La vie n'avait pas très bien commencé pour toi. Un enfant parmi tans d'autre qui aurait dû être enlevé a ère pour être vendus à seulement six ans. Certainement que ta vie aurait été particulièrement différente si les choses s'était passé ainsi. Tu n'aurais pas connus ta famille d'accueil, les longues journées au tribunal et surtout pas la drogue. La rue, alors que tu avais seulement l'âge d'avoir tes premières poils sur le menton. L'âge où tu aurais du cherché l'amour au lieu de chercher des clients potentiels. Tu n'as jamais fait les choses comme les autres et pourtant même toi, tu avais eu le droit à la chose exceptionnel qu'ai l'amour. Tu regardes ta femme dans les yeux et tu ne peux t'empêcher de dire que tu as énormément de chance. Cette femme qui te fait confiance, qui t'accepte et qui est prête à t'attendre sagement chez vous, alors que tu es en déplacement. Tu n'aurais jamais pu croire cela possible. Il y a que dans les films de noel que les choses finissent par être ainsi et pourtant, tu étais la preuve du contraire. C'est parfaitement égoïste et pourtant, tu étais heureux de savoir que ta femme avait de quoi faire. Tu la connais, tu sais comme elle aime être occupé et tu sais aussi que l'écurie lui donne cette sensation d'être importante. Cette sensation d'avoir en quelques sortes sa petite famille avec d'énormes bébé. "Et bientôt cette famille va s'agrandir, déjà avec ce petit bébé à venir et aussi, ton père ne veut pas que je te le dise. Mais il est en pleine négociation avec un homme de la vile pour récupérer ses chevaux." Tu avais entendu monsieur x en parler, le vieil homme à qui appartenait ses chevaux est mort. Le fils est bien trop citadin pour s'occuper de deux et comme il frôle les frontières du ranch, monsieur x aimerait bien agrandir nos terrains. Et par la même occasion faire un petit cadeau à sa fille chérie. Tu trouves que l'idée est bonne, il faut toujours plus de terrain afin d'avoir de meilleur récolte et une vie plus simple. Tu souris à la réponse de ta famille elle a toujours réponse à tout c'est une des nombreuses raisons qui font qu'elle aussi merveilleuse à tes yeux. Tu l'embrasses doucement le front avant de lui répondre. "Je n'hésiterais pas, si c'est un ordre." Contrairement aux autres gens du ranch, vous êtes vraiment proche l'un de l'autre. Tu acceptes certaines conditions de l'endroit ou vous habitez, mais certains comme ceux qui disent que la femme méritent moins que l'homme, ne te plaise pas. Tu n'ais pas l'homme qui protège les droits des femmes, mais à tes yeux ta femme mérite simplement mieux. Elle te propose donc de terminer la soupe seule. Vous retournez au coin cuisine et tu t'installes en face d'elle pendant qu'elle vous prépare une bonne petite soupe. Rien qu'au légume qui cuit dans un petit bouillon, tu as déjà la salive à la bouche. Soudain ta femme te pose une question et après quelques minutes, tu finis par lui répondre. "Il souhaiterait que j'aille dans les campagnes au alentours pour pouvoir distribuer des flayers et aider au mieu, mais nous n'avons pas de date concrètes. Avec les fêtes de fin d'années, on a tendance à favoriser ceux qui sont déjà là. Surtout qu'en peu de temps nous avons eu quatre nouvelles têtes à nourir". Malgré tout en acceptant Warren à venir, nous avons accueilli un bon chasseur.

