L'art urbain Ft Dario

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L’art urbain. Il y en a beaucoup qui pensent beaucoup nous duper. Ils nous font croire qu’ils vont changer et mieux respecter la nature. Hors certains ne changent pas, ils sont même devenu pire. Puis n’oublions pas ceux qui travaillent encore avec le marché chinois. Cela effectuant encore des tests sur les animaux pour divers cosmétiques sans oublier que certains de ses grands de la beauté pollue nos eaux. Il est vrai que je donne beaucoup de ma personne surtout pour la préservation de l’océan. Néanmoins, je n’accepte pas non plus qu’on puisse faire du mal à de pauvre animaux sans défense.

Dario était l’une des personnes qui me ressemblait et qui voulait défendre la cause de notre mère nature et de ses habitants. Ils arrivent parfois qu’on a tendance à laisser notre côté rebelle prendre le dessus. Et comment dire que lorsque ça arrive, on laisse notre créativité parlait à notre place. Oui, bon j’avoue quelques tags c’est loin d’être très artistique. Seulement, c’était une chose que j’appréciais faire… Ah justement la actuellement on se trouve devant une pancarte de cosmétique et je m’amuse a faire des moustache à madame qui a servi de modèle pour la marque. En dessous je commence à noter assassins.

J’avais une veste à capuche sur moi et nous étions au milieu de la nuit. Je faisais parfois attention qu’on ne se fasse pas prendre. J’avais aucune envie qu’on finisse au poste. On n’avait pas fini, il y avait d’autre pancarte publicitaire à taguer.

- Quel art Dario, ils auraient dû nous embaucher. Regarde la fille comme elle est embelli

Fallait bien faire un peu d’humour, non ? Et puis c’est vrai, elle était bien mieux avec une moustache et un cigare dans le bec. :copyright:️ 2981 12289 0

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l'art urbain

Je suis un mec inoffensif, je ne ferais pas de mal à une mouche même-si celle-ci vient m'embêter au milieu de la nuit. Je suis le genre de mec à mettre l'araignée dans un bol avant de lui rendre la liberté. Je n'aime pas la violence, je cris à qui veut bien entendre que faire l'amour c'est quand même mieux. Mais quand j'ai des idées en tête, je ne l'ai nul par autre. Ce soir avec Ileana, nana comme je l'appelle nous avions décidés de nous venger sur un panneau publicitaire. Premièrement, ce genre de pub complètement immonde en pleins milieux du décors magnifique que nous donne l'océan me répugne. La femme dedans qui en plus de ce maquiller comme une porte de prison nous bassine de stéréotype sur le genre de nanas que les femmes doivent être. Puis troisièmement cette marque est connu pour ses essais sur les animaux, chose dont j'ai horreur. Après je ne suis pas une femme, ce qu'une femme a réellement besoin. Je sais seulement que celle qui partage ma vie et plus belle au réveille. Nous étions donc sur le panneau habillé tout en noir, tel des ninjas. J'avais fais quelques fois la référence durant la soirée et cela avait fait un gros bide. Mais peu importe que ça ne fasses pas rire, nana. Moi je trouvais ça fort drôle. " Totalement, mais quand on est con, on est con" En lui lançant un clin d'oeil. Je ris à la remarque de nana, la jeune femme qui à la base mettait un rouge à lèvre ou un gloss, je ne comprends pas la différence et à présent sur le point de mettre un autre truc sur la bouche. Nana avait dessiné une jolie pipe et moi une belle moustache. J'étais sur le point de lui faire quelques dents noirs quand ma coéquipière écrivit assassins en gros plans. Je lui fis un pouce en l'air. Je me posais assis les pieds dans le vide perdus dans mes pensées. Je pensais à ma douce qui bosse encore ce soir. A cette femme que j'aime tans et pourtant commence à s'éloigner de plus en plus. "Un petit pas pour nous, un grand pas pour le monde." J'ai l'espoir que le monde change, que les gens remarquent à quel point notre planète est belle et qu'il faut la respecter. "Tu crois qu'un jour on aura gain de cause ?"

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L’art urbain. Je regardais mon ami avec qui il arrive qu’on défend la cause animal et cela même jusqu’à taguer une pancarte d’une marque de cosmétique, j’étais sérieuse à ses moments là. Je pouvais légèrement rire sur le coup mais toujours je reprends mon sérieux. Je n’avais aucune pitié pour salir une marque qui teste sur les animaux. Il y avait bien d’autre moyen pour tester leur nouveaux produits. En plus nous n’avons pas le même type de peau que la plupart des animaux. Alors à quoi ça leur server ? A part faire de la cruauté gratuite sur de pauvre créatures qui ne méritaient pas. De plus, la femme sur la pancarte ressemblait plus à un pot de peinture qu’à autre chose.

Une fois qu’on avait fini, je range ma bombe de peinture dans ma grande poche et je remarque que Dano semblait être ailleurs à cet instant. J’en écarquille légèrement un sourcil et m’assoie à ses côtés. Tournant légèrement mon visage vers lui.

