(SID, ne pas toucher ce sujet, mais vous pourrez avec les prochains, mercii) Don't be scared for electricity. Feat. lorenzo

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Don't be scared for electricity

Kora & Lorenzo

Les hommes et l’argent… Ces deux facteurs qui peuvent réduire une relation au néant. Les regards sales et crapuleux continuent d’agacer la jeune strip-teaseuse. Si bien que le soupir qui s’échappa de ses lèvres trahit son énervement. Quatre fois, en une semaine, que le gros lourdaud de Kelser revenait à la charge comme l'immonde buffle qu'il est pour pouvoir profiter allègrement du corps de Kora. Une silhouette bedonnante, des cheveux gras, une braguette ouverte et une corona à la main… Nul doute. Cela ne pouvait être que lui : Kelser. A chaque fois que ses mains touchaient les parcelles de son corps, un sursaut de dégoût se saisissaient de son cœur. Une danse, plus une autre. Son bassin se déhanchait si sensuellement contre la barre de pole dance que d’autres hommes prirent place devant elle. L’un d’eux glissa quelques billets verts sous l’élastique de son string trop serré. Cette situation quasi quotidienne pourrait satisfaire n’importe qui, sauf Kora et son fort caractère. Soudain, le claquement de ce dernier interpella la jeune femme, qui sans attendre se détourna dans sa direction. Vouloir gagner de l’argent est une chose, humilier Kora en est une autre. Sans réfléchir sa main rencontra violemment la joue de cet homme. Vexé, il quitta la pièce tandis que le manager de Kora la fusillait du regard. Elle payera cet affront plus tard, elle le sait. Mais elle s'en fiche, son honneur compte plus que les représailles qui l'attendent. Sans s’arrêter dans sa danse érotique, elle continua son show. Ses seins enlacèrent la barre de pole dance pendant que son bassin effectuait quelques mouvements insidieux. Sa jambe épousa si sensuellement le fer que son manager l’appela en claquant des doigts, comme si elle n'était qu'une chienne. Instinctivement elle s’arrêta afin de le rejoindre. Quelques minutes plus tard la jeune mexicaine se dirigea vers son nouveau client, et non sans un petit sourire satisfait de pouvoir échapper à l’autre alcoolique.

Quelle ne fut pas sa surprise… Pour une fois son client semblait presque normal et agréable à regarder. Sans plus attendre elle l’entraîna en direction du podium sur lequel une chaise l’attendait. La lumière, l’ambiance et la musique se prêtait exactement à la sulfureuse situation. Ses jambes se positionnaient de part et d’autre de ce dernier. Son bassin ondulait contre celui du bel inconnu. Sa forte poitrine toisait ses yeux, tandis qu’elle s’emparait de ses mains afin de les poser contre son fessier. Subitement Kora sortit un foulard rouge de sa poche afin de bander les yeux de son client. Perdre l’un de ses cinq sens pourrait déstabiliser n’importe qui… Mais n’était est-ce pas là l’objectif ? Alors qu’elle le contournait, les quintuplées de la jeune femme se posèrent contre son torse. Lentement elle déboutonna les premiers boutons de sa chemise avant qu’ils ne volent à travers la pièce. « Ça te plais mon chou ? » demanda-t-elle d’une voix suave. Ce n’était pas la première fois que Mademoiselle Jimenez agissait ainsi, ni la dernière. On la payait pour. Les cris et les sifflements des animaux autour d'eux se mêlaient à la musique ambiante. Si bien qu’elle retirait le foulard des yeux de son client. Elle s’assit sur ses genoux, en veillant à effectuer quelques mouvements de bassin évocateurs.