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Noël n'est pas la période la plus facile de l'année. Malya et toi êtes habitué, mais tu ignores si les filles de Beth vont l'accepter. Déjà que la plus jeune à tendance à fuguer pour un oui et non, tu te dis qu'avec l'absence de gros paquets cela va être très compliqué pour ta deuxième femmes. Tu seras là pour elle, mais tu n'es pas certain que cela puisse résoudre tous ses soucis. Ce ne serait pas faute d'essayer. Il est vrai qu'en ce moment entre Beth, ses filles et Warren cela nous fait quatre bouches à nourrir en plus. Mais l'argent qu'ils nous ont donné en arrivant nous permettent d'avoir un beau petit capital. Mais surtout le père de Malya ne se verrait pas  rien lui offrir pour les fêtes. "J'ignore si il est reconnaissant, je ne fais que mon travail et puis il n'est pas du genre très démonstratif". Tu apprécies ce genre de personnage, tu n'aimes pas non plus déversé des milliers de mots pour dire peu. Tu préfères les actions et tu apprécies être avec des personnes qui sont comme toi. Le feeling était directement bien passé avec cet homme. Après tout, tu avais sauvé sa fille, mais pas que. Il t'avait sauvé et sans vraiment s'en rendre compte. Avant de vivre à la ferme, tu n'étais qu'un moins que rien. Un mec inutile de plus sur cette planète, mais en arrivant ici, tu avais fini par trouver un but à ton existence. Tu te sentais mieux, tu te sentais heureux est libre. Au ranch les fêtes de Noël s'étaient le moyen de manger tous ensemble. Vous installez les tables à l'extérieur en face de l'église. Un cochon cuit au barbecue et les femmes s'occupent d'épluchés les légumes et chaque famille ramène une entrée ou un dessert au minimum. Certain jouent de la musique et vous dansez jusqu'au bout de la nuit. C'est un moment aimé de tous, un moment de grande convivialité ou tout le monde se montre le plus grand respect. Jamais tu n'avais vu ça. Une communauté pouvant s'apprécier autant. En ayant besoin des uns des autres cela peut aider énormément. "C'est parce que il y a beaucoup moins de fanfreluche. Je ne m'inquiète pas trop pour Betty ou son ainé, mais un peu plus pour sa cadette. D'après ce qu'elle m'a dit, la petite a beaucoup du mal à s'imaginer sans son père." Ce qui peut être très étrange surtout quand on sait le mal qui pouvait lui faire.

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Tu n'as jamais eu de beau noël avant ton arrivé a la ferme. Quand tu étais un jeune enfant qui était sensé passé ces plus beaux noel attendant le monsieur au chapeau pointu avec impatience, tu vivais dans une cave sombre. Quand tu étais en famille d'accueil, tu t'es toujours senti de trop évitant à tout prit la messe de minuit. Puis tu étais seul et tu le fêtais avec des drogués qui voulaient simplement ta marchandise. Mais ensuite tu as rencontré le père de ta fiancée et tu as compris ce que signifie noël. Tu es désormais un amoureux de cette fête. Tu adores faire cuir doucement la dinde, tu adores les adores du vin chaud et voir les enfants aussi heureux. Même qu'une part de toi à tendance à les envier. Tu vois le ranch réunis et cela te fait tellement de bien de voir tout cela. Tu n'as jamais connus ton beau-père démonstratif, tu sais que la mort de sa femme à détruit un truc en lui, tu sais d'après les paroles de ta femme qu'avant il était un homme bien plus heureux. Tu peux le comprendre désormais si un jour on t'enlevait ta femme tu ignores si tu arrivais à réapprendre à sourire. Car elle est la seule qui te donne l'envie et la force de te lever chaque matin. "Oh! Connaissant les deux hommes, je peux te dire que ça se vaut." Tu souris, mais tu ment encore à ta femme. Elle ne doit pas savoir la vérité. Elle ne doit pas savoir que monsieur x et son père ne font qu'une seule personne. Tu n'apprécies pas le mensonge, mais ce fut la seule demande de ton beau-père quand tu es arrivé ici. Il a toujours vu en toi des capacités que tu ignorais. Téléphoner c'est quelques choses d'interdit au ranch. Tu avais le droit a quelques coups de fils quand tu filais en douce chez monsieur, mais cela allait être presque impossible de l'obtenir pour une autre personne que toi. "Je ne suis pas certain que Betty puisse accepter. Tu sais son mari n'était pas un homme bon et elle ne veut pas que sa fille puisse subir ce qu'elle a subi. Malheureusement pour nous, sa fille ne souvient pas d'avoir eu un père violent." Tu n'y connais pas grand chose, mais tu sais que la jeune femme doit certainement se mettre des barrières afin de garder les bons souvenir qu'elle doit avoir de son géniteur. Tu es sous le charme de la jeune femme et tellement heureuse d'avoir une épouse aussi aimant. "C'est gentil de proposer, je lui ferais la demande. Je me doute que cela doit être compliqué. Mais je ne pensais pas devoir faire la police! La dernière fois je l'ai surprise à tenter de fuguer. T'imagine la peur que pourrait avoir Betty."