- Dis moi, tu m’as l’air ailleurs, aujourd’hui. Un truc qui ne va pas ? Tu sais, il ne faudrait pas s’éterniser ici

Lui dis je en souriant et le bousculant légèrement avec l’aide de mon épaule pour le taquiner.

- Tu viens, on y va ? J’ai vu une autre pancarte comme celle ci dans un autre quartier autant lui subir le même traitement.

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Avais-je l'air ailleurs ? Peut-être bien, mon corps était bien présente, mais ma tête est bien ailleurs. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser à celle qui détient la clé de mon coeur. Celle qui aujourd'hui porte la vie. Celle qui allait m'aider à devenir père. Celle qui avait tout quitté pour moi. Elle avait quitté sa famille, mais aussi les chances de devenir quelqu'un d'importante. Quelqu'un avec un avenir bien dessiné et des sous à ne plus savoir quoi en faire. Oui, ce que nous étions en train de faire, me semblait bon pour notre planète, ma tête ne pouvait s'empêcher de me dire qu'il faudrait mieux que j'aille bosser pour pouvoir payer les couches de mon futur bébé. Surtout que j'aimerais utiliser des couches bio ou au mieux des couches en tissus. Et que cela coûte plus cher que les couches bas de gammes. Mais mon futur bébé mérite le meilleur, c'est mon devoir de pouvoir lui apporter tout ce qu'il va avoir besoin. "Excuse-moi, Charlotte vient de m'annoncer qu'elle était enceinte et je suis encore un peu sous le choc." En même temps cette révélation va complètement changer ma vie et je n'étais pas réellement prêt à tout ce changement. Elle me bouscula l'épaule et j'en fis de même. Nana était la première véritable amie que je me suis fait en revenant à Melbourne. "Très bien allons embellir une autre nana en ville." Dis-je en faisant un clin d'oeil. Ileana n'avait pas tort, nous n'avions rien à faire ici et rien à dessiner sur cette demoiselle. Alors, que je m'inquiète sur l'absence d'argent que je ne ramène pas en étant ici, la possibilité de finir en prison ne m'avait pas effleuré l'esprit. Nous descendons et prenons la direction de la prochaine affiche. "Bucky est sage quand tu n'es pas là ?" Je connais que très peu le kangourou de Nana, mais il semble remplit d'énergie.

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L’art urbain. Dario fini par me parler et un grand sourire apparaît sur mon visage. J’étais contente pour mon ami en espérant que lui était heureux de devenir bientôt papa également. Je comprenais maintenant pourquoi il était ailleurs.

- Et bien, je te dis félicitation Dario. Enfin, j’espère que tu es heureux à l’idée de devenir papa et j’en suis sûr que tu feras un très bon père.

Alors qu’il se lève à nouveau, je fis de même, j’étais prête à l’attaque pour embellir des nouvelles pancartes publicitaires. en plus de tester sur les animaux, cette marque avait des produits qui pouvaient polluer les nappes phréatique alors j’étais deux fois plus motivé. Car l’eau c’est la vie et pour tout être qui vie sur notre planète. Si certains ne comprennent pas qu’il faut en prendre soin. On se met en route alors pour aller dans une rue un peu plus loin. J’avais pris ma trotinette pour circulait plus rapidement. Une fois qu’on est devant la pancarte, je me tourne vers lui après avoir fait un nez de clown à la gonzesse et sourit.

- Bucky est sage en général lorsqu’il est sur ma propriété. Enfin il n’est pas impossible qu’il court après mes deux loutres dans le jardins.

Je ris. Bucky adorait s’amuser avec ses petits camarades et jamais j'enferme mes animaux. il pouvait sortir de la villa. Il sortait alors par une petite porte comme les chats à l’extérieur qui donne sur la piscine, l’eau était filtré de façon écologique, il n’y avait aucun produit chimique dedans. Cela leur permettait aussi de faire des petits tours dedans. Et mon kangourou était toujours dehors quand je ne suis pas à la maison.

- C’est assez drôle de le voir jouer à cache cache avec eux... D'ailleurs avec ta femme pourquoi, tu ne passerais pas manger un de ses quatre à la maison ?

Je finissais de teindre les cheveux de la femme en vert alors que je riais devant le chef d’oeuvre. ©️ 2981 12289 0

