« Et moi, je suis fille unique so ..» Valentina ne peut pas imaginer une vie d'enfant unique. « La vie d'enfant unique doit être ennuyeuse, non ? » La jeune femme essaie de l'imaginer, mais c'est impossible pour elle. La jeune femme est curieuse de savoir comment cela se passe avec Dario, car, comme elle, il n'est pas enfant unique. « Les deux .. Un frère et une soeur plus âgés et le même nombre plus jeune. » Donc il est l'enfant du milieu. Contrairement à Valentina, c'est la petite dernière. Ce qui n'est pas toujours facile. Souvent, les gens aiment la blâmer pour tout, même si ce sont les membres les plus âgés de la famille qui ont fait l'erreur. « Je suis le plus jeune de la famille, ce qui n'est pas toujours facile. Pour être honnête, j'aimerais être l'enfant du milieu. Ou est-ce tout aussi mauvais ? » Demande la jeune Mexicaine. Elle espère seulement que Beth ne se sentira pas exclue de la conversation, parce que la brune ne veut pas ça. Mais le sujet revient au bénévolat. « Ou qu'ils n'ont pas vu l'intérêt de payer quelqu'un alors qu'une bande de bénévoles était là » Elle a probablement raison. Pourquoi dépenser de l'argent quand on peut faire le même travail gratuitement ? « Pourquoi sortir des billets du porte-feuille, alors qu'il y a toujours des imbéciles pour faire le boulot gratuitement. » Il semble que Dario pense la même chose que Beth. Pour Valentina, il s'agissait de l'aider et peut-être de rendre son CV un peu plus agréable. Le bénévolat, c'est toujours mieux que de ne rien faire du tout. « Mais le bénévolat peut aussi être passionnant. » Dit Valentina avec un sourire sur les lèvres. Lentement, ils commencent à avoir des idées sur ce qu'ils peuvent faire avec les enfants. L'idée de Dario avec les colliers n'est pas mauvaise, mais semble n'intéresser que les filles. « Un atelier porte-clé, ça tente quelqu'un ? » Cela semble intéresser davantage les garçons. « Un porte-clés pour les parents serait certainement un beau cadeau. » Dit la jeune femme avec un sourire sur les lèvres. « Je pourrais même en faire un pour chacun de mes frères. » Valentina ne sait jamais quoi donner à ses frères. La plupart du temps, elle fabrique toujours quelque chose, mais elle n'a jamais fait de porte-clés. « Alors qu'avez-vous commandé au père noël cette année ? » La jeune femme est curieuse de savoir ce que les enfants vont répondre. Elle entend aussitôt certains dire qu'ils souhaitent avoir des frères et sœurs, ce qui lui arrache un autre sourire.

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« Tout dépend des parents qu'on a. » Il y a peut-être une raison à cela. Pendant un moment, la jeune femme réfléchit sur la façon dont ils ont abordé le sujet et ne peut pas vraiment se souvenir. « C'est peut-être vrai. » La jeune femme se contente de répondre. Que pouvait-elle dire d'autre ? « Il n'y a pas de bonne ou mauvaise situation ... » Possible. De quelque part, elle connaît la phrase, mais ne sait plus où la mettre. « J'dirais que peu importe la place qu'on occupe, il y a des avantages et des inconvénients. » Valentina ne peut que hocher la tête en signe d'accord. Parler du travail ici est certainement plus amusant que de parler de la famille. « C'est dit qu'une autre manière mais tu as compris l'idée. » Alors l'idée de base est probablement trouvée , il ne reste plus qu'à espérer qu'ils puissent la mettre en œuvre. Et ce n'est pas toujours aussi facile qu'on pourrait le souhaiter, la Mexicaine le sait de par sa propre expérience. « Peut-être, je dois avouer que c'est la première fois que je tente l'expérience .. » Première fois ? Et puis avec tant d'enfants ? Valentina regrette un instant la jeune femme. « Nous allons y arriver. Les enfants peuvent être durs, mais ils peuvent aussi être très gentils. Espérons que nous avons les plus agréables. » Dit la brune de façon encourageante et espère qu'elle aura raison. « Je vais avoir un enfant, je pensais que cela me mettrait dans le bain, mais franchement ça fait que d'augmenter ma peur. » Devenir père doit être merveilleux pour lui. Mais c'est sûrement aussi effrayant. La brune ne sait rien de cela. Elle-même n'a pas encore d'enfants et il n'y en a pas en perspective. Pour cela, il lui faudrait d'abord trouver un homme. Valentina veut l'encourager, mais a peur de choisir les mauvais mots. « Tu n'as pas à avoir peur, ça va aller. Si tu n'avais pas peur, je me poserais des questions. » La brune espère de tout son cœur qu'elle n'a rien dit de mal. « Bienvenue dans mon équipe ! » Cela fait rire Valentina et