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Tu sais à quel point tout cela peut être compliqué. Tu avais toi-même tout quitter pour entrer dans ce genre de vie. Mais contrairement à elle, toi s'était ton choix. Tu avais toi-même décidé d'avoir ce train de vie. Elle n'était qu'un dommage collatéral. Elle avait simplement dû suivre sa mère. C'est Betty qui avait décidé d'entrer dans le ranch. Toi tu es assez mature pour comprendre, mais pas sa cadette. Tu imagines que malgré tout, elle préfère garder une image positive de son père et te faire passer toi pour le méchant. Tu ne peux la blâmer. Tu avais déjà fait ça dans le passé. Au lieu de te réjouir de la famille qui avait bien voulus t'adopter, tu n'avais fais que les tenrs responsables de t'enlever loin de ta mère. Tu n'étais qu'un gosse et pourtant tu n'avais jamais cessé de penser cela malgré les années qui passés. "C'est mon rôle de montrer aux gens de l'extérieur que nous ne sommes pas des extra-terrestre et c'est aussi mon rôle de montrer à cette gamine qu'elle est très bien, ici." Peut-être mieux que dehors. En cédant de ta vie d'avant, tu avais réussi à te reconnecter avec les choses importantes de la vie. Avant tu pouvais tomber en catastrophe quand un de tes objets electroniques n'avait plus de pile. Tu te demandais comment tu allais pouvoir téléphoner sans cabine proche de toi. Mais aujourd'hui tout cela te semble si idiot. "Comme souvent, tu as raison, je lui proposerais et peut-être que je ne passerais plus pour le méchant." Cela ne te dérangé pas avec les inconnus. Mais tu as toujours aimé installer à un climat de confiance avec tes enfants. En général, tu sais mettre les mini-adultes et les femmes de ton côté. Tu as un charme naturel qui met les personnes en confiance. Tu souris à ta femme en te souvenant de la femme qu'elle été. Avant elle était capable de tout pour s'enfuir, d'ici. Tu sais comme elle souffrait et comme tu lui as apporté du réconfort. Mais elle ignore combien elle t'en as donné en retour. Car si tu n'avais pas trouvé sa trace sur cette route nationale, tu ne sais pas comment tu aurais fini. "D'un coup je me demande si c'est une bonne idée." Dis-tu en lui adressant un grand sourire. Tu sais comme Malya a été une adolescente rebelle et tu ignores si tu veux passer direct à cet âge ingrat avec un enfant. Car Betty à beau être ta deuxième femme, cela veut dire que ses deux filles sont tes belles filles. "Je pense. Elle sent déjà plus en sécurité." La blonde en question ne te l'avait pas dis, mais tu l'avais senti. Tu l'avais remarqué dans son sourire, elle semble bien plus heureuse, ici.

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Avoir deux femmes, tu n'y avais jamais songé. À l'époque, il te semblait complètement fou que tu puisses avoir une seule femme. Qu'une personne de la gente féminine veulent de toi comme époux. Et puis quand tu es entré au ranch et tu as rencontré Malya, tu t'es mis a espéré. À croire que peut-être tu avat le droit aussi au bonheur. Tu n'avais jamais changé à avoir une autre femme. Malya te convenait parfaitement, tu ne voyais pas l'intérêt, ni l'utilité et encore moins l'envie de rajouter une autre femme dans ta vie. Puis tu as rencontré Betty et tout t'a semblé complètement différent. Cette femme battue, cette femme malheureuse, cette femme détruite par un passé trop dur pour elle. Mais en l'a sauvant tu t'es dit qu'elle pouvait elle-aussi te sauver. Vous offrant à Malya et à toi la chance d'être parent. Tu sais comme ce rôle compte pour ta femme et tu aimerais tellement pouvoir la voir avec un bébé dans les bras. "Tu n'es pas très objectif étant donné ton rôle et puis je suis le seul à avoir ce poste." Dis-tu en souriant. Ce que tu peux dire c'est que tu es plus épanouies que jamais dans ce rôle qui a enfin donné un but à ta vie. Tu souris à la remarque de ta femme, elle n'a pas peur de te dire ce qu'elle pense, de te confronter à tes démons et c'est une raison pour laquelle tu es fou d'elle. Contrairement aux autres femmes du ranch, la tienne ne se