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Est-ce que tu étais heureux ? Certainement, est-ce que tu as peur ? C'est une certitude. Dès que tu as rencontré Charlotte, tu as su que s'était elle la femme qu'il te fallait. Mais à l'époque, les choses étaient déjà compliqué. Elle était censée se marier avec un autre homme, un homme qui avait tout pour la rendre heureuse. Toi, tu n'avais rien à l'excepté de ta belle gueule c'est peu dire. Est-ce que tu vas être un bon père, tu l'ignores encore plus. Ton père n'a jamais été l'homme idéal, ton père n'a jamais été très présent dans ta vie. Tu ignores ce que c'est d'être un père puisque tu ignores également ce que ça peut être. Ton père n'était pas un homme violent, mais il n'a jamais été bien présent dans ta vie. "Pour tout t'avouer, ça me stress pas mal! Du coup j'ai la tête ailleurs, j'ignore si je vais être à la hauteur et ça m'angoisse tellement ... Mais en même temps ça me semble être la suite logique. Je l'aime, elle m'aime et je vais aimer ce bébé, mais pour le moment, je ne m'imagine pas réellement père de famille." Nana était en trottinette et toi en vélo quand vous prenez la direction d'une nouvelle pancarte à embellir. Tu sais, que ce que tu fais n'est pas autorisé par la loi, mais ça te fait tellement du bien. Quand tu fais ça tu te penses utile à l'environnement. Tu te dis que taguer les affiches les rendront peut-être moins intéressante. Enfin, toi, tu ne les trouves pas attractifs, mais tu n'es pas une femme et tu ne comprends pas pourquoi les femmes utilisent autant de maquillage. Tu avais demandé si le kangourou de la jambe femme était sage quand elle n'était pas là. Tu ne la vu que rarement, mais tu te souviens de sa fougue et de sa vitalité. C'est un kangourou qui aujourd'hui pète la forme, même-si ce n'est pas toujours été le cas. "J'avais oublié que tu avais deux loutres, tu ne fais rien comme les autres." A tes yeux, c'est un beau compliments, tu n'aimes pas les gens qui font comme tout le monde. Tu imagines la maison que peut avoir Nana et tu te dis que ça doit être un endroit génial pour élever un enfant. Tu te sens bête de penser cela et pourtant cela ne cesse de trotter en tête. "Oui, il faudrait qu'on s'organise cela. Faut que se trouve un moment, Charlotte bosse beaucoup et en soirée." Ce travail qui est toute sa vie est géniale, mais il empiète énormément sur vos moments tous les deux. Tu sais, que vous n'avez pas beaucoup d'argent, mais tu aimerais tellement pouvoir passer plus de temps avec celle que tu aimes. Tu termines de dessiner sur la jeune femme en photo. Tu refais une moustache, car tes qualités pour le dessin sont assez maigre. "Toi qui est une femme, tu peux m'expliquer pourquoi vous perdez autant de temps avec ce genre de choses ?"

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L’art urbain. J’écoutais Dario me parlait de ses craintes et je dois avouer que c’était un peu une bonne chose car le fait qu’il a des craintes, ça montrer qu’il était déjà attaché au bébé. Je ralenti le mouvement et je lui souris.

- C’est normal d’avoir toute ses craintes. Du moins, je crois que c’est normal. Et le fait que tu es toute ses questions dans ta tête. Quelque chose me dit que tu seras à la hauteur le moment venu. Et je dirais même que le jour où il viendra au monde, tu seras réellement prêt à devenir père de famille.

Je ne sais pas pourquoi je lui dis tout ça mais en vrai. Je le pensais réellement. J’étais sûr qu’il ferait un bon père. .Le bébé aura de la chance de l’avoir tout comme Charlotte. Dario est un homme bien et ce n’est pas du fait qu’on se bat pour la même chose que je dis ça. Je le voyais clairement dans son regard. Alors que nous étions en train de refaire le portrait de la dame sur la pancarte, je ris à sa remarque.

- Non c’est vrai, je ne fais pas les choses comme les autres. Dit toi que quand j’ai remis la piscine en route dans la maison de ma mère enfin villa. J’ai cherché des moyens plus écologique pour que l’eau soit nettoyé et donc mes loutres peuvent se baigner comme elles le veulent. Et tu sais quoi depuis quelques temps, j’ai un koala qui se balade dans les arbres de mon terrain. Il est trop mignon.

Je souris et fait des cheveux vert à la dame qui commençait à ne plus ressembler à rien. Je tapote l’épaule de Dario en riant. J’étais ravi de notre travail et je serais encore plus ravi d’accueillir Dario et sa compagne chez moi.

- Tu me tiendras au courant alors lorsque vous pourrez venir… Et ne me demande pas, je ne sais pas comment la plupart de la gente féminine adore ressembler à un pot de peinture. Bon, je me maquille aussi mais de façon légère et mes maquillages ne sont pas tester sur les animaux, ils respectent un maximum l’environnement. Mais c’est une chose que je fais uniquement quand je sors à de grandes occasions. Parce que tu me vois maquiller alors que je vais sous l’océan ? Et puisque c’est l’endroit où je passe le plus clair de mon temps. On ne peut pas dire que je me sers souvent de mon crayon.

Je me mets à rire et une fois que la fiche est fini, je range tout dans mon sac à dos et me redresse.

- Cela te dit qu’on aille boire un verre maintenant ? Je meurs de soif.

