Valentina n'est pas quelqu'un qui aime faire du shopping. Quand elle le fait, la jeune femme entre rapidement dans un magasin de vêtements et prend ce dont elle a besoin. Il est très rare qu'elle passe plus de temps que nécessaire dans un magasin de vêtements. Cependant, là où la jeune femme peut passer beaucoup de temps, c'est dans les librairies, les magasins de sport ou les magasins de chevaux. Ce dernier, cependant, n'est pas situé dans le centre commercial. La brune n'a pas besoin de nouveaux vêtements non plus. À moins qu'elle ne cherche à obtenir quelque chose pour séduire son petit ami, mais elle n'a besoin de rien d'autre pour cela, il lui suffit qu'elle soit là. Aujourd'hui, la Mexicaine a décidé d'acheter de nouveaux livres. Valentina a déjà lu tous les livres qui sont en sa possession. Au moment où elle quitte la librairie, tout devient noir. Une panne de courant ? Il ne peut pas être trop tard, car dans ce cas, la brune n'aurait pas pu payer les livres. Mais d'une manière ou d'une autre, personne ne semble plus être ici, sauf elle. Étrange. Lentement, la brune se déplace dans les couloirs. Tout à coup, elle rencontre une autre personne. Heureusement qu'elle n'est pas seule. « Excusez-moi, savez-vous ce qui se passe ici ? Une panne de courant ? Ou bien est-il déjà fermé sans que je m'en aperçoive ? » La confusion est facile à voir chez la jeune femme.

(c) Miss Pie

Il n'est jamais arrivé à la jeune femme d'être ici lorsque le centre commercial a fermé. Une telle chose ne devrait pas pouvoir se produire. Quelqu'un a dû être négligent et ne pas bien vérifier. Ou c'est autre chose. Mais si Valentina pense à quelque chose d'autre qui pourrait se passer, son imagination va probablement s'emballer. Mais il y a du bon dans l'ensemble, la Mexicaine n'est pas seule et qui sait, peut-être fera-t-elle la connaissance de quelqu'un de nouveau. « Aucune idée de ce qui s'est passé, parce qu'ils vérifient toujours tout avant de fermer, n'est-ce pas ? » Mais il n'y avait pas d'alarme non plus. S'il y avait eu une alerte à la bombe ou autre chose, un tel événement aurait sûrement été déclenché et la police serait déjà en train de fouiller tout le bâtiment. « Enchantée de faire ta connaissance, je me prénomme Valentina. » Même si ses yeux ne sont pas encore habitués à l'obscurité, elle peut distinguer le sourire de Paige. « Est-ce que par hasard, tu as du réseau téléphonique ? Mon téléphone portable ne fonctionne pas. » Afin de ne pas trop utiliser sa batterie, la brune n'allume que brièvement la lumière de son téléphone portable.

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Bien sûr, ce n'est pas idéal maintenant qu'aucun d'entre elles ne sait ce qui se passe. Mais la brune reste perplexe sur le fait que personne n'a vérifié si le centre commercial est vide ou non. Mais c'est trop tard pour ça maintenant de toute façon. « Peut-être qu'aujourd'hui était l'un des rares jours où ils ont oublié ou ne l'ont pas fait pour une raison quelconque. » Valentina passe généralement la plupart de son temps libre avec son cheval ou avec son petit ami. Mais c'était bien de venir ici aujourd'hui, sinon Valentina n'aurait certainement pas rencontré quelqu'un de nouveau. Le fait que les deux se soient finalement présentés l'une à l'autre est une très bonne chose et rend la conversation plus facile. D'une certaine manière, les deux jeunes femmes semblent être maudites. Aucune n'a de réception de téléphone portable quelque chose qui n'existe sûrement que dans les films d'horreur. « Ça craint. Tu as probablement raison. Peut-être qu'on aura du réseau et que quelqu'un nous verra. Il doit y avoir quelqu'un d'autre de la sécurité dans le bâtiment. » Que pourraient-elles essayer d'autre ? La jeune femme n'arrive pas à réfléchir correctement. Son cerveau ne semble pas vouloir fonctionner. « Sinon, nous devrons trouver autre chose. » Un soupir se fait entendre de la part de la brune.