laisse pas faire, elle ose te dire ce qu'elle pense et tu adores cela. Tu n'aurais pas été heureux avec une femme trop gentille, trop douce. "Merci je me sens tout de suite plus rassuré." Cela te ramène quinze ans en arrière de revoir ta femme sur le bord du trottoir. Cela te fait tellement de bien d'avoir ce genre de souvenir. Comment tu étais tombé sous son charme sans savoir sur elle. Comme tu l'avais trouvé magnifique alors qu'elle sortait d'une longue soirée. Comme tu l'as trouvé drôle tenant ses chaussures à ses mains car ses pieds lui faisaient souffrir. "C'est tout le mal que je lui souhaite. Ça a été pour moi le meilleur moment de ma vie." Dis-tu avant de lui donner un tendre baiser. Ce simple moment qui as donner tout un sens à a vie. C'est à partir de ce moment là que ta vie à pris un sens.Le ranch apporte une grande qualité de sécurité à ceux qui l'a cherche. Depuis ton arrivée ton passé était bien loin malgré l'arrivée de Warren. Lui aussi, fuis son passé, ceux qui sont au ranch ont forcément un passé. Où ils sont là depuis le tout début comme ta femme. Tu ignores si tu apportes une sécurité à Betty, tu essaies simplement d'être là pour elle. Comme un mari doit faire, même-si tu vois en elle plus une amie qu'une amante. "Le ranch apporte une grande sécurité, personne n'osent entré dans notre demeures comme-ci nous étions fous, mais au moins ça nous garde à l'égare d'oeils indiscret". Dis-tu en lui faisant un clin d'oeil.

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Ta femme avait vécus tellement plus de choses que son sourire peut laisser paraître. Tu ne l'as pas connus vivant le deuil de sa mère, mais tu sais comme cela avait dû être difficile. Après avoir perdu sa mère, elle avait dû faire le deuil d'avoir un jour un enfant. Cela n'avait pas été facile et ça tu le savais puisque vous vivez avec ce fantôme d'un bébé à vous tous les jours de votre vie. Le plus dingue dans cette histoire c'est qu'avant de savoir que tu ne pourrais pas réellement devenir père, cela ne t'avait jamais traversé l'esprit. Un dealeur comme père, tu ne voulais pas ça pour un enfant. De ton côté tu n'as jamais connus le tien de père et ce n'est pas plus mal. Cet homme avait été là pour mettre ta mère enceinte et il avait pris la fuite. Vous laissant dans une cave avec d'autre femme et enfant. "Tu aurais été pire qu'elle. Je suis certain que ton père ne s'est pas remarié par peur que tu fasses du mal à sa future femme." Tu aimais le caractère de ta femme, tu aimes le fais qu'elle peut être douce comme un agneau et sauvage comme un lion un instant plus tard. Cela toi ça ne te dérange pas, bien au contraire. Lâcher un peu de bride à la jeune femme. Cela n'était pas une mauvaise idées. Mais tu ignores un peu comment faire. Tu es bien trop impliqué et Betty compte beaucoup trop sur toi. Mais tu fais confiance au jugement de ta femme et si elle te conseille de faire ça c'est que tu le devrais. Tu dois simplement trouver une façon de le faire. Peut-être en demandant à un voisin de la garder à l'oeil cela serait plus discret que de l'espionner comme tu le fais. "Tu suis cette merveilleuse manière d'éduquer avec tes chevaux?" Quand le besoin de materné est si grand, on le délègue aux animaux ou même à son mari. Ta femme n'aurait jamais osé réellement te materné, même-si elle aime prendre soin de toi. Mais elle avait finis par créé un lien très fort avec ses animaux. Tellement fort que son père pensait qu'elle lui achetant de nouveaux chevaux, elle oublierait peut-être le fait qu'elle n'aurait jamais son propre bébé. "Tu en sais quelques choses, ton père ne sait toujours pas comment tu arrivais à sortir du ranch." Dis-tu en souriant. Il t'a déjà raconté de nombreuses fois, les stratagèmes qu'il m'était en place pour l'empêcher de sortir. Ils étaient tous inutiles, elle arrivait toujours à sortir. "Mais sans ce tempérament de feu, on ne serait pas là où on est aujourd'hui et cela serait bien trop triste." Dis-tu avant de poser un baiser sur les lèvres à ta femme, tu es tellement chanceux.