Lui dis je d’un air enjoué alors que je monte sur ma trottinette.
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La peur d'être père est certainement une conversation que tu aurais dû avoir avec ton propre père. Tu n'as jamais eu l'envie, ni l'opportunité d'avoir une grande discussion avec lui. Tu n'étais pas proche de lui fuyant le côté paternelle à tout prit. Certainement, par peur qui ne correspondent pas à tes attentes. Attente que tu jugés bien trop grande et aujourd'hui tu les trouves bien trop futiles. Tu aurais aimé avoir la conversation avec lui. Être assis sur ton lit à discuter des filles et à comment bien les traiter. Mais ce n'était pas comme ça que ça s'était passé. Sean t'avait vite fait un topo sur comment se protéger et Dana, elle sur les grandes lignes des attentes d'une femme. Qui à ton goût était super compliqué. Mais aujourd'hui, à présent, tu vas devenir papa, tu aimerais tellement pouvoir être près du tiens. Qu'il t'apaise, te dises que tu vas être un bon père, qui te remonte le moral ou qui soit là simplement. L'absence de tes parents ça n'a pas toujours été facile, mais aujourd'hui ça l'est plus encore. Tu aurais tellement besoin de lui. Tu souris timidement à Ileana, tu sais qu'elle essaie de trouver les bons moments. Ça te fait plaisir de savoir que tu peux compter sur son soutien. "Je l'espère tellement Nana! Ce n'est pas comme-ci je n'avais jamais imaginé ma vie avec des enfants! Je me demande seulement si j'arriverais à tout gérer. Je ne veux pas être de ses pères absents, de ceux qui ne se lèvent pas la nuit! Je ne veux pas ça, mais est-ce que je vais y arriver ? Je veux aimer ce bébé comme j'aime Charlotte." En réalité, tu ne réalises pas que ta vie va complètement changer. Tu ne réalises pas l'amour que l'on peut avoir pour un enfant. C'est trop abstrait, trop compliqué. Dans le ventre de la femme que tu aimes grandit un foetus. Ta vie va donner son corps pour vous offrir un bébé. Tu as beau y penser, cela te semble complètement irréaliste. Puis tu souris en pensant à la maison de la jeune femme. C'est ce genre de choses que tu veux offrir à ton bébé. Tu imagines très bien la brunette courir dans les champs ou forêt, de préférences pieds nu pour être en communion avec la nature. Tel une pocohantas de l'Australie. Une grande défenceuse de temps moderne, une grande femme tout simplement. "C'est impressionnant, j'aimerais pouvoir faire autant de choses que toi. J'ai mon compost sur mon balcon, mon petit carré de potager et mes plantes dans mon chez moi. J'essaie de faire au mieux, mais dans 50m² on est vite restreins." Ileana te parle d'un petit koala qui vient de temps en temps dans ton jardin. "C'est très curieux un koala, il doit comprendre que tu es quelqu'un qui ne lui veut pas de mal." Tu as une grande admiration pour la jeune femme. Elle est forte et indépendante. Elle fait tout ce qu'elle peut pour respecter ses valeurs. Elle est capable de tout pour sauver ces convictions. Tu pouffes de rire en imaginant Nana, les cheveux trempés et les yeux entourés de noirs coulé. Il est vrai que le maquillage n'est pas tellement compatible avec le mode de vie de la jeune femme. Mais tu trouves qu'elle n'a pas besoin de ça. Peut-être que c'est ton admiration devant ses valeurs qui te font dire cela. Mais te trouve la jeune femme magnifique, sans aucun artifice. En réalité, tu es de ses hommes qui n'aiment pas le maquillage. Tu aimes le naturel et ça te tue de voir des femmes passer autant de temps dans la salle de bain. "Si tu le faisais le petit koala se sentira comme chez lui. Et il viendrait séjourner chez toi en permanence." Puis vous aviez fini, vous aviez fait le tour des affiches publicitaires de cette marque de cosmétique. Ileana te demande si tu souhaites boire un coup. Tu regardes l'heure, ta femme n'est pas encore rentrée du boulot. "Avec plaisir, tu m'invites ?" Dis-tu en lui faisant un clin d'oeil puis vous prenez la direction d'un bar le plus proche dans votre moyen de déplacement peu commun. L'une en trottinette et toi en vélo, vous faites bien la paire. Sur le chemin vous faites les fous. Faisant frapper vos deux bolides l'un contre l'autre comme deux adolescents.

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L’art urbain. Tout en glissant mon pied sur le sol pour que ma trottinette avance, j’écoutais mon ami. Ses craintes étaient fondés, j’ai toujours peur le jour où je suis mère de finir comme ma mère. Elle était tellement distante avec moi et je me suis toujours demandé si elle m’avait réellement aimer car la seule moi où elle s’est vraiment intéressé à ma personne. C’est pour que je sois actrice comme elle, j’ai essayé pourtant ce n’était pas mon truc. Je suis bien plus heureuse avec mon métier, je n’avais aucune envie d’être célèbre. Être une personne reconnu et prise au sérieux ça oui, si cela permet d’aider à sensibiliser les autres pour prendre soin de la planète. C’est tout ce qui m'importe pour le moment.

- Je comprends ton inquiétude de ne pas être à la hauteur.Et je suis sûr que tu le seras, tu feras de ton mieux pour que cet enfant est une enfance heureuse. Et je ne parle pas que d’argent

Je disais ça car je sais que mes parents étaient loin d’être pauvre et heureusement mon père s’est toujours bien occupé de moi. Seulement ma mère m’envoyait toujours de l’argent. Elle croyait que ça aller me suffir, seulement j’avais besoin d’elle en tant que mère et elle ne l’a jamais vraiment été. Il n’y a jamais eu de relation entre elle et moi. J’ai beaucoup souffert dans le passé à cause de ça. Et puis, j’ai fini par comprendre que ma mère était surtout égoïste et à partir de ce moment, j’ai promis de ne pas être comme elle. Je l’écoute et me met à sourire en ce qu’il s’agit des gestes pour notre planète.