elle se met immédiatement à faire de l'artisanat avec quelques enfants. Elle a toujours aimé l'artisanat. Mais comme toujours, tout ne se passe pas sans problème. Un des enfants se blesse. Ça devait arriver. « Valentina, tu peux t'occuper de ma table pendant que je vais regarder ce grand blessé. » Cela rend Valentina heureuse tant qu'elle n'a pas à voir du sang. Parce qu'elle fait partie de ces gens qui ne supportent pas la vue du sang, mais elle ne l'avouerait jamais. Bien sûr, elle est désolée pour l'enfant, qui veut que quelqu'un soit blessé. Personne. « Pas de problème. Je ne peux rien y faire de mal. Du moins, je l'espère. » Dit la jeune femme avec un sourire sur les lèvres et prend immédiatement sa place. Les autres enfants sont naturellement contrariés par le fait que quelqu'un ait été blessé et demandent à Valentina ce qui se passe. Elle leur explique immédiatement et ils recommencent à travailler. « On va chercher la boite de premier secours ensemble. » C'est toujours la meilleure façon de distraire un enfant.

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Valentina aime les enfants et surtout les tout-petits. Mais la brune est également certaine que tout le monde ne pense pas comme elle. Mais ces enfants ressemblent à des anges. Du moins pour l'instant. Espérons que cela reste ainsi. « On croise les doigts » C'est exactement ce que la Mexicaine fait depuis quelques minutes déjà. « On va prier pour que ça soit vrai, ça nous permettra de passer une bonne journée. » La brune leur sourit. La jeune femme ne peut pas imaginer qu'ils ne vont pas s'amuser. D'une certaine manière, on ne peut pas s'ennuyer avec les enfants. La brune est heureuse d'apprendre que Dario sera père. Devenir parent doit être un sentiment merveilleux. Mais elle peut aussi comprendre si vous avez peur. Vous avez probablement toujours peur de faire quelque chose de mal. « Je me mets peut-être un peu trop la pression. On verra ce que ça donnera, pour l'instant ça va, je le trouve assez calme » Se mettre trop de pression n'est pas la solution idéale, la jeune Mexicaine en est certaine. Mais elle ne peut pas non plus proposer de véritable solution, ce qui la rend un peu triste. Valentina déteste quand elle ne peut pas aider quelqu'un. « Peut-être que la distraction ici pourrait être bien pour toi en ce moment. » La jeune femme décide de répondre, même si cela ne l'aidera probablement pas. « Et comme tu n'as pas l'air enceinte, il doit y avoir une maman pour t'aider à gérer tout cela » Cette remarque de Beth fait rire Valentina. Elle regarde attentivement le jeune homme, il est clair qu'il n'est pas enceinte. « Très bon sens d'observation. Je suis démuni de la possibilité de porter la vie, il me fallait donc une femme dans ma vie. » Mais Valentina est également certaine qu'un homme ne survivrait pas à une grossesse. Ou plutôt la naissance. Mais la jeune femme sait aussi qu'il vaut mieux ne pas dire de telles choses à voix haute. « Qui sait, peut-être que ce sera possible un jour. Si on observe l'évolution. » La Mexicaine décide-t-elle de dire. Lorsque l'enfant se blesse, Valentina a le sentiment que Beth ne pourra pas rester calme longtemps, ce qui semble être le cas. Cependant, comme elle s'occupe des enfants, Valentina ne peut pas vraiment la distraire, ce qui n'aurait peut-être pas été si mal. « Alors, on ampute dans combien de temps ? » La Mexicaine espère que Beth plaisante, mais le petit enfant ne le comprend pas et se met à pleurer. Mais avant que Valentina ne puisse en parler, Dario a déjà pris la parole. « Beth rigolais, par contre on pourrait peut-être lui couper la langue pour lui éviter de dire de tes bêtises devant les enfants si elle ne veut pas vous voir tous pleurer. » Immédiatement, la brune doit rire. Car il dit ce qu'elle pense. « Mais ce serait méchant. » Dit la jeune femme et essaie de ne pas rire, ce qu'elle ne réussit pas vraiment à faire. « Peut-être que nos petits monstres devraient essayer d'effrayer Beth ? » On remarque immédiatement que Valentina ne veut pas faire de mal, mais qu'elle essaie seulement de remonter le moral des enfants. Certains d'entre eux sont immédiatement enthousiasmés par ce projet. Lorsqu'une petite fille se lève et dit qu'elle n'a pas peur, la brune rit immédiatement. « Voilà ton double miniature, Beth. » Il a tellement raison sur ce point. Peut-être qu'elles sont liées et que Beth ne voulait pas le dire. « Mais c'est bien si elle n'a pas peur. Elle pourra alors s'occuper du prochain blessé. » Dit Valentina en plaisantant.