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Qu'aurait pu demander de plus à la vie. Une femme aimante, un toit sur la tête, une assiette remplit de bonne chose, tu es comblé de bonheur. La complicité que tu as avec ta femme est quelques choses d'unique. Deux personnes s'aimant à ce point, riant des mêmes choses et rêvant d'une vie ensemble. Évidemment que tu te moques d'elle. Malgré le caractère fort de ta femme, elle sait également être douce comme un agneau. Mais aurait-elle accepté que son père se retrouve une femme ? Aurait-elle accepter qu'une autre femme puisse s'asseoir là oùsa défunte mère s'asseyait, ça, tu n'es pas sûr. "C'est certainement ça façon de faire le deuil. Il a vécus avec l'amour, le puissant grand amour, je ne pense pas qu'il est réellement envie de le retrouver. On dit qu'on trouve qu'une seule fois le grand amour." Tu as du mal à imaginer ton beau-père comme un grand romantique. Mais si tu commences à parler de la partie cacher de cet homme, tu devrais en dire plus et cela tu n'as pas le droit. Monsieur X à ton entière confiance et à tes yeux cela n'as pas de prix. C'est peut-être ça qui te fait le plus de mal. Quand tu regardes dans les yeux de ta femme et que tu observes son talent pour l'éducation, tu te dis que la nature est mal faite. Elle aurait fait une mère merveilleuse et on lui a privé de cette chance de pourvoir enfanter. "Il est plus simple de donner sa confiance à un cheval sauvage ou à une adolescente appelé par ses hormones?" Toujours sur le ton de la plaisanterie. Tu continues à écouter ta douce femme te parlais de sa vie d'avant ta rencontrer. De comment elle faisait pour rendre son père fou de rage. Comment elle se sauvait et comment certainement ta belle-fille allait certainement se sauver. Tu grimaces en t'imaginant le courir après dans les rues de la ville. Dire que tu dois jouer les papas d'une adolescente avant de t'occuper d'un petit bébé. Toi qui rêve de tenir un nourrisson dans tes bras, cela est un euphémisme. "Enfin, si je dois être honnête certain sont ouverts à présent. Si ils existaient ce n'était pas pour faire beau." Comme celui derrière le puits qui sert à présent a pouvoir accédé au bétail sans trop de difficultés. Les habitants du ranch t'avaient demandé de l'ouvrir pour gagner un peu de temps et tu avais fini par céder. Aujourd'hui ta femme ne prendrais plus la fuite. "Tu es une petite opportuniste ma chérie." Dis-tu en posant délicatement un baiser sur son front, mais amusez en imaginant la scène. Puis au fil de la conversation elle te demande ce que tu faisais sur cette route en cette fin ou début de journée. "C'est au bout de quinze que tu t'inquiètes, si je suis un psychopathe ou non." . Tu marques une courte pause afin de réfléchir et te souvenir de ce que tu faisais. Surtout tu cherches à ne pas dire de bêtises. "Je crois que je me fuyais moi, la vie que j'avais avant, je ne l'aimais pas, je n'étais pas ... comment dire digne de confiance."

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Tu n'as aucun doute que tu aurais aimé la mère de ta femme. Après tout, tu aimes tellement ta moitié, tu n'aurais pas pu ne pas aimer la personne qui lui a donné la vie. La personne qui t'a permis de rencontrer le grand amour. "Tu n'as pas une photo dans un de tes nombreux album?" Malya a de nombreuses boites remplies de photo qu'elle prend souvent en polaroïd pour garder tout le charme de la photographie. Tu ne les ouvres jamais sans elle, vous passez toujours un excellent moment à regarder toutes ses photos. "Je suis certain que je l'aurais adoré, après tout je t'adore toi." Dis-tu avant de l'embrasser tendrement à nouveau. À cet instant, tu es heureux. Il paraît qu'on n'arrive jamais à remarquer ses petits instants de bonheur et pourtant tu sais très bien que là tu es heureux. Amoureux et comblé par une femme merveilleuse. Tu sais que tu es chanceux, il y avait une possibilité que le père de ta bien aimée refuse ta candidature. Tu n'avais rien de bien congrès à apporter au ranch. Des promesses et encore c'est vite dit. Il aurait pu très bien la refuser et par la même occasion refuse que tu puisses épouser sa fille. Pourtant, ce n'était pas comme ça que la vie s'est passé. Tu as l'honneur de dire qu'aujourd'hui tu as un rôle important au ranch