- Tu sais c’est déjà bien les petits gestes que tu fais déjà. Et puis il y a plein de façon de faire des petits gestes même réduire un maximum les déchets comme acheter la nourriture en vrac et la mettre dans des récipients durable plutôt que du plastiques pour conserver notre nourriture. Tu pourrais même faire tes propres yaourt en allant chercher même le lait, chez l’agriculteur… Pardon, je m’arrête, l’écolo que je suis s’emballe un peu trop parfois.

Je ris mais il savait que tout cela me tenait à coeur comme ça lui tenait à coeur. Seulement, je savais que j’avais raison. Si tout le monde pouvait faire des petits gestes pour notre planète. Cela serait déjà un grand pas. Puis venir progressivement vers des solutions plus respectueuse de notre planète. C’est comme ça qu’on devait avancer.

- Et bien avec plaisir, je t’invite Dario et la prochaine fois se sera toi.

Lui dis je en riant et voilà qu’on dévale la rue allant jusqu’à un bar de plage. Je n’aimais pas trop les bars en pleine ville, ceux sur la plage étaient plus chaleureux. Je dis bonsoir au barman que je connais et puis, je vais m’asseoir à une table avec Dario.
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Si il y a bien une chose dont tu étais sûr c'est que tu allais aimer cet enfant. Quand tu regardes dans les yeux de ta femme et que tu la vois heureuse de porter la vie, tu sais que ce bébé vous apporte tellement de joie. Et pourtant il n'est pas encore né. Alors, certes tu te poses beaucoup de questions, mais tu espères que tous tes doutes seront effacés quand tu porteras ton petit bébé dans tes bras. C'est ce que tu as déjà compris en regardant quelques films à la télévision. Tu ne te vois pas appeler ton père pour avoir plus d'information. Lui qui ne s'est jamais réellement considéré comme un père. Celui sur qui tu n'as jamais pu compter. Bon, il était là si réellement tu en avais besoin, mais il faisait plus de la figuration qu'autre chose. "Désolé de t'ennuyer avec tout ça! Mais depuis qu'elle m'a fait la grande annonce cela me tourne en tête. Je me pose un millard de questions et il doit en avoir pleins d'autre." Tu es sur ton vélo et que tu as hâte de pouvoir t'arrêter boire une petite bière. Car, toi qui n'est pas sportif, tu as fait beaucoup de sport en une soirée. Il y a du vélo, de l'escallade du dessin et par chance vous avez évité la course avec les flics du quartier. Tu écoutes avec attention tout ce qu'elle vient de te dire et tu lui souris. "Tout ça ce n'est pas très simple pour nous. On as déjà du mal à finir les mois, alors on achète au moins cher. Peut-être qu'un jour je pourrais avoir une meilleure vie, mais pour le moment on fait avec les moyens du bord. Peu de déchets, petit potager, doucement, mais surement." Tu aimes prendre soin de la planète, mais clairement c'est un luxe que tout le monde ne peut pas s'offrir. Je ne me vois pas payer un taxi pour sortir de la vie pour aller m'acheter de la viande. De plus nous en mangeons quasiment pas. Nous arrivons près de la plage et nous nous installons sur une table. Nana sourit au barman et j'en fais de même, plus par politesse qu'autre chose. Puis je commande une bière. "La prochaine est pour moi." Dis-tu en souriant puis quand le serveur revient avec vos boissons. Vous trinquez et tu dis. "À notre planète!"

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L’art urbain. Je trouvais ça tellement naturel que mon ami se pose autant de questions sur son futur statut de père. Il va avoir de nombreux changement dans sa vie par l’arrivé de ce petit être. Sa petite famille va s’agrandir et il va vivre une des expériences les plus belles qu’un être humain peut rêver. Je regardais Dario et je voyais combien il est heureux. Je ne pouvais pas m’empêcher d’être donc heureuse pour lui.

- Tu ne m’ennuie pas, crois moi si c’était le cas, je te l’aurais fait savoir et c’est naturel que tu te pose des questions

Ma franchise m’a souvent causé des ennuis et parfois le fait de pas avoir la langue dans ma poche ça m’a aider à défendre de nombreuses fois à défendre la cause animale et de faire ouvrir les yeux sur l’impact des déchets sur les côtes en Australie. J’ai gagné le respect de nombreuses personnes mais j’ai également quelques ennemis. Cela ne me fait pas grand chose à vrai dire, je défends juste mes valeurs et mes convictions.

- Chaque geste est important du petit au plus grand. Alors ce que tu fais c’est déjà beaucoup et pense au petit potager, certaines mauvaises herbes peuvent être bénéfique, elles éloignent certains insectes et protègent tes plantations

Je souris et remercie le serveur qui nous a servi avant de reprendre mon attention sur mon ami.

- Et si tu as besoin d’aide au niveau financier, un jour. Je peux toujours vous aider. D’ailleurs, je pensais faire rouvrir le petit bar de plage que mon père tenait avant de mourir. J’aurais probablement besoin d’un gérant si jamais, tu veux changer un jour de métier.