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Kora & Lorenzo

Lorenzo ne faisait jamais rien au hasard. S’il était dans ce club de striptease ce soir ce n’était pas sans raison. Étant entouré de femmes, il n’avait pas besoin d’être dans ce genre d’endroit pour prendre son pied. Mais il y avait bien une femme qu’il n’avait pas encore eu et qui l’intéressait depuis longtemps. Personne ne savait que c’est le diable qui venait de pénétrer dans la place. Il n’y avait rien de pire qu’un diable avec un but bien précis qu’il ferait un carnage s’il n’obtenait pas ce qu’il désirait. La danseuse qu’il voulait s’appelait Kora Jimenez. Elle ne savait pas à quel point sa vie était en danger, à quel point sa mort était proche. Une vieille vengeance qui allait enfin être assouvie. Tuer la fille pour atteindre le père. Père qui était derrière l’assassinat de celui de Lorenzo. Même si ça faisait des années, le mafieux n’avait jamais oublié son objectif. Il l’avait mis de côté quelques temps pour bien gérer ses affaires en Australie, mais maintenant qu’il était bien installé, il était prêt à reprendre ses recherches. Recherches qui le menèrent finalement beaucoup plus proche qu’il n’aurait pensé. Lorenzo aurait été prêt à parcourir le monde pour atteindre Kora. Il n’en aurait pas besoin. Elle se trouvait dans la même ville que lui et dans quelques heures, elle allait se retrouver six pieds sous terre. C’est en compagnie de ses deux gardes du corps que Lorenzo entra dans le club. Son regard, comme un aimant, fut attiré par une grande et magnifique brune. Un sourire à la limite de la mesquinerie se dessina sur ses lèvres tandis que les hommes s’entassaient autour d’elle. Le mafieux ne s’approcha pas, il se dirigea plutôt vers la personne qu’il soupçonnait d’être le patron de la place. Lorenzo avait cherché toutes les informations sur l’endroit, il savait comment ça fonctionnait. « Je veux cette danseuse en VIP. » dit-il directement en plongeant son regard sombre dans celui de la personne qui gérait les clients. Le mafieux remarqua au regard de l’homme qu’il venait de le prendre au dépourvu. Finalement, il secoua négativement la tête. « Elle n’est pas disponible ce soir. » Un rire sans émotion s’échappa des lèvres du directeur général. Il posa ses deux mains sur le comptoir et s’avança légèrement avant de murmurer : « Ce n’était pas une question. Votre prix sera le mien. » Personne ne lui dirait non ce soir. Il aurait cette danseuse dans un salon privé et il allait lui faire passer une agréable dernière soirée. Le patron réfléchit près d’une minute avant de finalement dire son prix et les billets glissèrent sur le comptoir.

Lorenzo s’installa finalement dans le salon en attente de la jolie brunette qui ne savait pas ce qui l’attendait. Elle se dirigea vers lui laissant le rideau ouvert sur son passage ce qui donnait accès à tous les curieux. Tout de suite, Kora prit les choses en main en bonne professionnelle qu’elle était. Lorenzo se laissait rarement faire, mais cette fois-ci, il laissa la brunette prendre le dessus, il la laissa mener la danse afin de la mettre en confiance. Parfaitement en contrôle de ses émotions, le mafieux réagissait à peine aux mouvements de Kora. Certes, elle était canon, elle lui donnait des idées pas du tout catholiques, mais ce n’était pas le moment de passer pour un vieux pervers comme ses clients habituels. Il voulait se distinguer. Lorenzo grogna légèrement lorsqu’elle lui banda finalement les yeux, mais il la laissa faire. Les boutons de sa chemise volèrent en éclat quelques minutes plus tard et Lorenzo fut ramener à la réalité par les cris des nombreux clients qui s’extasiaient sur les danseuses. Le foulard lui fut finalement retiré, mais Lorenzo s’en saisit. Il profita de la proximité de la danseuse pour entourer sa nuque du foulard et tira légèrement de chaque côté pour approcher son visage du sien. Il la fixa de longues secondes dans les yeux avant de murmurer : « Ce qui me plairait davantage c’est que tu ailles fermer ce rideau afin que je sois le seul à t’avoir ce soir. » Sa voix était dangereusement basse, à la limite de la menace. Il ne l’avait toujours pas touché directement. Il n’avait pas l’intention de le faire tout de suite. Il n’était pas un pervers comme les autres. Lorenzo noua le foulard autour du cou de la danseuse avant de le relâcher pour lui permettre de s’éloigner. « Ton manager m’autorise à te faire tout ce que je veux… » … Ses dents allèrent mordiller sa propre lèvre inférieure. « Mais j’ai beaucoup plus de respect que la plupart des hommes dans cet endroit. Ce soir, c’est toi qui domine. » Du moins, c’est ce qu’il lui ferait croire. Encore une technique pour la mettre à confiance, pour lui faire penser qu’il était différent.