et que tu partages ta vie avec Malya. "Du coup si je comprends bien, je devrais proposer à Beth d'échanger sa fille contre un cheval ?" Tu rigoles évidemment, mais tu mentirais si tu disais que tu n'y avais jamais pensé. Avoir deux belles filles adolescentes, cela n'a jamais été ton rêve et pourtant s'était désormais ta vie. Tu souris, mais tu sais que ta femme est encore loin du compte. Ignorant que son père est également monsieur x, il était toujours au courant de ses sortis nocturne ou diurne. Mais évidemment cela reste un secret. "C'est le minimum pour assurer ta sécurité." Tu continues à sourire à la remarque de ta jeune femme et la vérité c'est que tu ignores comment cette rencontre s'est produite. Comment as-tu pu arriver au moment endroit que cette jeune femme. "Comme tu sais, je partais de Sydney en quête d'une nouvelle vue. Je t'ai vu et je me suis dit qu'un gentleman ne pouvait pas laisser une jeune femme dans cet état et le reste tu la connais. Après pourquoi j'ai pris cette route, j'aime à croire que c'est Dieu qui t'a mis sur mon chemin." Dis-tu le regard plein d'amour depuis cette rencontre, ta vie n'a fait que de s'améliorer. Tu n'es plus l'homme que tu étais et en es reconnaissant. Cet homme n'aurait même pas mérité qu'une femme telle que Malya pose les yeux sur lui. "Je ne sais pas quoi te répondre. Je t'aime et je suis fier un homme assez bien pour t'avoir à mes côtés."

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La mère a ta femme s'était son jardin secret. Tu ne savais pas par exactitude ses traits physiques. Quand tu regardes Malya et son père, tu devines très bien que ses magnifiques yeux lui viennent de sa maman. Tu n'as jamais voulu entrée dans son jardin secret, même après quinze ans de mariage. Tu n'avais jamais voulus lui demander à quoi pouvais ressembler sa mère. Tu ne voulais pas lui procurer la moindre signe de tristesse. Tu sais que c'est le coeur lourd qu'elle te ramène un carton. La tenant sur son coeur, tu sens que cela est dur pour elle et ce n'est pas ce que tu souhaites. "Tu sais mon amour, si tu ne veux pas, on le feras plus tard." C'est aussi ça l'amour, tu n'aimes pas voir des larmes sur les yeux de ta femme. Tu n'aimes pas voir le moindre signe de tristesse chez elle. Oui, tu es curieux de mettre un visage sur un prénom, sur un caractère, mais si ta femme n'est pas prête cela n'est point important. C'est le bonheur de ta femme qui prime avant tout. Tu sais que cela est de l'humour, mais une part de toi, pense que cela serait moins compliqué. Tu n'es pas prêt à devenir père d'une adolescente, que serais-tu capable de faire pour Beth, mais surtout pour Malya. Si Elisabeth est parmi vous c'est aussi pour vous aider à avoir un enfant. Un bébé que ta femme désire tellement. "Je ne suis pas certains de mon côté." Quelle mère ferait ça. Même la tienne en aurait été incapable. Tu te souviens comme elle te serrer fort, comme elle tenait fort à toi, alors que tu n'étais qu'une bouche de plus à nourire dans ce sous sol. C'est l'image que tu te faisais d'une mère. Une femme capable de tout pour aider, sauver, prendre soin de son enfant. "On verra ce que ça donnera, elles ne sont pas là depuis longtemps au final." Cela fait que quelques jours. Il lui faut forcement du temps pour s'habituer à nos coutume et tradition. Avant de rencontrer Malya et sa famille, jamais tu n'aurais parléer de Dieu. Tu n'étais pas croyant, bien au contraire. Comment pouvais-tu croire qu'une force supérieur accepterais qu'un enfant vive ce que tu as vécus. Maintenant que tu crois en Dieu, que tu crois en cette force supérieure. "Il était déjà en moi sans y croire vraiment. Il m'a fait prendre des routes qui m'ont conduit jusqu'à vous. Il m'a fait prendre une ruelle où une jeune femme jouer les imprudente et pour une raison folle, il m'a dit de m'arrêter. Tout cela sans que je me rende compte." Auparavant tu aurais appelé ça le hasard, maintenant c'est différent C'est certainement Dieu qui t'a mis Malya sur ton passage te promettant une vie bien meilleure que celle que tu avais jusqu'à présent. "Si seulement, mais ça c'est impossible." Les yeux pleins d'amour, tu laisses simplement parler ton coeur. "Moi aussi ma chérie." Dis-tu avant de lui voler un baiser. Tu ignores ce que tu ferais sans elle.