Cette pensée m’avait effleuré l’esprit plusieurs fois, j’avais aussi envie de changer le nom du lieu pour un nom qui fasse penser à mon vieux père. Cet homme qui a été mon exemple durant de nombreuses années, il m’a appris à prendre soin de notre planète. Je voulais lui faire honneur en ouvrant à nouveau ce bar qu’il aimait tant. Je me colle au dossier de ma chaise et rit doucement en écoutant mon ami lorsqu’il dit que la prochaine est pour lui.

- Ca marche… A notre merveilleuse et belle planète.

Je trinque avec lui et bois une nouvelle gorgée en regardant au loin sur la plage, le vent marin venant faire voler mes cheveux. En regardant l’océan c’était comme un appel. Ce n’est pas pour rien que mes amis m’appelle la sirène. Si je pouvais, je passerais toujours mon temps sous l’océan. C’était une émotion et une envie indomptable. Chaque jour, j’y retournais et parfois j’aimais y aller seule. J’ai vu tellement de merveille, nager avec des dauphins et parfois rencontrant des requins. J’ai eu la chance de voir un jour le grand blanc et il n’avait rien avoir avec le monstre dont les films le faisait souvent passer. Il était un incompris et c’est des personnes comme moi qui cherchent à faire changer les mentalités sur cet animal magnifique.

- Il ne faudra pas trop que je tarde, j’ai demain une excursion avec des touristes qui veulent apprendre à faire de la plongé.
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Coup du destin !

et soudain...

Alors que la belle Ileana pensait bientôt rejoindre son lit, voilà qu'un homme avec un micro les approche et les convint l'air de rien de rejoindre la scène le temps d'une chanson. Et oui, vous n'avez pas vu la pancarte à l'entrée, c'est une soirée karaoké !

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Il est vrai que ce futur rôle te met déjà la pression. Tu as toujours peur de ne pas pouvoir être à la hauteur, tu as tellement peur de louper quelques choses dans l'éducation de cette enfant. Tu as peur de ne pas pouvoir lui donner ce que d'autre pourrait lui offrir. Et tu ne parles pas qu'au niveau affectif. Mais aussi financièrement, vous avez déjà à finir le mois alors que vous êtes deux. Alors, à trois, enfin trois à la question qu'il n'est qu'un bébé. Tu as peur de ne pas lui donner tout l'amour que pourrait lui donner, car tu ignores si tu vas y arriver. Tu n'as pas eux de bon exemple et pourtant tu sais que jamais tu ne voudrais pas finir comme tes parents. "Merci de m'écouter, je n'ai pas envie de faire peur Charlotte avec mes petites inquiétudes, elle en as assez comme ça. Avec sa carrière ... et je présume que l'accouchement ça doit faire peur." Tu t'es toujours demandé comment des enfants aussi gros pouvait être dans le ventre d'une femme. Comment le corps, cette machine formidable, pouvait changer pour donner la vie. Les femmes sont des personnes fortes, prête à assumer des grosses douleurs pour nous permettre, nous l’espèce humaines de continuer à évoluer.

Tu as toujours apporté un certain intérêt à la planète. Tu n'as jamais laissé de papier traîner. C'est certainement dû à ton éducation. Tes parents des hippies apportent eux aussi un intérêt à sauver notre planète. Tu peux critiquer à tord et à travers leurs éducations, ils t'ont donné des valeurs que certains n'ont pas, malheureusement. "Si je te l'accorde, si chacun faisait déjà un petit quelques choses, ça serait déjà pas mal".

Tu es affreusement gêné quand elle te parle d'argent. Tu n'aimes pas te plaindre de ton absence d'argent. Tu es bien trop fier pour cela. Tu n'as jamais osé dire à haute voix que les fins de mois étaient durs, même durant les pires périodes. Tu t'es toujours démerdé tout seul et tu en es fier. Tu te pinces les lèvres, car tu sais que Nana n'a pas voulus être grossière. Elle est ainsi avec un franc parlé et c'est pour cette raison que tu l'apprécies. "C'est une très bonne idée, ça ne peut que fonctionner, tu le retape durant l'hivers comme ça il est prêt pour cet été. Ça me ferait plaisir de te filer un coup de main, mais je n'y connais rien en gérance, je suis brancardier, tu sais." Tu prends ça la rigolade, car tu ne veux pas te prendre la tête. Mais si tu peux te faire un petit complément d'argent, ça ne peux pas te faire du mal. "Avec une petite scène ouverte ça peux être sympa."

Tu trinques avec ton amie et tout comme elle tu regardes l'océan. Un silence ambiant arrive à tes oreilles et tu profites de chaque instant de calme. Tu sais que très bientôt, tout cela sera impossible. Bientôt ta vie sera rythmé au son des pleurs de bébés et des couches salles. Dit ainsi cela ne te fait pas envie et pourtant, tu sais au fond de toi que tu aimes déjà ce petit être qui profite de la piscine à 37° du ventre de sa mère. Un véritable poisson dans l'eau! Soudain ton amie te dit que demain elle se lève tôt, tu regardes ta montre. "Merde et moi je bosse tôt, aussi. Je vais être fraie demain." Dis-tu avant d'éclater de rire.