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Mais cela peut-il vraiment arriver ? Auraient-ils vraiment oublié de regarder partout ? C'est difficile à imaginer, mais on dirait que ça arrive. « Normalement, vous remarquez quand les gens entrent et sortent de la boutique ou, comme dans notre cas, ne sortent pas. Du moins, c'est ce que je croyais jusqu'à aujourd'hui. » Si quelqu'un ici ne vérifie pas son commerce, c'est comme s'il ne vérifiait pas l'écurie de son cheval. Pourtant, c'est la dernière chose qu'elle fait avant de partir, même si elle risque de rater son bus. « Mais il y a une bonne chose dans tout cela, nous avons fait connaissance ! » À ces mots, un sourire se dessine sur les lèvres de la jeune femme. « C'est vrai, il devrait normalement y avoir des caméras. Sauf s'ils ne fonctionnent pas. » Valentina n'est pas quelqu'un qui utilise beaucoup son téléphone portable, contrairement à la plupart des personnes de son âge. D'ailleurs, la brune n'est même pas sûre que le réseau des caméras et le réseau des portables soient connectés. La Mexicaine n'a jamais été intéressée par de tels sujets et cela ne changera probablement jamais. « C'est vrai, et en plus, nous trouverons de quoi manger et boire ici, et il y a aussi des toilettes ! » Qui sait, c'est peut-être aussi la faute du destin qu'elles soient enfermé ici. « Tu crois qu'on peut dormir quelque part ici ? Au cas où on ne sortirait pas d'ici. » Ces derniers temps, la brune est souvent fatiguée, probablement un rhume qui arrive.

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C'est vrai, la plupart des gens qui travaillent ici sont encore des étudiants comme elle. Valentina sait exactement à quelle vitesse on peut être distrait. La personne qui la distrait toujours n'est autre que Max, son petit ami. « C'est vrai, je me laisse souvent distraire rapidement par mon petit ami aussi. » La jeune Mexicaine n'en est pas du tout fière. Si la brune n'est pas distraite par son petit ami, elle l'est par son cheval. Mais ce n'est pas une excuse pour qu'elles soient enfermées ici tous les deux. Max ne l'attend pas pour le moment, elle ne lui manquera pas. « Dieu merci, tu ne sembles pas être une psychopathe non plus. » Un sourire soulagé se dessine sur les lèvres de la jeune femme. Si Valentina était enfermée avec une psychopathe, elle ne saurait pas comment s'en sortir. Mais elle ne veut pas y réfléchir maintenant. La seule chose dont la jeune femme est heureuse pour l'instant, c'est qu'ils ne mourront pas de faim ou de soif. Une soirée pyjama serait certainement intéressante, encore plus ici, dans le centre commercial. « Tu crois qu'on peut emprunter des pyjamas ici ? » Elles trouveront sûrement un endroit où passer la nuit, même si aucune d'entre elles ne dormira probablement. Si, à un moment donné, quelqu'un les trouve et fait un commentaire stupide, la brune se mettra en colère. « Tu crois qu'on va pouvoir dormir un peu ? » Même si la Mexicaine est sûre que ça ne réussira pas, elle ne perd pas espoir.

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Il est clair que cela aurait pu être pire, ou mieux, comme vous le prenez. Valentina aurait pu être enfermée ici avec son petit ami, ce qui bien sûr ne serait pas mauvais, mais la jeune femme sait très bien qu'il se serait alors certainement passé autre chose que de simples discussions. Mais le sentiment de la brune lui dit que la journée sera très intéressante. « Ce serait un véritable festin pour les journaux. » Dit la jeune femme en riant. « Quoi qu'il en soit, je n'ai pas l'intention de tout casser ici et toi non plus, donc ça ne devrait pas être un problème. » Un autre rire se fait entendre de la part de Valentina. Qui sait, peut-être que quelqu'un entendra son rire et ouvrira les portes. « Pour être honnête, je ne suis jamais allé au magasin de matelas ici, mais nous pouvons voir si les portes du magasin sont ouvertes. » Même si la jeune femme ne va certainement pas dormir, s'allonger un moment suffit à recharger les batteries. « Même si emprunter un pyjama n'est peut-être pas la meilleure idée. » La nourriture et la boisson sont indispensables, mais pas les pyjamas. À ce moment-là, son estomac se fait entendre. Valentina est quelqu'un qui mange régulièrement, même si cela ne se voit pas. « Je pense que mon estomac me dit qu'il veut quelque chose à manger. Donc on ferait mieux de commencer à chercher. » Il ne leur faut pas longtemps pour commencer à chercher, mais ils ne trouvent rien immédiatement, ce qui met Valentina en colère, même si colère n'est pas le bon mot.