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Valentina est la personne qui réconforte toujours les autres. Pour cette raison, la jeune femme espère pouvoir bien s'occuper des enfants. Non pas qu'ils aient besoin d'être réconfortés, mais peut-être que cela aidera à garder les enfants calmes. Comme Valentina ne connaît personne dans cette pièce, elle essaie d'observer en premier lieu, quand elle n'est pas occupée avec un des enfants. Pendant un moment, elle songe à ce que ce serait de devenir mère elle-même, mais elle est vite sortie de ce rêve. « Pour le moment je préfère que ça ne change pas! Je suis très bien à ma place de papa! » Cela fait rire la brune. « C'est peut-être mieux ainsi. » La Mexicaine ne le pense pas mal et espère qu'il ne le prendra pas mal. Quelque peu perdue, la jeune femme tente de suivre les deux autres. Mais elle a perdu le fil et ne sait plus vraiment ce qui se passe. La brune se perd souvent très vite dans ses pensées sans s'en apercevoir et c'est ce qui vient de lui arriver. Elle entend les enfants rire, tout comme les deux autres qui travaillent également ici. Immédiatement, Valentina est de retour dans le présent et doit aussi rire. « Désolée, je me suis un peu perdue dans mes pensées pendant un moment. » La brune s'excuse de ne pas être vraiment là, d'être totalement perdue et de ne pas savoir ce qui se passe.

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S'il y a une chose que Valentina peut faire, c'est se réfugier dans son monde. C'est ce que fait toujours la brune quand c'est trop pour elle ou qu'elle est juste énervée. Mais dans ces moments-là, comme maintenant, elle ne remarque pas toujours quand elle se réfugie dans son monde. Depuis que la Mexicaine s'est réfugiée dans son monde, beaucoup de choses se sont passées ici. Une sorte de guerre a éclaté entre les garçons et les filles. Valentina trouve cela drôle. Elle a vécu une telle expérience chez elle, mais elle y était souvent seule, car elle a trois frères. Mais heureusement, sa cousine était souvent avec elle et pouvait la soutenir. De retour de son monde, Beth tente de la convaincre de rejoindre son équipe, mais Dario tente également sa chance. « Ce n'est pas grave, on te prend dans notre équipe de guerrière ! » Cela fait sourire Valentina. Pendant un instant, elle est déjà en route pour rejoindre le groupe de Beth. Mais alors la brune écoute Dario parler et pense qu'il n'a pas tort. « C'est totalement injuste, ce n'est pas équilibré comme jeux. » La Mexicaine est déchirée, que faut-il faire ? Quelle serait la bonne chose à faire ? « Non, non, Valentina reste de mon côté. » Lorsque Dario la tire avec ses guerriers dans sa direction, elle a peur un instant de trébucher. « Mais… : » C'est tout ce que Valentina peut dire avant que Dario ne reprenne la parole. « Chez nous tous les monde est acceptées! » Si la brune se joignait à lui et à ses guerriers, certaines filles migreraient sûrement vers leur groupe. « Alors, je vais te rejoindre dans le groupe. Qui d'autre veut se joindre à nous ? » Dit la jeune femme à Dario, en regardant Beth d'un air désolé. « Vous avez déjà oublié qui vous a montrer à faire des noeuds pour vos collier? » Ce n'est pas une mauvaise idée, mais Valetina a déjà une idée de la manière dont elle pourrait persuader les enfants de les rejoindre. « Aimeriez-vous pouvoir monter à cheval ? Si vous êtes dans notre groupe, je peux vous apprendre à monter à cheval. » Pour autant que Valentina le sache, corrompre les enfants n'est pas interdit.