Tu décides donc te lever afin de partir quand soudain un homme avec un micro vint vers vous. Il vous attrape par la main et vous emmène vers la scène. Toi qui est du genre coincé et timide, tu ne te sens pas à ton élément. Tu dis à l'oreille de ton amie. "Je n'ai pas assez bu pour ça!"

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L’art urbain. J’écoutais mon ami, il me remerciait d’avoir été l’oreille attentive dont il en avait besoin. Je lui fais un petit sourire, je ne pouvais que le comprendre où du moins presque. Je ne vivais pas leur situation mais je me mettais à sa place et je pense que l’idée de maman me rendrait nerveuse aussi. Après tout, je n’ai pas eu un bon exemple d’instinct maternel, j’aurais peur d’avoir de la maladresse.

- Ne t’en fait pas, il est normal d’avoir des inquiétudes et des doutes. Je mentirais si j'te disais que si un jour, je tombe enceinte et que je ne serais pas un peu nerveuse. Et je t’en pris les amis sont fait pour ça aussi. Et si tu as besoin de parler, tu peux toujours m’appeler.

En ayant parler de ce fameux bar, je ne pouvais pas m’empêcher d’être nostalgique. Lorsque je rentrais de l’école, je rejoignais toujours mon père dans cet endroit qu’il a fait construire après avoir décider d’arrêter sa carrière de surfeur pro. il avait fait tout ça pour moi. Alors cet endroit qui nous avait un peu plus rapproché, j’avais juste envie de le faire revivre en sa mémoire. Je voyais déjà sa planche au dessus du bar avec son prénom au dessus et des photos rappelant qui il était. En écoutant mon ami, je me mets à sourire.

- Oui, une scène ouverte avec vu sur la mer. Et je vais te dire une chose, tu as bien appris à devenir brancardier, non ? Et bien pour devenir gérant d’un bar cela s’apprend aussi et au moins, j’aurais pu avoir une personne digne de confiance pour le gérer quand je suis sur mon bateau. Mais, si tu ne veux pas, je comprends car tout le monde ne se sentirait pas prêt à se reconvertir pour un nouveau métier. Et moi la première, j’aime tellement apprendre aux autres à faire de la plongée et leur faire découvrir des endroits merveilleux sous l’océan.

Alors qu’on s’était lever pour sortir du bar et rentrer chacun de nôtre côtés chez nous. Un homme est venu et nous a tirer sur la scène avec un micro à la main. il m’en glissa un dans la main d’ailleurs. Je regardais Dario et eu un léger rire, plus nerveux qu’autre chose et c’était une chose assez rare de ma part. je me mords la lèvre. Je ne voulais pas vexer l’homme qui avait l’air d’avoir hâte de nous entendre chanter. Seulement le chant et moi ça fait deux, j’étais capable de beaucoup de chose mais le chant n’est pas du tout dans mes cordes. Alors comme, j’étais du genre franche, je fini par lever le micro.

- Ecouter, j’aurais bien jouer le jeu et vous chantez quelque chose avec mon ami… Seulement, si je chante une note, vous allez tous sortir en courant, tellement je chante faux. Vous aurez l’impression qu’on égorge un chat.

J’espérais une chose qu’on ne me force pas à chanter car au pire, je prends mes jambes à mon cou et je fuis à toute hâte pour ne plus remettre les pieds dans ses lieux. Seulement pour me rattraper, je pousse mon ami.

- Mais, je pense que mon ami Dario sera se débrouillera très bien tout seul pour vous chanter quelque chose.
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l'art urbain

Tu n'es pas le genre de personne à aimer demander de l'aider. L'éducation que tes parents t'ont offerte est bien différente. Tu as très vite dû te débrouiller tout seul, même-si tu n'étais jamais réellement seul. Tes ainés n'étaient jamais bien loin, pour et malgré toi. Tu savais qu'en cas de difficulté tu pouvais compter sur eux. Mais tu étais bien trop fier pour oser leur demander quelques choses. Ils avaient beaucoup à faire avec Lewis et ta petite soeur. Ce rôle de père, tu fais froid dans le dos, tu te demandes si tu vas être à la hauteur et si tu seras un assez bon père. Mais au final n'est-ce déjà pas une sorte de bonne parentalité? Tu as tellement à faire et même si neuf mois passent vite, tu te dis que ça peut aller aussi très vite. "Je n'y manquerais pas" Dis-tu en lui faisant un clin d'oeil. "Avant de réussir à poser toutes mes questions, il va falloir que je digère la nouvelle. Tu penses que c'est le bon moment pour lui demander sa main?" Tu caches dans ta poche de blouson un petit paquet ou une bague est caché. Elle est là depuis de longs mois. Tu ne trouves jamais le bon moment pour lui faire ta demande.