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Bien entendu, la Mexicaine est consciente que les deux femmes se retrouvent dans une situation difficile à évaluer. Qu'est-ce qui était autorisé et qu'est-ce qui était interdit ? On ne peut pas leur reprocher de manger et de boire, même si elles survivraient certainement à une nuit sans les deux. Sans cesse, la brune regarde son téléphone portable dans l'espoir d'obtenir une connexion, mais la jeune femme n'a pas de chance. Pire encore, elle n'avait pas chargé son portable avant de partir. Et le magasin de téléphonie mobile était l'un des rares à être verrouillé et protégé par un système d'alarme. « Mon téléphone portable rend lentement l'âme. » Valentina soupire et regarde une dernière fois une photo d'elle et de son petit ami avant que le portable s’éteigne. Elle doit sûrement lui manquer. Est-ce qu'elle lui a dit où elle allait ? La Mexicaine n'est plus sûre. Elle range immédiatement son téléphone portable dans sa poche et espère que manger la distraira. La plupart du temps, c'est le cas. Malheureusement, ce n'est pas seulement le magasin de téléphonie mobile qui a été sécurisé. Une chose dont la brune a pris conscience alors que les deux femmes traversaient le centre commercial. Alors que Valentina a presque perdu tout espoir, un distributeur apparaît devant eux. « Peut-être qu'ils ne l'ont pas éteint. Mais je ne savais même pas qu'il y avait un distributeur ici, et toi ? » Elle regarde Paige d'un air interrogateur, se demandant si elle ne l'a pas simplement négligé. Bien sûr, il est également possible qu'il soit nouveau et qu'il ne soit là que depuis quelques jours.

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Valentina n'a pas vraiment envie de se retrouver dans le noir. Ce n'est pas que la brune a peur, mais ça la met mal à l'aise. Même la nuit, la Mexicaine a toujours besoin d'une sorte de lumière dans sa chambre, ce qui doit déranger son petit ami lorsqu'elle dort chez lui. « Je pense que je dois prendre l'habitude d'emporter des piles et une lampe de poche, car qui sait si cela ne se reproduira pas. » En soi, il s'agissait d'une blague. Comme il n'y a pas d'électricité, elles ne peuvent pas recharger leurs téléphones portables, ce qui craint. « Penses-tu qu'il fera assez lumineux là-bas ? » Pour être honnête, Valentina n'a jamais fait attention. Quand Paige bouge, Valentina la suit immédiatement. Dans un premier temps, la brune ne sait pas exactement ce qu'elle a en tête. « J'ai l'habitude d'acheter un café à emporter et quelque chose à manger en même temps. » La jeune femme n'est jamais allée à la boutique de donuts, du moins elle ne s'en souvient pas. « Les donuts y sont bons ? » Qui sait, peut-être qu'elle s'y arrêtera un jour pour en acheter un. « C'est vrai, c'est certainement plus facile avec le distributeur. » Valentina se souvient bien qu'elle essayait parfois d'obtenir des boissons gratuites dans les distributeurs automatiques avec son cousin et son frère. Ça marchait souvent, mais elle a oublié comment faire. Mais la jeune femme ne veut faire quelque chose comme ça que s'il n'y a vraiment pas d'autres moyens. Après la question de Paige, la brune fouille dans ses cheveux. « Cela, fonctionnera-t-il avec ça ? » Ce faisant, la jeune femme lui tend une barrette. Il est clairement bon d'avoir les cheveux longs.

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On peut se demander si Valentina était vraiment sérieuse au sujet des piles, car la brune les oublierait de toute façon au moment où elle est à la maison. D'ailleurs, quelles sont les chances, que la jeune femme soit à nouveau enfermée dans un centre commercial ? Aussi bon que zéro ou pas ? « Avec ma chance actuelle, rien ne me surprendrait. » Il y a même un sourire sur ses lèvres à ces mots. Que Paige puisse le voir, cependant, est une autre question. Normalement, la jeune femme a toujours avec elle la batterie externe de son téléphone portable, mais ce n'est pas le cas aujourd'hui. Il est dans une de ses autres poches. Survivre sans café ne sera pas facile, surtout pour une personne qui a l'habitude de boire plusieurs tasses de café par jour. « Alors nous prions pour que je puisse survivre sans café et ne pas devenir folle. » À ces mots, Valentina ne peut plus réprimer un rire. Lentement, Valentina commence à se faire à l'idée qu'elle va devoir passer quelques heures de plus ici. Mais heureusement qu'elle est enfermée avec la bonne personne, ça aurait pu être bien pire. « Malheureusement, on voit trop souvent des produits malsains dans les distributeurs automatiques et je n'aime pas ça non plus. » C'est probablement parce que la jeune femme est une athlète. Oui, l'équitation est aussi un sport. Un sport qui jouit d'une grande popularité. « Pour moi, le lycée, c'était il n'y a pas si longtemps, mais je n'ai jamais rien fait de tel. » Valentina n'a jamais rien fait contre le règlement de l'école. Pourquoi ? Elle ne voulait pas avoir de problèmes avec ses parents. Cependant, cela a changé lorsqu'elle a commencé l'université. Depuis qu'elle est à l'université, la brune ose exprimer son opinion, ce qui est évidemment une bonne chose pour elle. « Tu crois qu'on va devoir attendre ici encore longtemps ? » La jeune femme est curieuse de savoir ce que Paige en pense.