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Elle était prête à te voir ouvrir ce petit souvenir de son passé. Tu étais fier et angoissée par la même occasion. Tu ne voudrais pas abîmer ce petit trésor dont elle a mis des années à créer. C'est sous son regard que tu ouvres doucement la boite. Au-dessus une fleur séchées, tu te souviens de ce que Malya t'avait dit à son sujet. C'était le petit marque page de la femme qui aurait dû être ta belle-mère. Encore en parfait état, tu aimerais lui demander pourquoi elle ne s'en ait jamais servis et puis tu le poses sur le côté sans dire un mot. Tu regardes les photos et tu vois une magnifique femme, à la robe fleuris, des cheveux bruns et des magnifiques yeux brun. "Tu es son sosie, ma chérie, vous êtes magnifique." Cela te touche au plus profond de ton âme de dur à cuire. Des photos, des images, des poèmes et tout autres objets qui avaient appartenus à sa défunte mère. Si ce n'est pas une preuve de confiance et d'amour, tu ignores ce que cela peut être. Tu souris tendrement à ta femme quand elle te dit que Dieu est doué. Tu ne dirais pas le contraire. Toi qui autrefois été non croyant. Tu ne trouves plus aucune autre logique à ta vie. Tu ne te verrais pas le dimanche matin faire autre chose qu'allait à la messe. Dans tes beaux habilles confectionné par ta femme, tu as appris à aimer Dieu dans ce rendez-vous hebdomadaire. "C'est ce que nous raconter monsieur le prête touts les dimanche en tout cas." Au début, ce n'était pas facile, il a fallut que tu oublies en toutes ses choses dont tu as cru durant toute ta vie. Mais cela en valait tellement la peine, tu as gagné tellement plus. Croire en Dieu t'a apporté une grande stabilité dans ta vie. Puis si tu n'avais pas accepté cela, tu n'aurais eu la chance de te marier avec Malya et personne d'autre d'ailleurs. Les croyances c'est quelques choses de très important pour le ranch. Il y aura toujours cette petite partie de toi qui ce demanderais toujours une chose. Si vous vous seriez rencontrez dans d'autre circonstance, t'aurait-elle aimé ? Si tu aurais été toujours cet homme vendant de la drogue et elle sortant tous les samedi soir. Auriez-vous un jour prononcé vos voeux de bonheur. Auriez vous eu la chance de tomber en amour l'un de l'autre. "Il faut bien embrasser quelques crapaud avant de trouver le prince." Dis-tu en souriant.

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Cela te paraît encore tellement fou que ta femme puisse se qualifier ainsi. Qu'une fille du ranch! Peut-être est-ce tes yeux d'amoureux, mais elle est tellement plus que ça. Tu sais que peu importe la situation où tu aurais sa rencontre, elle aurait marqué ta vie. Cette femme qui se trouve en face de toi a tellement de qualité en elle, mais ce que tu aimes le plus c'est qu'elle est humble. Belle, créative, intéeligente et solide, sont des magnifiques qualités, mais le fait qu'elle sache rester les pieds sur terre et ne pas prendre la grosse tête font d'elle une personne extraordinaire. "Tu es tellement plus que cela." Si elle savait ce que ton coeur voulait dire, si elle savait comme il chante pour elle toutes les nuits. Malya t'avait donné bien plus qu'un foyer ou qu'une stabilité, elle t'avait apporté une envie de vivre. C'est facile d'être toi-même avec elle, malgré ce lourd passé que tu gardes en toi, tu sens que celui que tu étais avant n'était qu'une facette de ta personnalité. Qu'il y a quinze ans, tu as enfin découvert l'homme que tu étais vraiment. Tu lui embrasses doucement le front. "Parle-moi un peu d'elle ? Qu'elle était ses habitudes?" À présent qu'elle est prête à en parler tu veux tout savoir d'elle. Tu veux comprendre la femme qui a aidé la tienne à devenir aussi extraordinaire. Tu regardes ta femme dans les yeux et tu sais. Tu sens au plus profond de toi qu'un jour, elle deviendra cette mère fabuleuse. Elle est si douce, si maternante, tu sais qu'elle aura toujours les mots qu'il faut pour votre enfant. Tu aimerais lui dire ce que tu as sur le coeur, mais tu sais que ces mots risquent de lui faire du mal. Tu sais que son incapacité à te donner des enfants et un lourd poids sur ses épaules. Tu n'oses pas en parler, tu en sais pas à qui tu peux le faire, heureusement maintenant tu as Betty. Et si ton plan fonctionné, elle allait pouvoir vous apporter votre futur bébé.

