenait le dessus sur le jeune homme. Le brun en face de lui roulait des épaules exhibant sa fortune, sa seule fierté en dehors de sa fille que le tatoué venait de se faire pendant de longues heures, se redressant un peu plus sur ses épaules. Elyan, il souriait, plongeant son regard dans celui de l’homme en face de lui. Il venait de voir clair dans son jeu, l’italien, il n’était qu’un autre de ces connards traînant dans un milieu illégal et roulant des épaules. Le poing du jeune homme se desserrait doucement tandis qu’il s’approchait lentement de lui pour venir plonger son regard dans le sien. Il riait, doucement, bêtement et presque hautainement en reniflant l’odeur du parfum du quinquagénaire en face de lui. Elyan, il l’observait de haut en bas, ses fringues. Son allure. Sa coupe de cheveux et même le taillage de sa barbe. Il était bien le même genre d’hommes que son géniteur. Un connard. Un simple connard ne voyant que les apparences et l’argent. Sa main tatouée remontait doucement vers le col de la chemise de l’Italien en face de lui remettant celui-ci en place. « C’est toi qui n’a pas l’air de comprendre, Al capone. T’es comme moi sauf que t’es le daron maintenant… Et tu ne feras rien, tu n’ouvriras que ta grande gueule d’italien. » Un sourire toujours coincé au coin de ses lèvres, il se reculait doucement passant la main sur sa mâchoire rasée de près. Elyan, il avait compris, il avait compris qu’il ne ferait rien. A présent, il n’était plus face à un père en colère, non, il n’était que face à une grande gueule qui affrontait une autre grande gueule et cette situation était extrêmement plaisante pour lui. Une autre de ses anecdotes farfelues qu’il raconterait plus tard à Aleksander tandis qu’il sentait l’alcool descendre paisiblement enfonçant la main dans la poche de son pantalon pour en extraire un paquet de cigarette. Les yeux plantés dans ceux de l’homme en face de lui par simple provocation. Il n’allait pas fléchir et bien au contraire, il allait même continuer dans sa provocation, il attendait de voir si l’homme n’était qu’une grande gueule. Ce ne serait pas la première fois qu’il se retrouve dans la merde, à vrai dire, ce ne serait même pas la première fois qu’il se retrouve avec sa vie en péril. Dans le fond, Elyan, il adorait ça. Cette adrénaline de sentir le danger proche, prêt à lui exploser en pleine gueule, s’il était lunatique. Oui. Ce n’était un mystère pour personne dans son entourage, Elyan, il a toujours eu ces soucis depuis le décès de son petit frère. Il a toujours eu ces putains de changements d’humeurs en l’espace de seulement quelques minutes pour les moins espacés. « J’te remet maintenant, Galiente. J’savais bien que ce nom me parlait… T’as un point en commun avec les Peterson… T’aimes bien te montrer, hein, t’es comme le vieux. » Doucement, il se jetait une clope au bec plongeant toujours plus intensément son regard dans celui de l’homme en face. « On dirait que les règles du jeu viennent changer soudainement… La dernière fois qu’on a vu un Peterson il était avec ta fille… mauvais, très mauvais pour le grand Galiente… »
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Sujet: Re: Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)   
posté Mer 1 Mai - 8:30


Tu déflores sa fleur ?

Tu rigoles, ce petit con ignore tout de ta vie. Tu as bossé dur, mais surtout pour faire connaitre le journal dans ce côté du continent. Ton journal est un des derniers en format papier à être le plus vendus en Italie et en Australie. Tu es fier de l'exportation que tu as faites et ce n'est pas un petit trou du cul qui va te faire croire le contraire. Tu sais ce que tu vaux, tu sais que ton talent, tu sais que tu as toujours valus mieux que cette petite merde que tu as en face de toi. "C'est vrai que tu dois savoir ce que c'est de bosser. Dealeur ne doit pas être un métier très facile." Dis-tu avec sarcasme. Tu emploies un peu trop le sarcasme au sens de ta copine. Mais tu as tendance à dire que tu as assez changé pour elle. Tu as dit adieu à tes anciens démons par amour et ça, jamais tu n'aurais cru ceci possible. Toi l'homme insatiables, toi l'homme qui se disait impossible d'aimer. Le gamin en face de toi était sur le point de te frapper. Tu avais bien remarqué son poing serré et son visage fermé. Il est du genre à ne pas supporter la pression, tu comprends qu'il est du genre à vouloir se battre. Tu n'as pas peur d'avoir de coup, tu sais très bien te défendre, surtout quand il s'agit de sauver l'honneur de ta fille. Tu n'es pas un Italien pour rien, une grande gueule et une fierté démesurée. "Ne mélangeons pas les serviettes avec les torchons. Il y a plus qu'une différence d'âge entre nous petit, nous nous ne sommes pas au même niveau." Le mec en face de toi commence à sortir un paquet de cigarette. Tu sais très bien ce qu'il allait faire. Il allait fumer sa clope en face de toi seulement pour te faire chier. Comme tu aurais pu le faire, il y a des années de cela. Tu souris à se souvenir mémorables. Tu as déjà été dans cette situation. Cela te ramène quelques années en arrière. Tu attrapes une épée qui faisait d'office de décoration et tu plantes le paquet du jeune homme au mur. "Maintenant tu peux déguerpir de ma propriété." Puis le tatoué t'explique qui il est! Il pense que c'est sensé t'impressionné, mais tu ne l'es pas. Un égo bien trop démesuré pour être impressionné par quelqu'un. Enfin si! Une personne au monde t'impression et tu portes le même nom que lui. Quand celui-ci t'appelle, quand il te dit de faire quelques choses, tu le fais. Malgré les milliers voir millions de kilomètre qui vous sépare. Alors que dorénavant vous êtes dans ton hall d'entré tu n'as qu'une hâte qu'il dégage pour pouvoir commencer ta nuit. "C'est sensé m'impressionner ? Suis-je censé avoir peur ? Je ne comprends pas le but de ta manœuvre, mon petit! Tu as encore des choses à apprendre." Tu connais les Peterson que de nom, tu sais que c'est un nom puissant et des rumeurs circulent sur son problème d'alcool et de violence. Quand tu regardes le gars en face de toi qui dit être son fils, tu comprends mieux cette colère qu'il a en lui. Si les rumeurs de son père ne sont pas que des rumeurs, il doit en avoir lourd sur la patate, mais ça n'excuse pas qu'il était en train de baiser ta fille. "Je ne vois pas de quoi tu parles ! Si il doit t'arriver quelques choses je n'y serais pour rien, j'ai bien trop à perdre!" Tu es bien trop malin pour risquer de te faire attraper par les flics. Il n'y avait jamais aucune preuve contre toi, seulement des rumeurs. Ce n'est pas avec des rumeurs qu'on met quelqu'un en prison. Puis tu rigoles. "En tout cas, respect, tu as une grande gueule, tu iras loin dans la vie, petit!"

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Sujet: Re: Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)   
posté Mer 8 Mai - 12:36


Coup du destin !
et soudain...

Alors que les deux hommes sont en train de se disputer, soudain une porte se claque et la demoiselle a disparu..
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Sujet: Re: Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)   
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Tu déflores sa fleur ? (ELYAN)

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