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Valentina est soulagée de ne pas être enfermée seule dans ce bâtiment. Dans ce cas, la brune serait certainement devenue folle. Mais la jeune femme ne peut toujours pas expliquer pourquoi les deux pourraient être oubliées dans le magasin. « Je sais que tu as raison et que je ne vais pas en mourir. » La famine ou une alimentation malsaine étaient les deux seules options qui s'offraient à la brune pour le moment. Le moins mauvais serait probablement de manger de façon malsaine. Un court soupir se fait entendre de la part de la jeune femme. « Voyons si nous pouvons obtenir quelque chose des distributeurs avant de mourir de faim. » Valentina essaie de sourire en disant ces mots. La Mexicaine est fière de ses parents et de tout ce qu'ils ont accompli, ce qui n'est pas négligeable. « Possible. » Mais Valentina n'est pas sûre que ce soit toujours le cas. Ses parents sont aussi parfois ailleurs avec leurs pensées. « Je me disais déjà que ça va être long ; as-tu une idée de comment nous pourrions nous distraire ? » Valentina est quelqu'un qui n'a jamais vraiment d'idées dans des moments comme celui-ci. « Connais-tu des jeux auxquels tu peux jouer sans avoir besoin de te rendre dans un magasin ? » Valentina n'a toujours été intéressée que par ses chevaux, et cela a maintenant des conséquences.

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Valentina fait partie de ces personnes qui font en principe attention à ce qu'elles mangent, mais parfois, on peut et on doit aussi manger quelque chose de malsain. Cependant, c'était plus important auparavant, lorsqu'elle était plus active dans le domaine de l'équitation. Aujourd'hui, cependant, ses études sont plus importantes pour elle. « Pour être honnête, j'ai vraiment envie de chocolat en ce moment. » Avant, la brune évitait le plus souvent le sucre, mais maintenant, la jeune femme en apprécie le goût. Cette soirée et cette nuit seront visiblement moins ennuyeuses qu'on aurait pu le penser au départ. Le shopping est quelque chose que Valentina n'a pas fait depuis un certain temps, puis elle a décidé d'aller faire du shopping et le destin frappe. « Je ne dis certainement pas non au shopping. » Qui sait, peut-être que la jeune femme trouvera quelque chose qu'elle achètera plus tard. « Bien que ce ne soit probablement pas une si bonne idée. » Action ou Vérité, un jeu auquel on jouait beaucoup autrefois dans son cercle d'amis. « Qui sait, ce jeu nous permettra peut-être de faire plus ample connaissance. » Cela ferait vraiment plaisir à la Mexicaine, car on n'a jamais assez d'amis dans sa vie.

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Valentina est sûre qu'elles paieront plus tard les choses qu'elles ont prises, si elles arrivent à sortir d'ici. D'une certaine manière, la Mexicaine ne peut pas s'imaginer que Paige est une voleuse. De plus, les deux jeunes femmes n'avaient pas le choix, elles devaient manger et boire quelque chose. Bien sûr, Valentina aurait préféré pouvoir manger plus sainement, mais elle ne peut plus rien y faire. Manger un chocolat ne la tuera pas. « Merci, toute seule, je serais probablement morte de faim. » Après avoir accepté le chocolat, Valentina en croque un petit morceau. Peut-être vaut-il mieux garder un peu du chocolat pour plus tard. Shopping ! Un mot qui plaît particulièrement à la brune. Quel est son style préféré ? C'est une très bonne question. « Pour être honnête, je n'y ai jamais vraiment pensé. J'ai toujours pris ce qui me plaisait. Mais il est peut-être temps. » En chemin, les deux jeunes femmes ont commencé un jeu. Un jeu que beaucoup de gens connaissent et ont déjà joué. Action ou vérité. Pendant un moment, la Mexicaine se demande ce qui serait le moins grave des deux. Répondre à une question ou faire une action ? « Vérité. » Oui, Valentina a joué la carte de la sécurité. La brune a toujours été comme ça, elle prend toujours en premier ce qui semble être le moins dangereux. Il n'y a que lorsqu'elle monte à cheval qu'elle s'en fichait et s'en fiche encore. Là, elle prend tous les risques.

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