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Kora & Lorenzo

La jeune gogo danseuse était d'humeur joueuse ce soir. Comment ne le serait-elle pas ? Elle venait tout juste de réchapper aux mains grasses d'un client qu'elle avait en horreur. Cet être abject qui salivait devant ses danses comme le plus gros des porcs. Certes, elle était habituée aux lueurs de désir dans les iris des hommes, et surtout à cette protubérance entre leurs jambes qu'ils, parfois, ne cherchaient même pas à dissimuler sous leur braguette. La Mexicaine vivait dans un monde de débauche et de dépravation, et elle en connaissait absolument tous les codes. Elle en jouait bien souvent, question de survie. Mais ce soir, on lui donnait sur un plateau d'argent un bel homme aux cheveux grisonnants, et au regard... Indéchiffrable. Un mur d'émotions qui l'attendait presque sagement sur une chaise. Était-il là contre son propre gré ? D'un regard scrutateur, la brunette se surpris à balayer l'assistance, mais contrairement à bien d'autres clients dans cette situation, le sien n'était pas accompagné d'une bande de babouins bruyants. Il semblait seul... De plus en plus étrange. Mais si cela titillait sa curiosité, cela ne l'empêchait pas d'accomplir son travail avec tout le soin du monde. Dans ce petit salon en velours, digne des années folles, qui faisait office de scène de spectacle pour les hommes portés sur le voyeurisme. Alors que Kora faisait glisser le foulard de la nuque chaude du bel inconnu, celui-ci s'en saisit pour mieux la rapprocher de lui, déjà que la danseuse se trouvait à califourchon sur les cuisses qu'elle devinait puissante de l'homme ténébreux, et visiblement autoritaire d'après le mouvement sec qu'il venait d'opérer. Leurs lèvres n'étaient qu'à quelques centimètres, mais Kora ne se laissait pas déstabiliser, et quittait encore moins le regard du lion qui lui faisait face. « Ce qui me plairait davantage c’est que tu ailles fermer ce rideau afin que je sois le seul à t’avoir ce soir. » pour établir une certaine distance, doublée subtilement d'un aura de sécurité, Kora posa sa main sur le torse désormais dévêtu de cet homme. " Possessif, mhh ? Une danseuse n'est pas la propriété d'un seul client... " Kora sent, pourtant, qu'il n'en restera pas là. Et une part d'elle, enfouie, cachée, aime cette soumission qu'il lui inspire. Alors, lestement, elle se lève, se déplace, et s'avance de quelques pas vers la foule massée devant la scène. La danseuse se penche en avant, offrant une vue imprenable sur ses atouts aux voyeurs, elle scande, une main en porte-voix. " Désolée, mes coco. Le show ici va devenir trop chaud pour vos petits yeux. Mais allez voir Gladys... Elle est toute seule, et elle a besoin d'attention d'hommes forts et secourables. " Kora éclata de rire, cela fait partie de son métier. Puis referma le rideau épais, créant une atmosphère plus intime, presque plus..."boudoir", sans réfléchir à la vue que pouvait donner son dos dénudé, et ses fesses à peine cachées sous les franges en cuir noir - bien courtes - de sa jupette de gladiatrice. « Ton manager m’autorise à te faire tout ce que je veux… » Toujours dos à lui, la Mexicaine fronce ses élégants sourcils d'un noir ébène. Comment ça tout ? Son manager est vraiment un enfoiré. Prenant sur elle, après un bref, mais profond soupire, le serpent qu'est Kora, se retourna face au brun. « Mais j’ai beaucoup plus de respect que la plupart des hommes dans cet endroit. Ce soir, c’est toi qui domine. » un sourire naturel se dessina sur ses lèvres charnues et rouge carmin, alors qu'elle s'approchait d'un pas suave de sa victime, pour venir se poster tout derrière lui. Laissant ses mains aux longs doigts fins louvoyer le long de ce torse bouillant, et bien bâti qu'il possédait. " Qui te dit que j'aime dominer ? " souffle-t-elle, sensuelle, cruelle, et provocatrice, au creux de l'oreille de son payeur. Elle mordilla délicatement ladite oreille, avant de fondre sur sa nuque qu'elle embrassait charnellement, pour faire monter le désir de son client. Clairement elle dépassait déjà le cadre de ses fonctions. Mais pour une fois qu'un des hommes du bar qui la paye n'est pas trop répugnant... Voire carrément séduisant. Elle peut bien en profiter elle aussi.