Tu n'avais pas imaginé pouvoir devenir un jour autre chose qu'un homme dans un hôpital. Mais le métier de brancardier ne te rends pas heureux. Mais tu ignores si tu saurais de taille pour travailler dans un bar. Mais qui ne tente rien n'a rien. Tu es perdu, dans le flou, le cul entre deux chaises. Tu fais une grimace, les arguments de Nana sont bons. Tu te grattes le menton et puis tu lui balances. "Je serais ton homme, cela ne peut qu'être mieux. Je n'aime pas être brancardier et travailler avec cette vue cela ne peut qu'être bien. Mais il va me falloir une sacré formation." La seule paperasserie que tu as fait dans ta vie c'est celle de l'hôpital. Mais il y a des infirmières pour toi. La seule choses que tu avais à faire c'est de signer un papier disant que tu as pris en charge un tel ou un tel.

Tu es vite mal à l'aise quand le type vous demande de chanter. Ils vous attrapent par le bras et vous invites sur scène. Mais Nana ne semble pas vouloir jouer le jeu. Elle semble aussi à l'aise que toi. Le chant ce n'est pas tellement ton truc. Il t'arrive de te prendre pour un rapeur bio sous la douche, mais tu es loin d'avoir du talent. Tu éclates de rire quand la jeune femme s'excuse de ne pas savoir chanter. Mais tu déchantes quand elle dit que tu sauras te débrouiller tout seul. Toi qui n'aime pas avoir l'attention des gens sur toi, tout le monde te regardes. Tu attrapes la main de Nana et en prenant le micro tu dis. "Regardez-là elle se défile comme une anguilles!" Dis-tu afin de la taquiner. Tu commences à la laisser sur la scène quand soudain la salle se met à te siffler. Tu te sens mal et tu décides de rejoindre Nana. Tu sent tes joues ce rougirent et les premières notes de la musique se met à commencer. Tu déglutis et au final, tu prends du plaisir à chanter avec ton ami.

Quand la chanson prend fin, c'est sous une avalanche d'applaudissement que tu descends de scène avec la demoiselle. Le serveur vous demande une deuxièmes chanson certainement pour vous embêter. Tu lui fais signe que non de la main et tu lui réponds. "Ma bière va commencer à être chaude et je n'ai pas envie de vous prendre la vedette." C'est littéralement impossible, tu te demandes pourquoi les gens ne sont pas sauvés, mais tu pourras dire que tu l'as fait.

panic!attack

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L’art urbain. J’écoute Dario et je me mets à sourire en écoutant qu’il pensait demander la main de Charlotte enfin me demander si c’était déjà le bon moment. Je ne pense pas être la mieux placer pour lui donner ce genre de conseil. Certains sujets, je m'autorise à le faire et surtout quand il s’agit des océans qui m’ont toujours passionnée et surtout leurs bien être.

- Et bien écoute c’est à toi de voir. Es ce que toi, tu te sens prêt à lui demander sa main ? Si c’est le cas et bien fait le. Tu sais combien de couple maintenant, ils ont un enfant en dehors du mariage ? Il ne faut pas que tu lui demande sa main uniquement parce qu’elle attend ton bébé. Un mariage c’est un engagement et un symbole en même temps.

Je buvais une gorgée de mon verre, mes parents étaient loin d’avoir était un exemple pourtant je pensais vraiment que le mariage n’est pas une chose à prendre à la légère. En écoutant mon ami, j’étais toute excitée et j’étais encore plus motivé à ouvrir à nouveau le bar de mon père. Cet endroit où je me rendais tout le temps à la fin des cours. J’avais tellement de bons souvenirs dans ses lieux, au début je n’étais pas prête à le maintenir ouverte après son décès mais aujourd”hui ce n’était plus le cas.

- Ne t’en fait pas au début, je serais là. Je m’arrangerais pour avoir un emploi du temps moins chargé au niveau de la plongée pour te former au début mais je suis sûr que tu seras parfait. Je préfère confier le bar de mon père a une personne digne de confiance pour le gérer quand je ne serais pas là.

Cependant, bien que je me sentais un peu mal à l’aise lorsque l’organisateur nous a invité sur scène, je souris en entendant Dario alors que je cherchais à y échapper et en le voyant tenter également à son tour, je fus amusée plus qu’autre chose. Et puis voilà qu’on le siffle, bon il voulait qu’on chante visiblement. Dommage pour eux, je n’aimais pas entendre ma voix en chantant c’était affreux. J’étais vraiment pas faite pour ça.

- très bien puisque vous y insistez. Tant pis pour vos oreilles parce que quand je chante oon dirait un coq qu’on égorge.

Je fini par me laisser prêter au jeu et je voulais que cela se termine au plus vite. Pas que j’étais mal à l’aise sur scène car il m’arrive de m’y trouver pour défendre la faune et la flore marine devant de nombreuses personnes. C’est juste que je savais où j’étais douée et où je ne l’étais pas. Une fois fini, j’étais soulager jusqu’à que le serveur nous en demande une autre. Je crois que j’ai due lui lancer un regard bien noir et retourne à notre table.

- Au pire tant pis pour la bière, on peut aller ailleurs. Aucune envie qu’il essaye à nouveau de nous attirer sur la scène. Je crois que j’ai les oreilles qui saignent après que je me suis entendu chanter

Je passe mes doigts dans mes oreilles comme si je voulais les débouché et ris doucement avec mon ami.:copyright:️ 2981 12289 0

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