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Bêtement tu souris, évidemment que tu avais été ensorcellé, mais tu ne t'en plaigné pas, bien au contraire. Tu te trouves même chanceux de pouvoir vivre une telle histoire d'amour. C'est ce que tout le monde souhaite, trouver l'amour de sa vie et pourtant, tu ne penses pas l'avoir mérité. "Tu es donc une sorcière?" L'ironie du sort c'est que les gens de monde extérieur pourraient penser cela de vous. De votre monde étrange, secret et un peu en marge de la société. Tu continues à sourire quand elle te parle de sa mère et de toutes les manies quelle avait et qu'elle a hérité. Tu te rends compte à quel point sa mère n'est peut-être pas en vie, mais qu'elle tient une grande dans votre coeur. "Elle semble merveilleuse." Dis-tu en continuant à sourire. C'est dans ses petites choses que tu retrouves le bonheur avec Malya. On dit que l'amour c'est de faire attention aux petites choses. Toi, tu es observateur et tu as toujours fait attention à tout. "Normal ça devait être la fête de boire autre chose que la gnole que monsieur bertley." Bon, elle est très bonne et fait son effet, mais de temps en temps, un peu changement ça doit faire plaisir. Entendre Malya parlait de sa mère te fait penser que tu n'as jamais réellement ouvert tes souvenirs à ta femme. "Je présume qu'on garde toujours de petites choses de son éducation." Tu réfléchis pendant quelques minutes et puis tu reprends. "C'est en regardant mon père adoptif que j'ai appris les bases du métier de forgeron. Il ne faisait pas ce travail, il était à l'usine, mais tout de même. Ça m'a permis d'arriver ici avec quelques base disons le." Tu ne parles pas souvent de ta famille adoptive, peut-être parce qu'une part de toi refuse de croire que tu as eu une vie avant le ranch. À la différence de ta femme, tu aurais tout donné pour vivre dans ce monde, mais malheureusement on désire toujours ce qu'on a pas.

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C'est pour ce genre de petits détails que tu aimes tans ta femme. Elle qui est si ouvertes d'esprit, elle qui voit les choses les plus belles dans les petits touches de la vie. Ce n'est pas n'importe qui, qui dirait qu'une communauté est merveilleuse. Surtout pas les gens hors du ranch, ils sont du genre à nous prendre pour des fous et pourtant, lors de nos portes ouvertes vous faites toujours un tabat. Car les gens sont curieux, ils sont avides de savoirs et c'est de ça qu'ils ont peur. Ils ne vous connaissent pas, ne comprennent pas comment vous fonctionner et donc ne croit pas en vos convictions, mais peu importe. "Je ne dirais pas le contraire, nous sommes une bonne communauté, Monsieur X a de quoi être fier." Toi tu l'es, fier d'avoir trouvé une si grande famille. Toi qui as toujours cherché l'amour malgré ton besoin irrévocable de t'attirer des ennuis. Tu chassais l'amour de tes parents adoptifs, ne te pensant pas assez bien pour le mériter. "Il faut croire que c'est bien vrai, mais ton père m'a aussi pas mal aidé. Il m'a mis à l'aise et il a forcé John à m'apprendre plus en détail ce merveilleux métier." Il t'avait donné aussi le métier de t'occuper de la publicité du ranch. Il avait dit qu'avec ta bonne gueule, on ne pouvait pas passer pour des méchants. Pour le moment cela fonctionne très bien, que personne ne se doute que Monsieur x n'est pas très clair et toi moins tu en sais et moins tu peux en divulguer. "Tu penses que tu aurais travaillé dans la mode si tu avais une autre vie, si tu t'étais réellement échapper du ranch comme tu l'aurais souhaité à une époque ?".

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