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Kora & Lorenzo

Lorenzo était le patron. Il avait l’habitude de diriger, c’était extrêmement difficile pour lui de lâcher prise et de se laisser complètement aller dans ce salon. Mais il le devait… Il devait gagner sa confiance, lui prouver qu’il était un homme différent afin de l’attirer ailleurs. Lorenzo avait déjà repéré les hôtels dans le coin, il savait exactement comment il voulait que la soirée se déroule… Mais à la voir bouger comme cela devant lui, il allait probablement la baiser avant de lui mettre une balle dans la tête. Autoritaire, il le fit bien ressentir la première fois qu’il ouvrit la bouche. Il ne voulait pas de témoins. Il voulait cette magnifique femme pour lui, il ne voulait pas des mecs en chaleur qui allaient hurler à chaque déhanché. Il voulait se concentrer sur l’objet de son désir et seulement sur elle. À son geste, la main de la femme s’était posée sur son torse afin de l’empêcher de l’approcher davantage de lui. Quelques centimètres de plus et la danseuse et le mafieux pourraient faire qu’un. Ce qui n’était pas le but de la manœuvre. Pas tout de suite. Bien vite, Lorenzo relâcha le foulard. Il ne voulait pas l’effrayer maintenant. Le seul moment où il voulait voir la peur dans son regard c’était lorsqu’il allait lui dire qui il était et surtout pourquoi il était là. Dans quelques jours, la tête de Kora serait envoyée au Mexique au cartel de son père et Lorenzo ne leur devrait plus rien. C’était sa dernière mission, sa manière de mettre un trait sur le Mexique pour se concentrer sur le business qu’il gérait en Australie. Lorenzo serra fortement les dents lorsqu’elle précisa qu’une danseuse n’était pas la propriété d’un seul client. Sa langue claqua contre son palais, signe de mécontentement chez lui. « Ce soir fera exception. » Il n’était pas comme les autres. Il détestait être traité comme un vulgaire client. Il était beaucoup plus que ça. En un simple claquement de doigts, il pouvait devenir propriétaire de l’endroit et faire tout ce qu’il voulait des danseuses. Il valait mieux éviter de contrarier un homme qui n’avait aucune limite. Kora ne mit pas longtemps à quitter ses cuisses, malheureusement pour lui, pour prévenir la petite foule que le spectacle ici était terminé. Voilà qui devenait beaucoup plus intéressant.

Lorenzo lui apprit que son manager lui donnait l’autorisation de faire ce qu’il lui voulait. Au prix qu’il l’avait payé, c’était normal qu’elle lui appartienne pour la soirée. Sauf qu’encore une fois, ce n’était pas le moment de l’effrayer. Il ne la forcerait à rien dans l’immédiat. Si les choses n’évoluaient pas comme il le souhaitait, il allait aviser, mais son plan était clair dans son esprit. Son regard l’avait dévoré s’attardant sur ses fesses pratiquement à sa vue. La soirée allait être bonne, il n’y avait aucun doute. Lorenzo avait pincé ses lèvres ensemble essayant de maîtriser toutes ses pensées purement masculines. Ce n’était pas le moment. Finalement, Kora se retourna vers elle avec un magnifique sourire sur les lèvres. Le mafieux resta immobile lorsque ses mains bouillantes vinrent se poser sur son torse. Doucement, il ferma les yeux pour profiter du contact avant qu’un léger rire s’échappe de ses lèvres à sa remarque suivante. « L’état de ma chemise me laisse penser que tu as un côté bête féroce qui demande seulement à sortir. » répondit-il d’une voix grave. Bien vite, le brun perdit le fil de ses pensées alors que les lèvres de la danseuse se montraient très curieuses. Tout d’abord sur son oreille tandis qu’il retint un frisson lorsqu’elle s’attaqua à sa nuque. À l’heure actuelle, il devait réellement se retenir de se lever afin de la plaquer contre un mur et de la… Chut chut… Il devait garder le contrôle. « Viens là… J’ai envie de te voir. » dit-il toujours sans la toucher malgré son envie de lui attraper une main pour la guider jusqu’à la scène… Ou jusqu’à ses cuisses. Certes, il la laissait dominer, mais il voulait la voir. C’était frustrant d’avoir une aussi belle femme dans son dos malgré tout l’effet qu’elle lui provoquait avec sa bouche… Mais elle pouvait lui provoquer un effet similaire voire plus intense à genoux devant lui. « J’ai entendu que tu étais l’une des préférées ici. Je veux voir ce que tu sais faire… » Impatient ? Oui totalement.

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Suppression de Kora pour inactivité :angel:

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